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04/05/2009

PROPHETIES JEANNE VERGNE

PROPHÉTIES
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(1853/1927)
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Jeanne VERGNE, née à Argentat (Corrèze), le 3 décembre 1853, est morte à Paris, le 2 janvier 1927. Le chanoine LANDRY, du Chapitre de Notre Dame de Paris, l'a présentée en ces termes, dans une préface au livre de Gabrielle Maurice Burnos : «UNE ÂME PRIVILÉGIÉE, JEANNE VERGNE» , chez Casterman, Paris, 1936, avec l'imprimatur de l'archevêché de Paris :
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BIOGRAPHIE
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Une ouvrière qui a dû quitter trop jeune le foyer familial (et qui) gagne modestement sa vie en recouvrant des parapluies. Elle est successivement conduite par les circonstances à Lyon, à Lille, à Paris. Elle inspire un profond amour à un jeune homme de condition aisée qui la choisit comme fiancée, qu'elle aime de tout son cœur et qu'elle ne peut épouser (la mort le lui ayant ravi). Elle mène une existence discrète, pauvre, où après de trop longues années d'oubli, la prière et les pratiques de piété prennent de plus en plus de place. Un moment vient, où à son grand regret, elle abandonne son travail et se trouve réduite à vivre au jour le jour dans l'incertitude du lendemain sans que jamais l’inquiétude ait prse sur son esprit.
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Les personnes qui l'approchent de plus près la voient toujours calme, douce, patiente, sereine, confiante en Dieu, même quand la maladie la tenaille. Elle se déclare heureuse ; elle remercie le Souverain Maître de l'avoir éprouvée par la souffrance et de lui avoir fait aimer la douleur et la pauvreté.
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Jeanne VERGNE a résumé, en quelques mots, sa mission prophétique :
«Mon Dieu, vous m'ordonnez de dire que vous aimez la France et que vous la voulez de nouveau soumise à votre sainte loi.Le mal est si grand, Seigneur, que le découragement s'empare de nous et que les plus vaillants se désespèrent. Mais vous êtes notre force.... Vous avez vos desseins, et ce n'est pas une indigne créature comme moi qu'il appartient de discuter vos ordres. Je dois obéir et je vous promets de me donner toute entière à la tâche sacrée que Vous m'avez confiée... Je vous remercie, ô mon Dieu, de m'avor éprouvée par la souffrance... Je vous remercie, de m'avoir fait naître sur ce sol de France... de m'avoir révélé d'une manière mystérieuse les destinées de ma Patrie...»
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PROPHÉTIES
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En 1892, lors d'un voyage retentissant de Guillaume II à Jérusalem, Jeanne VERGNE prédit la future déchéance de l'orgueilleux empereur allemand :
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«Ce n'est pas un chrétien qui va glorifier le Divin Rédempteur aux lieux de son martyr, mais un ambitieux qui perdra son empire...»
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En 1897, Notre Seigneur lui ordonna :
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«Dis à ta Patrie qu'elle revienne à moi. Dans un temps, elle sera relevée et glorieuse» .
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Dès le début de la guerre de 1914, Jeanne VERGNE annonça la victoire de la Fance et de ses alliés. En 1915, pour la consoler, Jésus lui déclara :
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«Je te parle toujours de ma Miséricorde pace que Je suis ardemment aimé dans ce pays séparé de Moi. Les châtiments, J'aurais voulu vous les éviter, mais c'est vous-mêmes, pauvre enfants qui les avez attirés sur vous, en vous éloignant de Moi. Je règne sur Paris que J'ai sauvé. Je règne sur la France que J'aime et qui Me reviendra. Mais vous reconnaitrez tous que vos souffrances sont dues à la situation que vous avez créée vous-mêmes» .
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En 1917, Jeanne VERGNE déclara que le conflit se terminerait l'année d'après.

Le 19 novembre 1920 pendant les déceptions qui suivirent l'enthousiasme de la victoire, elle écrivit dans un lettre :
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«Il faut faire confiace à la France, elle se relèvera par ses propres moyens, sans l'appui des Nations qui l'ont aidée dans la guerre parce que leur existence était en jeu, et qui, aujourd'hui, nous font une guerre indigne de notre confiance et de notre amitié. Je crois que ce qui semble se trâmer contre nous tournera plus tard à l'avantage d'une France assagie et visiblement guidée par Dieu vers les destinées qu'Il lui prépare. Je ne puis désespérer de l'avenir malgré un présent qui nous déconcerte. Comment le pays appauvri, ruiné, pillé pourra-t-il se relever ? Le bon Dieu a ses moyens à Lui. C'est à nous de vivre au jour le jour en nous mettant entre ses mains».
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Le 2 décembre 1920, au Sacré-cœur de Montmartre, elle entendit ces paroles :

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«Je sauverai ta Patrie».
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Elle écrivit le même jour :
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«Je sais que le bon Dieu veut sauver la France et avec elle le monde entier, parce qu'il n'y aurait de sécurité nulle part si la France disparaissait. C'est ce que notre divin Maître m'a fait comprendre».
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Elle ajoutait, évoquant tous les complots tramés contre nous dans le monde :
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«On dirait que toutes les puissances de l'enfer sont déchaînées contre notre pauvre pays et contre notre race».
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Le 2 mai 1924, elle remarquait :
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«Les forces de Satan ont des limites et la puissance de Dieu peut tirer le bien du mal».
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A l'aube de Pâques de la même année, Notre Seigneur lui avait dit :
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«Tu crois à ma résurrection ? Eh bien ! Crois à la résurrection de la France qui sera renouvelée après la prédication de l'Evangile».
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En 1925, après la victoire électorale du Cartel des gauches amenant la chute du franc et les menaces de persécution religieuse, Jeanne VERGNE écrivait, le 20 mars :
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«J'ai besoin de me répéter souvent cette parole de Notre Seigneur à ses apôtres :
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«J'ai vaincu le monde».
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Oui, je pense qu'Il est le Maître et que ceux qui nous ruinent seront un jour balayés par un sursaut de révolte et de colère provoqué dans ce pays par leur bêtise et leur infamie.
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Il faut que Dieu revienne chez nous, qu'Il y soit le Maître adoré, et que les suppôts de Satan ne puissent plus empêcher les enfants de le connaître et de l'aimer. Il faut qu'on oblige les éducateurs de la jeunesse à lui enseigner le Décalogue, qu'il y ait un Dieu et un autre vie».
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Jeanne VERGNE a prévu de dures épreuves pour notre pays, notamment de sévères restrictions alimentaires :
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«Ce que vous avez à la poignée, vous l'aurez à la pincée».
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Mais le 23 juin 1925, elle notait une réconfortante promesse du Sacré-Coeur
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«Je L'ai prié (à Montmartre) ce Coeur si bon et si doux. Il m'a dit :
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«Oui, je vous sauverai. J'adoucirai l'épreuve. Ma Mère très sainte et tant aimée me supplie pour cette France qu'elle aime tant, dont elle est la Reine et la protectrice. Je ne puis rien lui refuser et c'est à elle seule que vous dvrez votre salut».
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Comment serons-nous sauvés ? Jeanne VERGNE répond :
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«Nous ne pouvons savoir ce que Dieu fera (pour la France). Nous ne pourrions le comprendre s'il daignait nous révéler ses desseins.... Personne ne peut se figurer comment il nous sauvera, c'est son secret à Lui».
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Mais Jeanne VERGNE annonce, comme tant d'autres voyants, le triomphe de la France dans le monde.
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«Le Seigneur, notait-elle le 22 juillet 1926, veut sa France toute à Lui avec tout son territoire. La France redevenue chrétienne et soumise à son Dieu rayonnera dans le monde parce qu'il est dans les desseins de Dieu de la sauver et de lui rendre tous ses droits».
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Elle a vu aussi le changement de régime et le chef sauveur.
Dans une lettre du 18 janvier 1926, elle écrivait :
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«Les temps difficiles que nous traversons et qui menacent de devenir plus durs encore, me font adresser à Notre Seigneur de plus ardentes prières. Il a mis dans ma pensée de telles consolations que j'en ai plus de courage.
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L'homme de génie que sa divine sagesse a promis à la France chrétienne et fidèle à son amour, sera accueilli avec joie, même par ceux qui aujourd'hui sont ses adversaires.
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Je crois que pour cela, il faut que nous passions par de telles épreuves qu'il soit nécessaire de bouleverser toutes nos institutions pour rétablir l'ordre, rendre à ce malheureux pays une organisation qui lui manque et rétablir son crédit».
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Les poésies de Jeanne VERGNE prédisent les mêmes faits que la correspondance : le triomphe de la France et de l’Église sera précédé de grandes épreuves.
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«Hélas le temps n'est plus aux trompeuses chimères.
Si les réalités nous paraissent amères
Nous savons qu'il faudra quand même les subir.
Nos grands soldats disaient : «Tenir. Il faut tenir !...».
Ce mot d'ordre donné par des âmes vaillantes
Peut rendre l'énergie aux âmes défaillantes
Il peut aller partout réveiller des échos
Dans les coeurs effrayés d'un terrible chaos
Nous sommes là devant nos immenses ruines
Il faut nous appuyer sur des forces divines
Nous devons écarter les ronces du chemin
Tracer la route.... et Dieu peut nous tendre la main
Après les jours sanglants, voici les jours mauvais
Nous les traverserons en vivant désormais
Avec plus de sagesse.... et malgré nos misères,
Nous saurons inventer les choses nécessaires
Le bien être produit d'un orgueilleux progrès,
S'évanouit, laissant les plus amers regrets
La lutte pour la vie est une autre souffrance
Et nous aurons besoin d'une grande espérance
Les sévères leçons de la nécessité
Ramèneront les jours de la postérité...
Pour nous encourager, nous aurons la prière
Nous savons qu'il bénit les pus humbles travaux
Et sa bonté divine adoucira nos maux».
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Le 15 août 1925, Jeanne VERGNE implorait la venue du Chef sauveur annoncé :
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«De la France, ô Marie ! Obtenez le pardon ;
Rappelez au Seigneur sa divine promesse :
Un chef, que guidera l’Éternelle sagesse,
Dans le texte des lois remettra son saint nom.
Elle aussi, révèle que ce grand chef sera “Roi du Sacré-cœur».
Les douloureux échecs que vous avez permission
Pour que nous comprenions nos austères devoirs
Nous font craindre des jours sinistres et bien noirs...
Seigneur, vous régnerez malgré vos ennemis.
Vous régnerez chez nous, vous l'avez dit Vous-même.
C'est Votre Coeur Sacré dont l'amour infini
Nous promet un grand chef que vous avez béni
A qui vous donnerez l'autorité suprème.
Il aura pour parler, en votre nom, Seigneur
Et pour vous ramener la Fance toute entièrement
L'Esprit-Saint qui répand sa divine lumière
Dans cette intelligence et dans ce noble coeur.
Cette âme de héros à l'humilité sainte
Que vous aimez chez ceux qui par vous sont chosis
Pour vos gestes divins... De douloureux soucis
Mettent dans sa prière une émouvante plainte.
Et si dans sa douleur, il exprimait un voeu
Donnez-lui pour l'aider dans un tâche ardue
Des chétiens comme lui... Car la France est perdue
Si vous ne venez pas la sauver, ô mon Dieu !
Paraitra-t-ll bientôt sur la scène du monde
Le génie inconnu que nous attendons
Pour nous dédommager de lâches abandons
Et pour nous délivrer de cette tourbe immonde
Que déversent chez nous tant de peuples divers ?
Un grand chef de l'état, vaillant, pieux et sage
Vous rendra, ô mon Dieu ! Le solennel hommage
Que la Fance vous doit aux yeux de l'univers.
Alors, jetant au loin son masque d'athéisme,
La France prouvera à d'autres nations
Qui l'ont sacrifiée à leur ambitions
Qu'elle renaît, malgré leur féroce égoïsme».
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Une renaissance magnifique est annoncée :
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«Rassure-toi, dit en 1903, Notre Seigneur à Jeanne VERGNE, l'Eglise de France redeviendra plus puissante qu'elle ne le fut à aucune époque de votre histoire».
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