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27/12/2016

PRÊTRES ASSASSINÉS AGRESSÉS ENLEVÉS

PRÊTRES ASSASSINÉS AGRESSÉS ENLEVÉS
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MENACE D’ÉGORGEMENT D’UN PRÊTRE À LYON
11 MAI 2018 CHRISTIANOPHOBIE.FR / LE POINT /
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C’est une troublante autant que curieuse information qu’a signalée l’hebdomadaire LE POINT sous le titre «UN INDIVIDU MENACE D’ÉGORGER UN PRÊTRE», le 12 mai dernier. Puisqu’une plainte a été déposée contre ce «CLÉMENT B.» par une société de production dont il a aussi menacé un journaliste, et que le PARQUET DE LYON est saisi, nous en saurons sans doute davantage bientôt. Mais tout cela reste bien mystérieux autant que le journaliste auteur de cette révélation…
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«Je vous promets que j’égorgerai un prêtre de l’église lyonnaise, BARBARIN étant difficile à atteindre, et je m’en prendrai également à un journaliste de PREMIÈRES LIGNES TÉLÉVISIONS ! !» écrivait le 6 mai CLÉMENT B., 31 ans, à la maison de production audiovisuelle PREMIÈRES LIGNES, voisin[e] de CHARLIE HEBDO au moment de l’ATTENTAT DU 7 JANVIER 2015 perpétré par les FRÈRES KOUACHI. Si l’hebdo satirique a depuis quitté le quartier de la BASTILLE, PREMIÈRES LIGNES y est toujours installé[e]. L’auteur des menaces, originaire de LYON, vit actuellement dans l’est de la FRANCE. Il est inconnu des fichiers de police, notamment du Traitement des antécédents judiciaires (TAJ) qui répertorie toute personne ayant affaire à la police comme auteur ou comme victime sans connaissance des suites judiciaires, classement sans suite ou condamnation par exemple. En 2016 et 2017, CLÉMENT B. avait déjà proféré des menaces à l’encontre des mêmes journalistes. Sans que, pour autant, son nom n’apparaisse au TAJ. Une absence étonnante parce que la moindre plainte, y compris fantaisiste, y est d’habitude inscrite et perdure bien après un classement sans suite. Son identité n’apparaît pas non plus dans le Fichier des personnes recherchées (FPR) au sein duquel sont entre autres répertoriés les individus FICHÉS S. PREMIÈRES LIGNES, qui produit entre autres CASH INVESTIGATION, présentée par ÉLISE LUCET, a déposé une plainte le 9 mai. À ce stade, les motivations de l’auteur des menaces restent inconnues.
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PRÊTRE AGRESSÉ EN PLEINE MESSE À LA RÉUNION
11 MAI 2018 CHRISTIANOPHOBIE.FR / FREE DOM /
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Incroyable ce qui s’est passé ce matin [11 mai] à l’ÉGLISE [NOTRE-DAME] DE LA SOURCE à SAINT-DENIS. Selon un auditeur, un déséquilibré aurait foncé sur le prêtre en pleine messe ce matin pour l’agresser. «Tout le monde était choqué, surtout les enfants, explique-t-il sous le coup de l’émotion» L’homme serait arrivé par l’arrière de l’église, à la fin de la messe. Il se serait dirigé droit vers l’autel, sous les yeux ébahis des fidèles, et c’est là qu’il aurait asséné une gifle magistrale au PÈRE PASCAL MUSSARD. Aussitôt des gens se sont précipités vers lui pour le maîtriser, ils ont tous été frappés, on a du appeler la police et les pompiers. 3 fourgons de police sont arrivés très vite. L’homme a été menotté avec difficulté […] Au final, le PÈRE MUSSARD n’a pas déposé plainte. Car la personne qui l’a agressé est un déséquilibré, qui s’était enfui quelques heures plus tôt du CHU de BELLEPIERRE. Les équipes médicales l’avaient signalé aux forces de l’ordre.
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TOULON AGRESSION DE RELIGIEUX
CENTRE D'INFORMATION ET DE COMMANDEMENT POLICE CIC
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MONTFORT L’AMAURY (78) UN PRÊTRE DE 88 ANS TORTURÉ ET VIOLÉ : 4 À 8 ANS DE PRISON
26 JANVIER 2017 78ACTU
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Six individus ont été condamnés par la cour d'assises des YVELINES pour avoir agressé et torturé un prêtre à MONTFORT L'AMAURY.
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La cour d’assises des YVELINES a rendu son verdict dans une violente affaire remontant au mois d’octobre 2011. Six hommes et femmes ont écopé de quatre à huit années de réclusion criminelle. Les accusés, originaires de ROUMANIE, sont âgés de 22 à 43 ans. Le procès, qui se déroulait à huis clos, s’est terminé le mercredi 25 janvier.
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C’est dans la nuit du 2 au 3 octobre 2011 que la bande avait agressé un prêtre de 88 ans à son domicile de MONTFORT L’AMAURY. L’homme d’Église avait été torturé pour qu’il donne sa carte bancaire et son code secret. Les malfrats lui avaient mis un club de golf dans la bouche. Ils avaient également montré leur intention de lui couper les doigts avec un sécateur. L’un avait obligé le religieux à subir un acte sexuel. Les voleurs étaient ensuite repartis avec un ordinateur. À l’extérieur, ils étaient attendus par un couple chargé d’assurer leur fuite en voiture.
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LE PRÊTRE PARDONNE
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Dans les heures et jours suivants, deux retraits seront réalisés, pour une somme de 1 000 euros. L’équipe avait aussi tenté d’acheter des vêtements et des chaussures. Chacun sera identifié au fil des semaines par les gendarmes de la brigade de recherche de RAMBOUILLET.
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Lors du procès, le prêtre a témoigné à la barre. Il a déclaré qu’il accordait son pardon à ses tortionnaires.
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INDRE-ET-LOIRE: UN PRÊTRE BRIÈVEMENT ENLEVÉ
27 DÉCEMBRE 2016 LE FIGARO
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Un prêtre s'est fait séquestrer pendant une heure ce matin, près de CHINON dans l'INDRE-ET-LOIRE. D'après EUROPE 1, l'agresseur, âgé d'une cinquantaine d'années, a menacé au couteau le membre du clergé et l'a contraint à monter en voiture vers 10 heures. Il aurait alors tenu des propos confus, au sujet de son père à l'hôpital, avant de relâcher le prêtre une heure plus tard environ.
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Le suspect a été interpellé par la gendarmerie vers 11h30. L'homme n'est pas connu des services de renseignement, mais il a déjà eu affaire à la justice pour des affaires de cambriolage et dégradations. La victime, quant à elle, n'est pas blessée.
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LE PRÊTRE DE PALAISEAU ATTAQUÉ, LIGOTÉ ET DÉPOUILLÉ DANS SON PRESBYTÈRE
19 DÉCEMBRE 2016 LE PARISIEN
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Le PÈRE JUVENAL de la paroisse de PALAISEAU s’est fait dérober sa montre et 150 € par deux hommes encagoulés et armés d’un pistolet qui ont fait irruption vendredi au centre pastoral.
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Malgré ces événements, il garde sa bonhomie naturelle. RUTUMBU JUVENAL, le prêtre en charge de la paroisse de PALAISEAU, a été attaqué par deux hommes encagoulés et armés vendredi soir au centre pastoral, où il tient une permanence pour ses fidèles. Des déboires qu’il a racontés en célébrant la messe ce dimanche pour «rassurer» les gens. «Ils pensaient que j’avais fait un AVC et que j’étais tombé, vu comme mon visage est tuméfié», sourit-il.
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Mais s’il parvient à en plaisanter avec le recul, sur l’instant, le PÈRE JUVENAL, 62 ans, a bien cru qu’il allait rejoindre son Créateur : «Ces derniers temps on sait qu’on est des cibles, avoue le prêtre né au RWANDA. Il y a les passages des militaires de VIGIPIRATE pour nous protéger, donc quand ces deux hommes sont entrés cagoulés avec leur pistolet j’ai cru à des islamistes. Je pensais que c’était fini» Comme beaucoup, l’homme d’église avait «gardé en mémoire ce qu’il s’est passé à SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY», où un prêtre avait été égorgé en juillet dernier. «Mais quand ils m’ont dit : on sait que vous êtes riches, donnez-nous votre argent, je me suis dit que j’étais sauvé».
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LIGOTÉ AVEC LES ÉTOLES QU’IL UTILISE PENDANT LA MESSE
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Malgré tout l’agression est violente. Les deux hommes frappent le prêtre au visage et lui intiment l’ordre de se mettre au sol. Comme il n’obtempère pas assez vite, ils lui donnent également un coup au niveau genou. Une fois allongé, l’ecclésiastique est ligoté au niveau des pieds et des mains avec les étoles qui lui servent d’écharpe pendant les messes. Les deux voleurs lui dérobent sa montre et s’organisent pour visiter le centre pastoral qui est le lieu de travail de l’homme d’église.
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«L’un des deux me gardait, l’autre fouillait partout, relate le PÈRE JUVENAL. Ils m’ont pris 150 € dans une enveloppe qui était dans mon sac. C’est tout ce que j’avais, je venais juste de recevoir cette somme qui provient de la vente de mon dernier ouvrage» Les agresseurs s’emparent aussi des clés du presbytère, l’endroit où vit le PÈRE JUVENAL situé juste à côté. «J’ai attendu quelques minutes pour être sûrs qu’ils soient partis là-bas et j’ai commencé à me débattre pour desserrer mes liens péniblement», relate la victime.
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«NOUS N’AVONS PAS D’ARGENT, MAIS COMME NOUS VIVONS PARFOIS DANS DE BEAUX ENDROITS…»
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Le prêtre parvient à se libérer et file par la sortie de derrière pour se réfugier chez ses voisins et appeler les secours. «Je voyais la lumière de chez moi allumée, on y est allé ensuite avec la police et ils avaient tout retourné», soupire RUTUMBU JUVENAL. Les deux hommes se sont envolés sans rien emporter d’autre. L’enquête a été confiée à la POLICE JUDICIAIRE D’ÉVRY.
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«C’est la première fois que je suis attaqué comme ça, les gens comme nous n’ont pas d’argent, mais comme nous vivons parfois dans de beaux endroits, ça doit en tromper certains, analyse la victime. D’extérieur le presbytère et le centre pastoral peuvent attirer l’œil» Dès le lendemain, la municipalité a fait changer toutes les serrures. «Cela m’a rassuré, parce que j’en ai tremblé toute la nuit, à cause du choc émotionnel», admet celui qui a dû passer une partie de sa soirée aux urgences.
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BELGIQUE BRUXELLES : AGRESSION CONTRE UN PRÉLAT ORTHODOXE
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Il s’agit d’un prélat de l’ÉGLISE ORTHODOXE DES NATIONS, une Église orthodoxe autocéphale non reconnue par les Églises canoniques orthodoxes, dont le siège est à PARIS, qui a diffusé hier le communiqué suivant :
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COMMUNIQUÉ DE SA SAINTETÉ LE PATRIARCHE NICOLAS.
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Suite à la lâche tentative d’assassinat de SON ÉMINENCE JEAN DE MARIE [ABBOUD] archevêque de BRUXELLES et vicaire pour les chrétiens d’Orient, nous tenons à vous faire savoir que la tentative [a avorté] et que Son Éminence va bien et se remet de ces douloureux moments. Prions DIEU pour qu’il se remette rapidement et que de tels actes ne se renouvellent plus. DIEU veille sur Ses enfants. Merci Seigneur.
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Le prélat est un ancien PRÊTRE DU DIOCÈSE DE TRIPOLI (LIBAN) DE L’ÉGLISE GRECQUE MELKITE CATHOLIQUE EXCOMMUNIÉ par son Église en 2015. Les causes et les auteurs de cette tentative d’assassinat ne sont pas connus.
 
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À PARIS, L'ÉGLISE SAINTE-RITA ÉVACUÉE MALGRÉ LA RÉSISTANCE DE SES FIDÈLES
3 AOÛT 2016 LE FIGARO
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Élus et habitants du XVe arrondissement se sont rassemblés ce mercredi matin pour protester contre l'expulsion de fidèles de l'église, promise à la vente.
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Au 27 de la rue François Bonvin, dans le XVe arrondissement de PARIS, elle se tient là, petite église encadrée entre un immeuble et un bout de terre grillagé, barrée par un portail métallique sur lequel est inscrit «En FRANCE, on tue les prêtres et on rase les Eglises». Le ton est donné. Devant, ils sont une vingtaine, à l'aube, qui se préparent à faire front. Il y a NICOLAS STOQUER, président délégué de l'ASSOCIATION DES ARCHES DE STE RITA, il y a aussi quatre élus qui ont revêtu leur écharpe, mais également des fidèles et des gens du quartier. Tous venus pour empêcher l'évacuation de cette église vendue à un promoteur breton il y a plus de deux ans. Murée au milieu de l'année 2015, elle devait être détruite en octobre dernier pour laisser place à un parking et à des logements sociaux.
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Des difficultés financières avaient décidé l'association cultuelle des chapelles catholiques et apostoliques, propriétaire du bâtiment, à s'en séparer. Le lieu était loué depuis des années par l'ÉGLISE CATHOLIQUE GALLICANE DE PARIS, dont les fidèles se sont mobilisés depuis pour enrayer le processus de vente. Dans la nuit du 5 au 6 octobre dernier, des militants du Mouvement du 14 juillet (un mouvement antisystème) ont rejoint la longue liste de défenseurs de l'église, pour «libérer» l'église promise à la démolition. Leur mobilisation a empêché la destruction de commencer. À cette occasion, un certain nombre de personnes ont pénétré dans l'église en détruisant le mur de parpaing et ont rétabli l'accès à l'église, où ils se sont installés. Depuis, l'association cultuelle a obtenu par ordonnance du TRIBUNAL DE PARIS, le 6 janvier dernier, l'autorisation judiciaire de faire procéder à l'expulsion de ces occupants. En mai, c'est le juge des référés qui a ordonné au PRÉFET DE POLICE DE PARIS d'apporter le concours de la force publique.
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«C'EST UNE QUESTION DE PATRIMOINE !»
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Il est 6h40: trois messes consécutives ont déjà été célébrées, une cinquantaine de personnes se sont barricadées à l'intérieur de l'église et comptent bien résister aux forces de l'ordre jusqu'au bout. PHILIPPE, un jeune du quartier, est venu avec des amis en signe de protestation. Ses convictions, il les exprime avec vigueur. «C'est une question de patrimoine ! On ne peut pas raser cette église. Elle a permis le croisement des générations dans ce quartier, et l'instauration d'une certaine ferveur, dans un quartier où personne ne se parle. Vraiment, les Parisiens ont beaucoup à y perdre, s'ils perdent SAINTE-RITA. Il faut maintenir les lieux de vie, il ne faut pas les détruire. C'est dommage d'en arriver là.»
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6h50. Boucliers à la main, une vingtaine de policiers s'engouffrent dans la rue et viennent encercler le petit groupe qui s'est massé comme un seul homme devant le portail. Un peu à part, NICOLAS STOQUER assiste à la confrontation. «J'ai eu une intuition, le mois dernier. Je savais qu'ils enverraient les forces de l'ordre, que ce n'était qu'une question de temps. Quoiqu'après SAINT ETIENNE DU ROUVRAY, je me suis dit qu'ils n'oseraient pas, que ça n'était pas possible. Que l'urgence était ailleurs. Mais non, visiblement ils préfèrent gaspiller de cette façon des hommes et des moyens dans un pays en guerre plutôt que d'intervenir là où il faut».
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BELGIQUE UN PRÊTRE POIGNARDÉ PAR UN MIGRANT QU'IL AVAIT HÉBERGÉ
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Un prêtre de 65 ans a été poignardé dimanche 31 juillet par un homme qu’il avait accueilli à son domicile. Son pronostic vital n’est pas engagé.
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Un homme a agressé au couteau un prêtre à son domicile de LANAKEN, commune flamande de la province de LIMBOURG située près de MAASTRICHT. 

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Selon le site d’information du Soir, le PÈRE JOS VANDERLEE a été légèrement blessé et conduit à l’hôpital. L’agresseur a pris la fuite. La police belge a lancé un appel à témoins, tandis que le parquet de LIMBOURG a ouvert une enquête.

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Selon les premiers éléments révélés par les médias locaux, l’agresseur s’était présenté au prêtre comme un demandeur d’asile aux PAYS-BAS, demandant au pasteur de pouvoir prendre une douche à son domicile. Il lui aurait ensuite demandé de l’argent. Face à son refus, il l’aurait agressé avec un couteau, le blessant aux mains. L’homme de foi a ensuite été pris en charge par les secours et transporté à l’HÔPITAL DE GENK, où il a subi une opération. Ses jours ne sont pas en danger.
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Le PÈRE VANDERLEE est responsable de huit paroisses sur le territoire de LANAKEN et a fêté ce mois-ci ses 40 ans de sacerdoce.
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PÈRE JACQUES HAMEL SAINT ÉTIENNE DU ROUVRAY (76) DÉCAPITÉ
27 JUILLET 2016 BFMTV
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Un prêtre octogénaire est mort égorgé mardi lors d'une prise d'otages dans son église à SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY, dans l'agglomération de ROUEN.
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Un attentat revendiqué par DAESH qui a fait aussi un blessé grave, GUY, 87 ans. Ce mercredi sur RMC, JEANINE, la femme de ce dernier, elle aussi présente dans l'église, raconte le déroulé de la prise d'otages..
 
Le PÈRE JACQUES HAMEL a été assassiné ce mardi matin, égorgé par deux terroristes qui ont fait irruption pendant la messe qu'il célébrait dans l'église de SAINT-ÉTIENNE-DU-ROUVRAY près de ROUEN. JEANINE, 86 ans, était présente dans l'église au moment des faits avec son mari, GUY, qui fêtait ses 87 ans ce mardi et a été grièvement blessé au cours de cet attentat. Elle raconte.
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«Quand l'un des terroristes s'est approché de moi, il m'a dit qu'il n'allait pas me faire de mal parce que nous allions servir d'otages. Il parlait des trois sœurs présentes et de moi. Alors là on s'est dit : «Bon on ne va pas mourir tout de suite. On mourra peut-être tout à l'heure mais…» En revanche, son mari, en tant qu'homme ne sera pas épargné.
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«IL A FAIT LE MORT»
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«Il a pris quatre coups de couteau dans le cou, les bras et le dos». C'est pourquoi, JEANINE en est persuadée : «Ils voulaient le tuer,
COMME LE PRÊTRE. Au PÈRE JACQUES, ils lui ont d'abord mis un coup, sûrement au cou. Il est tombé la face vers le ciel, vers nous. On voyait le sang couler de sa bouche… Et ensuite, ils lui ont donné d'autres coups et, là, c'était terminé…» Dès lors, pour rester en vie et ne pas attirer l'attention des assaillants, JEANINE explique que son mari «a fait le mort».
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Et d'ajouter : «Les terroristes avaient donné un téléphone portable à mon mari pour qu'il filme ou photographie le père une fois exécuté. C'est ensuite qu'ils ont pris mon mari en otage et ils en ont fait autant…». Comment a-t-elle réagi à la vue de son mari se faisant lacérer de coup de couteau : «Je ne sais pas… Je l'ai vu. Je me suis dit qu'il était mort et que ça allait être notre tour. Les terroristes me tenaient par le dos avec leur revolver dans le cou. Est-ce qu'il était factice ? Je n'en sais rien. Mais il était dans mon cou... Ensuite, ils ont affûté le couteau. C'est tout».
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«IL FAUT BIEN RÉSISTER»
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JEANINE a vu son mari ce mardi soir et elle l'assure : «Je l'ai vu bouger un petit peu. Il allait bien. Il n'avait pas perdu connaissance. Il a essayé de maintenir ses doigts sur sa plaie pour éviter que cela ne saigne trop. Mais il a trouvé le temps long avant qu'on vienne le chercher». Prise en charge par une cellule psychologique, l'octogénaire est rassurée sur sa santé. «Ça va parce que je suis entourée de mes enfants qui sont venus D’ÉVREUX et de la région parisienne. Ils sont arrivés aussitôt et ça fait du bien. Ils m'aident à évacuer… Il faut bien résister».
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LYON : UN CURÉ AGRESSÉ A SON DOMICILE
29 NOVEMBRE 2015 LYONMAG
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Le curé de la paroisse de SAINT-CHRISTOPHE LES DEUX RIVES, à NEUVILLE-SUR-SAÔNE, s’est fait agresser à son domicile dans la nuit de vendredi à samedi.
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Deux hommes sont entrés dans le domicile du PÈRE, place de Verdun, à GENAY. Les individus n’ont pas hésité à menotter le curé à une chaise sous la menace d’un pistolet. Ils auraient également frappé l’homme de 53 ans à coups de crosse au niveau de la tête. Pendant ce temps, la maison était fouillée de fond en comble.
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C’est ensuite l’alarme qui va mettre en fuite les agresseurs. Peu après 2h du matin, les policiers interpellent un homme. Présenté ce dimanche au parquet, le suspect, originaire d’ALBIGNY-SUR-SAÔNE, est âgé de 20 ans.
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Le curé de la paroisse de SAINT-CHRISTOPHE LES DEUX RIVES a lui été hospitalisé à l’hôpital de VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE.
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Selon les premiers éléments de l'enquête, le caractère religieux de l’agression n'a pas été retenu. A noter que deux cambriolages avaient déjà touché le domicile du curé durant ces trois dernières années.
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CAMEROUN : UN PRÊTRE FRANÇAIS ENLEVÉ PAR LES ISLAMISTES
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Un prêtre français de 42 ans, GEORGES VANDENBEUSCH, curé de la paroisse de NGUETCHEWE, a été enlevé à KOZA par des islamistes nigérians dans le nord du CAMEROUN, la nuit dernière, révèle aujourd’hui BFMTV. Une information confirmée au FIGARO par l’entourage de la présidence camerounaise. Selon le député UMP ALAIN MARSAUD, dont la Xe circonscription (Français de l’étranger) recouvre le Cameroun, le prêtre «a été enlevé dans un monastère», à 30 kilomètres de la frontière nigériane. Cette zone a été classée en «zone rouge» par le centre de crise du MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES en raison des menaces terroristes, mais le prêtre avait choisi d’y rester en connaissance de cause. La zone «était formellement déconseillée du fait du risque terroriste et du risque d’enlèvement», a annoncé le QUAI D’ORSAY. «En connaissance de cause, le PÈRE GEORGES avait fait le choix de demeurer dans sa paroisse pour l’exercice de sa mission», précise-t-il. «Des recherches sont en cours pour vérifier les circonstances de son enlèvement et l’identité des ravisseurs», précise le MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES. Le prêtre aurait été enlevé par les islamistes nigérians de BOKO HARAM, selon des médias français. Le PÈRE VANDENBEUSCH avait officié neuf ans dans la PAROISSE SAINT-JEAN-BAPTISTE DE SCEAUX (HAUTS-DE-SEINE) avant de partir pour le nord du CAMEROUN en 2011 (…).
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BELLEY (AIN) : UN FRÈRE DE LA SAINTE FAMILLE POIGNARDÉ EN PLEINE RUE
3 NOVEMBRE 2013 LE PROGRES
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L’attaque a eu lieu à quelques pas de son domicile. Samedi après-midi, vers 16 heures, un FRÈRE DE LA SAINTE FAMILLE s'est fait agresser en pleine rue alors qu'il rentrait chez lui, rue de Savoie à BELLEY.
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FRÈRE THÉODORE se sentait suivi depuis un moment lors de sa promenade, et son agresseur l'a poignardé à quelques pas de son domicile, dans une rue déserte.
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QUIMPER : LE CURÉ DE LA CATHÉDRALE FRAPPÉ DE DIX COUPS DE POING
25 JUILLET 2013 OUEST FRANCE
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L’auteur présumé des coups a été rapidement interpellé par la police, placé en garde à vue et interné à l’établissement public de santé mentale de GOURMELEN.
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La semaine dernière, le PÈRE MICHEL MAZEAS, CURÉ DE LA CATHÉDRALE DE QUIMPER (FINISTÈRE) a été agressé. L’auteur présumé des faits a été interpellé et interné.
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Mercredi 17 juillet, le père MICHEL MAZEAS, CURÉ DE LA CATHÉDRALE, a été agressé par un homme au presbytère SAINT-CORENTIN, situé rue Toul-al-Laer à QUIMPER. Le père a reçu une dizaine de coups de poing notamment au visage.
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«AUCUNE REVENDICATION»
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«Un homme est d’abord passé voir le curé au presbytère. Il a été reçu, puis il est revenu. Le père a alors été menacé puis frappé», explique le PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE DE QUIMPER.
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L’auteur présumé des coups a été rapidement interpellé par la police, placé en garde à vue et interné à l’établissement public de santé mentale de GOURMELEN. Il n’y a pas eu d’interruption temporaire de travail pour la victime.
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LEPUIX-GY : QUATRE BRAQUEURS MARTYRISENT UN MOINE
18 MAI 2013 L'EST REPUBLICAIN
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Quatre hommes armés et visages dissimulés ont brutalisé le prieur du monastère de LEPUIX-GY, hier, pour obtenir le contenu d’un coffre.
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Les malfaiteurs ont brutalisé FRÈRE BASILE pendant environ 45 minutes. Photo d’archives ER
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On frémit en constatant les bassesses et les lâchetés dont usent des individus pour arracher de l’argent facile. Escroqueries, vols, cambriolages, agressions, menaces ou encore séquestrations ! La limite a encore été repoussée, dans la nuit de jeudi à vendredi, avec le martyre qu’a subi FRÈRE BASILE au PRIEURÉ SAINT-BENOÎT DE CHAUVEROCHE à LEPUIX-GY.
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Cette affaire sordide débute vers 1 h du matin. Quatre hommes âgés d’une vingtaine d’années se présentent à la porte du monastère. Fondé en 1980 par l’ABBAYE DE LA PIERRE-QUI-VIRE, il est situé dans un cadre bucolique propice à la méditation. Seul inconvénient, l’endroit est isolé, au fond de la VALLÉE DE CHAUVEROCHE, une des extrémités de LEPUIX-GY. Le monastère est occupé par six frères, dont l’âge oscille entre 76 et 92 ans. Il dispose d’une hôtellerie de sept chambres pour des retraites individuelles. Sa librairie contient des livres remarquables. Et à 500 m du monastère, un chalet est réservé aux groupes.
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Autant d’activités qui rapportent aux frères des subsides modestes, dont les malfaiteurs ont voulu prendre possession.
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Vers 1 h, des individus frappent violemment à la porte. Encagoulés pour certains, une capuche rabattue sur le visage ou un foulard pour les autres, ils bousculent FRÈRE BASILE dès que le moine entrouvre la porte. Dès cet instant, le calvaire du prieur commence. Il durera environ quarante-cinq minutes. Tour à tour, les individus le saisissent, le rudoient, l’injurient, le menacent de mort. Ils vont même jusqu’à le menacer de le conduire dans le bois pour le tuer. En parallèle, ils fouillent des pièces du monastère, quitte à tout retourner. Leur objectif ? Un coffre-fort où ils pensent trouver de l’argent. Seulement, ils ignorent que les moines ne conservent pas de grosses sommes d’argent. Les religieux préfèrent les placer sur leur compte bancaire. Au final, les malfaiteurs ne connaîtront jamais l’emplacement de ce coffre.
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FORT ACCENT DES SUSPECTS
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FRÈRE BASILE doit son salut à l’un des frères. Dans leur quête, les auteurs font trop de bruit. Un des moines est réveillé et hurle. Sa réaction provoque la panique du quatuor qui embarque tout ce qui lui passe sous la main : le portable du prieur, un lecteur de CD, du matériel informatique et de la nourriture, dont un gigot. Les individus s’enfuient à bord de la voiture avec laquelle ils sont venus. Ils prennent soin de ne pas allumer les feux du véhicule pour dissimuler la plaque d’immatriculation. Les malfrats partis, les frères alertent la gendarmerie. Quelques minutes plus tard, les militaires de la communauté de BRIGADE DE GIROMAGNY et de la brigade des recherches procédaient aux relevés techniques et scientifiques.
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L’enquête s’est poursuivie toute la journée d’hier, avec l’espoir de trouver des témoins qui auraient aperçu des allers et venues inhabituels autour du prieuré, ou éventuellement les auteurs. Les enquêteurs, très discrets sur leurs progrès, ont examiné la liste des derniers pensionnaires du prieuré. Il s’agit évidemment de déterminer si une retraite n’a pas servi de repérage.
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Mais l’attention des militaires s’est aussi portée sur les auditions de la principale victime et des rares témoins. Un détail sensible les aurait frappés : le fort accent des suspects. Réel ou simulé ?
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De son côté, la victime évidemment choquée, nous a fait savoir qu’elle ne témoignerait pas. Ce vol avec arme a néanmoins créé des réactions à LEPUIX-GY, commune située au pied du BALLON D’ALSACE. Le maire DANIEL ROTH nous a fait part de son émotion et de sa compassion.
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AGRESSION D'UN PRÊTRE EN AVIGNON
15 MAI 2013 LES SALONS BEIGE
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AUCUN ÉLU N'EST VENU RENCONTRER LE PRÊTRE AGRESSÉ
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Des responsables de la communauté musulmane d'AVIGNON SONT VENUS à la rencontre du PÈRE GRÉGOIRE ce 15 mai, suite à son agression. Il a aussi reçu le soutien de la communauté juive. N'ayant vu aucun élu, ils se sont présentés en mairie en tant que citoyens pour espérer en rencontrer un. Et sont tombés nez à nez sur madame le maire qui se rendait en préfecture … Le PÈRE GRÉGOIRE lui a dit que, seuls 2 députés, JACQUES BOMPARD et MARION MARÉCHAL LE PEN lui avaient écrit leur soutien.
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