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07/12/2008

PROPHÉTIES ANNA MARIA TAIGI

PROPHÉTIES
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ANNA MARIA TAÏGI
(1769-1837 )
 
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Née à Sienne, ANNA-MARIA GIANETI suivit son père à Rome où des revers de fortune l'avait contraint d'aller se fixer. La petite passa à peine deux ans à l'école où elle n'apprit qu'à lire. Ses parents faisaient retomber leur amertume sur leur fillette, mais l'angélique pauvrette redoublait de douceur envers eux.

ANNA-MARIA entra très tôt en service afin d'aider ses parents. Elle grandissait, pieuse, travailleuse et coquette, prenant plaisir à se parer. DOMENICO, qui travaillait au jour le jour au palais Chigi, homme honnête, rude et prompt à la colère, offrit de l'épouser ; ANNA-MARIA accepta sa proposition de mariage.

Dans les premiers temps de son ménage, elle conserva ses habitudes mondaines, aimant à fréquenter le théâtre des marionnettes et à porter des colliers de verroterie. Après trois ans de cette vie ainsi partagée entre l'amour de DIEU et l'amour du monde,
ANNA-MARIA se confessa au Père ANGELO de l'Ordre des Servites, se convertit totalement et, avec l'assentiment de son mari, elle se fit recevoir dans le Tiers-Ordre des Trinitaires. DOMENICO ne demandait qu'une chose : que la maison soit bien tenue et paisible !

Or, les parents d'
ANNA-MARIA vinrent partager la vie du jeune foyer. Depuis leur arrivée, les scènes de criailleries qu'elle apaise de son mieux se répètent tous les jours, car sa mère acariâtre cherche sans cesse querelle à son gendre qui s'emporte facilement. Atténuant les heurts le mieux possible, elle s'empresse auprès de son époux trop vif qui jette le dîner par terre avec la table quand un plat lui déplaît. Après la mort de sa mère, son père vit aux dépens de sa fille et multiplie disputes sur disputes. Lorsque la lèpre l'atteint, la bienheureuse ANNA-MARIA le soigne tendrement et l'aide à mourir chrétiennement.

Pour leurs sept enfants, la maison risquait de devenir un enfer, mais la bienheureuse demeurait si surnaturellement douce, que DOMENICO affirmera que c'était un vrai paradis chez lui, et que l'ordre et la propreté régnaient partout dans son pauvre gîte.
ANNA-MARIA se levait de grand matin pour se rendre à l'église, et communiait tous les jours. Lorsqu'un membre de la famille était malade, pour ne donner à personne l'occasion de se plaindre et de murmurer, elle se privait de la messe et de la communion. Pour suppléer à cette privation involontaire, elle se recueillait pendant les moments libres de la journée.

La bienheureuse
ANNA-MARIA TAÏGI tenait ses enfants toujours occupés. Après le souper, la famille récitait le ROSAIRE et lisait une courte vie du Saint du jour, puis les enfants se mettaient au lit après avoir reçu la bénédiction. Le dimanche, ils visitaient les malades à l'hôpital. Sa tendresse maternelle ne l'empêchait pas d'appliquer fermement les sanctions méritées, telles la verge ou le jeûne. Ses enfants profitèrent avantageusement de cette éducation si équilibrée et devinrent vite l'honneur de leur vertueuse mère et le modèle de leurs camarades.

Sa délicatesse envers les humbles était exquise. Elle nourrissait sa servante mieux qu'elle-même ; à une qui cassait la vaisselle par maladresse, elle disait gentiment :


«ll faut bien faire gagner la vie aux fabricants de faïence».

Lors de sa réception comme membre du Tiers-Ordre de la SAINTE TRINITÉ, la bienheureuse s'était offerte comme victime expiatrice pour les péchés du monde. En retour de cette généreuse offrande, DIEU lui accorda la vision permanente d'un globe ou soleil lumineux dans lequel elle lisait les besoins des âmes, l'état des pécheurs et les périls de l'Église.

Ce phénomène extraordinaire dura quarante-sept-ans. Surprise au milieu de ses occupations domestiques par les ravissements et les extases,
ANNA-MARIA s'efforçait vainement de s'y soustraire. Grâce à elle, les malades avertis de leur fin prochaine mouraient saintement. Comme le sort des défunts lui était révélé, sa compassion pour eux lui inspirait de multiplier ses pénitences afin de libérer au plus tôt ces pauvres âmes qui venaient la remercier de leur délivrance.

Bien que la bienheureuse
ANNA-MARIA TAÏGI souhaitait ardemment rester ignorée de tous, une foule de visiteurs composée de pauvres, de princes, de prêtres, d'évêques, du pape même, accourait pour demander conseil à sa sagesse inspirée. Simple et humble, elle répondait tout bonnement en se dérobant aux louanges, refusant toujours le plus petit cadeau.

Or, celle qui répandait ainsi la sérénité et la lumière autour d'elle, fut privée de consolation spirituelle pendant vingt ans, et éprouvait le sentiment très net d'être reléguée en enfer. Pendant sept mois, les angoisses et les ténèbres de son âme s'étant accrues,
ANNA-MARIA TAÏGI expérimenta une véritable agonie, n'en continuant pas moins à diriger sa maison comme si de rien n'était.

Malgré ses doigts devenus si douloureux, elle cousait beaucoup afin d'assurer le pain quotidien de la maisonnée. La femme du gouverneur de Savoie qui avait obtenu tant de grâces par les prières de la servante de DIEU, voulut lui donner une forte somme d'argent, mais la bienheureuse la refusa catégoriquement.

Le Lundi-Saint, dans une extase,
ANNA-MARIA apprit qu'elle mourrait le Vendredi-Saint. Après avoir béni tous les siens, et les avoir remercié, elle rendit l'âme dans un cri de bonheur et de délivrance. Il semble que DIEU ait voulu montrer dans la personne de cette admirable bienheureuse, la possibilité d'allier des vertus éminentes et des dons surnaturels exceptionnels à la fidélité aux devoirs les plus humbles et les plus matériels de la vie commune. Le pape BENOÎT XV béatifia ANNA-MARIA TAÏGI, le 30 mai 1920.
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Tiré de Marteau de Langle de Cary, 1959, tome II, p. 338-342 F. E. C. Édition 1932, pp. 201 - Résumé O. D. M.
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ANNA MARIA TAÏGI, LA SAINTE AUX SEPT ENFANTS
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Ce fut le début d’une longue et ineffable idylle. Elle jouira du don de célestes colloques ; JÉSUS, son divin Époux, la VIERGE MARIE, les saints et les anges les plus chéris, lui parleront : SAINT PAUL, l’apôtre, SAINT FRANÇOIS D’ASSISE, SAINT PHILIPPE NÉRI, SAINT FRANÇOIS DE PAULE, SAINTE FRANÇOISE ROMAINE, SAINTE JACINTHE MARISCOTTI, 
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l'archange RAPHAËL, les Anges Gardiens, et même les âmes du purgatoire. Ils lui confièrent de profonds secrets, lui firent d’intimes confidences, l’éclairèrent sur les conditions de l’église et de la société, lui révélèrent l’avenir d’illustres personnages et le sort de tant d’âmes. Ils la consolèrent et la guidèrent sur les sentiers du bien.

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Mais retournons en arrière. Nous sommes au printemps de 1791. Un nombre incalculable de charismes lumineux s’accumulent subitement dans l’âme d’ANNA-MARIA. Les premières communications célestes d’amour, la réconfortent et l’intimident en même temps.



«Je te destine, lui dit un jour l’ESPRIT divin, au moment de la communion qu’elle reçoit désormais chaque matin, à convertir des âmes et à consoler toutes les catégories de personnes : prêtres, frères, moines, prélats, cardinaux, et même mon Vicaire»

Plus elle se sentait comblée d’affection divine et guidée vers une mission presque vertigineuse, plus elle estimait cela impossible, plus elle avait de mépris pour elle-même ; elle n’aurait jamais cessé de s’humilier. Elle en vint aux flagellations. A la fin, elle se frappait violemment le visage sur les tuiles du parquet, pour réparer les élans de sa beauté et de sa vanité du passé.

À genoux, un soir, prostrée devant le crucifix, les épaules nues, elle s’était donné la discipline avant que son confesseur ne lui défende ce genre de mortifications. Elle vit de loin, devant ses yeux, une lumière resplendissante comme le soleil, même si elle était voilée d’un léger nuage. Elle en éprouva une grande frayeur puis se frotta les yeux, pensant qu’il s’agissait d’une hallucination ou d’un piège diabolique. Mais le soleil ne s’éteignait pas. Elle finit par se tranquilliser et l’observa de plus prés. Il avait l’apparence d’un globe de feu duquel se détachaient des rayons.

Depuis ce soir-là et pour toujours, le soleil accompagnera
ANNA-MARIA TAÏGI ; elle l’aura constamment à la vue, devant elle, pendant 47 ans, jour et nuit, à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison.

Éclairés par le soleil du firmament, nous voyons les vivants, les choses de cette terre. Ainsi, illuminée par son soleil mystérieux,
ANNA-MARIA verra de façon étonnante, les réalités physiques, les problèmes moraux de ce monde, 
«comme on voit passer les images dans une lanterne magique», 
comme elle l’explique elle-même, dans son piquant langage populaire. Ce soleil toujours devant ses yeux, éloigné de sa figure. 
«d’environ dix palmes romaines et au dessus de sa tête, d’environ trois palmes», 
lui montrera les secrets de la nature et de la grâce, les secrets du temps et de l’éternité, source continuelle et intarissable de connaissances merveilleuses sur la vie présente, sur la vie future.

Si au départ, la lumière était un peu diffuse, elle se faisait plus éclatante, plus limpide, plus lumineuse que sept soleils réunis ensemble, selon les progrès dans la vertu, quand, sur suggestion de son confesseur, elle demandera à DIEU, la signification de cette vision ininterrompue, la voix lui dira :

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«C’est un miroir pour que tu distingues entre le bien et le mal».
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Un jour, à DOM RAPHAËL NATALI, un prêtre qui fut très cher et dont nous reparlerons, ANNA-MARIA tenta de lui décrire ce soleil mystérieux : en haut, là où se terminent les rayons lumineux, je vois une couronne d’épines et deux d’entre elles, d’un côté et de l’autre descendent très longues jusqu’à se superposer pour former une croix avec leur pointe arquée sous le disque solaire. Au centre du disque qui est lumineux, je vois un personnage revêtu d’un manteau majestueux, assis, la tête tournée vers le haut ; de son front, sortent deux rayons de lumière.

DOM RAPHAËL s’efforça de comprendre comme il put, la signification de ce soleil. À la fin, il crut reconnaître dans ces symboles,
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«le CHRIST RÉDEMPTEUR».
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Dans le disque brillant, il vit en effet, la divinité. Dans la couronne d’épines et la croix sous-jacente, formée par les deux épines majeures, il vit les éléments de la passion. Dans la figure solennelle, il vit le CHRIST RÉDEMPTEUR. Sur la toile de fond éblouissante, passaient de temps en temps, les visions particulières dont ANNA-MARIA saisissait la signification.

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Un jour qu’elle demandait à son époux céleste la signification de cette terrible permission par laquelle
NAPOLÉON BONAPARTE avait pu s’emparer, par des tueries et des ruines, d’un continent tout entier, porter atteinte de façon barbare, à tout droit humain et divin, l’ÉPOUX répondit :


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Bien rapidement, alors, ANNA-MARIA saisit le sens profond et terrible de ces guerres déchaînées à travers toute l’Europe, là ou des trônes étaient en train de tomber. 
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L’anéantissement des méchants entraînait inévitablement le sacrifice de plusieurs innocents, la souffrance de peuples entiers, la persécution de l’église et de son chef. Convaincue qu’elle était, ANNA-MARIA savait qu’un amour intense aurait pu apaiser la justice suprême, plonger l’humanité dans l’océan de la miséricorde divine ; elle avait offert toute sa vie en holocauste, pour payer, elle, la pauvre petite dame du peuple, les délits des impies orgueilleux. Par ses prières et ses larmes, par ses mortifications et ses pénitences, par son irrésistible charité, elle voulait obtenir le pardon du ciel pour tous ses frères et sœurs de la terre.

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Elle annonça d’avance cet événement, dans le détail, et, cette fois encore, les faits en donnèrent la confirmation.


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La renommée, les hommages, la célébrité, en somme, l’ont suffoquée, inquiétée, pendant toute sa vie.

Il n’y a pas de doute que cela fut pour
ANNA-MARIA la croix la plus pénible parmi tant d’autres qui l’accablèrent ; l’unique croix qu’elle ne réussit jamais à embrasser avec joie et amour, et dont elle a tenté de se dégager, à maintes reprises.

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J’ai déjà signalé comment elle avait écarté l’hospitalité offerte par l’ex-souveraine Étrurie qui voulait l’attirer, l’avoir, la retenir près d’elle, avec son mari et ses enfants, à la cour de Lucques. On sait aussi, comment elle refusa pareille invitation adressée par l’entremise du cardinal PEDICINI.

Des offrandes généreuses, elle en repoussa plusieurs ; elle aurait pu accumuler beaucoup d’honneurs et d’argent si, seulement, elle avait dit oui. Souvent, on voulait la récompenser par des biens matériels, pour des avantages spirituels qu’on avait reçus. Elle demeura, jusqu’au dernier jour, ferme dans le propos explicite de préserver son honorable pauvreté de tout attentat relié à la richesse. Elle maintint cette détermination, y fut fidèle, même dans les années les plus sombres, quand sa pauvreté atteignait souvent le seuil de l’affreuse misère.

C’est dans cette lumière de vertus héroïques, qu’étaient attirés les très chers malheureux ; une lumière qui venait d’en haut. Toutes les biographies qui racontent la vie d’
ANNA-MARIA TAÏGI, soulignent son charisme prophétique. Il est certain que parmi les multiples dons qu’elle a reçus, le don de prédiction de l’avenir a joué un grand rôle. Ainsi, le PÈRE ÉTERNEL récompensait sa créature qui lui appartenait totalement. Du reste, les témoignages qui se rapportent à la vie de nombreux saints, en constituent une confirmation richement documentée. Il est certain qu’ANNA-MARIA fut une de ces saintes créatures que DIEU gratifia largement de ce don.

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Riche en particularités, d’une clarté des plus évidentes, elle nous est parvenue par une déposition juridique assermentée de Monseigneur RAPHAËL NATALIE
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Sergio C. Lorit - Traduit du livre italien «TAÏGI, la santa con sette figli» (Città nuova editrice, 1964) P. Marcel LITALIEN, o.ss.t. Montréal, 1984
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Un jour de 1818, parlant des prochains fléaux de la terre, des futurs fléaux du ciel, elle précisa qu’ils pourraient, les uns et les autres, être atténués par les prières des âmes pieuses. ANNA-MARIA prédit que des millions d’hommes sont appelés à mourir par une main de fer, qu’un grand nombre mourront à l’occasion de guerres, de litiges, par traîtrise, et d’autre millions, par des morts imprévues. Des nations entières arriveraient ensuite à l’unité de l’Église catholique. Plusieurs turcs, païens et juifs, se convertiront, en demeurant tout confus devant les chrétiens, admirant leur ferveur et l’exactitude de leur vie. Elle me dit plusieurs fois que le Seigneur lui fit voir dans le mystérieux soleil, le triomphe et la joie universelle de la nouvelle Église, si grands et si surprenants, qu’elle ne pouvait pas l’expliquer.
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ANNA sera, dans la suite, encore plus précise. Elle indique, en une autre occasion, au chanoine RAYMOND PIGLICELLI, que des temps difficiles s’annoncent pour l’Église. A la question du prélat qui porte sur l’identité du pape qui régnera en cette période de mésaventures, ANNA répond :
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«Le pontife qui régnera, en sera un qui n’est même pas cardinal. De plus, il ne demeure pas à ROME»
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Elle confirma, quelque temps après, ses propos, à Monseigneur IMATALI, à qui elle avait indiqué la façon de faire face à la persécution que subirait l’Église de ROME, à l’intérieur de laquelle l’iniquité serait triomphante. 
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DIEU exigera un pontife saint, choisi selon son cœur, et à qui il communiquerait des lumières tout à fait spéciales ; que celui-ci serait élu d’une manière extraordinaire, qu’il serait assisté et protégé par DIEU, d’une façon particulière, que son nom répandu dans tout l’univers, serait applaudi par les peuples et craint par les rois. Le Turc lui-même le vénérera, demandera à le féliciter. Il fera des réformes. Il instruira le peuple, recevra des secours de toutes parts. Les impies seront écrasés et humiliés, beaucoup d’hérétiques, sous son pontificat, retourneront à l’unité de la Sainte Église Catholique Romaine. Elle souligna, de nouveau, à la fin, que le futur pape était dans le moment, un simple prêtre et se trouvait dans un pays assez lointain.
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«DIEU va envoyer deux peines :
l'une sera sous la forme de guerres, de révolutions et d'autres maux, elle aura la terre pour d'origine.
L'autre sera envoyée du ciel. Il viendra sur la terre entière une intense obscurité d'une durée de trois jours et trois nuits. Rien ne pourra être vu, et l'air sera chargé de la peste qui demande principalement, mais pas seulement, les ennemis de la religion. Il sera impossible d'utiliser l'éclairage humain au cours de cette obscurité, à l'exception des bougies bénies. Celui, qui, par curiosité, ouvrira sa fenêtre pour regarder dehors, ou quitter son domicile, mourra sur place. Au cours de ces trois jours, les gens devront rester dans leur maison, prier le ROSAIRE et supplier DIEU de miséricorde».
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«Tous les ennemis de l'Église, connus ou inconnus, périront sur l'ensemble de la terre au cours de cette obscurité universelle, à l'exception de quelques-uns que DIEU convertira bientôt. L'air sera infecté par des démons qui apparaitront sous toutes sortes de formes hideuses».
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«La religion doit être persécutée et les prêtres massacrés. Les Églises seront fermées, mais seulement pour un court laps de temps. Le Saint-Père sera obligé de quitter Rome».
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être en mesure d'arriver à tout règlement satisfaisant décideront à la dernière extrémité d'avoir recours au SAINT-SIÈGE. Ensuite, le pape adressera à la FRANCE un légat .... En conséquence, des informations reçues, Sa Sainteté devra elle-même désigner un roi chrétien pour le gouvernement de la FRANCE».
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«Après les trois jours de ténèbres, SAINT-PIERRE et SAINT PAUL, après être descendu du ciel, prêcheront dans le monde entier et désigneront un nouveau pape. Une grande lumière se mettra à clignoter à partir de leur corps et choisira le cardinal qui deviendra le Pape, puis le christianisme se propagera à travers le monde. Il est le saint Pontife, choisi par DIEU pour résister à la tempête. A la fin, il aura le don des miracles, et son nom sera loué sur toute la toute la terre».

(Yves Dupont, catholique Prophecy, Tan Livres et Editeurs, 1973)

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ANNA MARIA a vu dans l'éclat de la lumière que Rome serait menacée par des guerres et des révolutions, et qu'une grande tribulation viendrait sur le monde entier.
Que les hommes de toutes les religions essayeront de revenir à l'Église, ce qui devrait également ouvrir la voie à confusion à ces fidèles de l'Église de ROME.
Et une vue plus terrible ANNA MARIA vit, en regardant dans la boule de lumière : 
«Voici venir sont sur l'ensemble de la terre une intense obscurité une durée de trois jours et trois nuits.

Rien ne sera visible, et l'air sera chargé de la peste qui demande principalement, mais pas seulement, les ennemis de la religion .- En ce terrible moment, un grand nombre de ces hommes méchants, les ennemis de l'Église, et de DIEU, seront tués par ce fléau divin dont les cadavres autour de ROME seront aussi nombreux que les poissons, qui lors d'une récente inondation du Tibre recouvrirent la ville.

Tous les ennemis de l'Église, secrets et connus, périront sur terre au cours de cette obscurité universelle, à l'exception de quelques-uns, que DIEU convertira bientôt.

L'air sera infecté par des démons, qui apparaîtront sous toutes sortes de formes visibles». 

Puis sa vision continue : 
«Il sera impossible d'utiliser l'éclairage au cours de cette obscurité, à l'exception des bougies bénies. Celui, qui par curiosité , Ouvrira sa fenêtre pour regarder dehors, ou quitter son domicile, mourra sur place. Au cours de ces trois jours, les gens devront rester dans leur maison, prier le ROSAIRE et supplier DIEU de miséricorde»
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