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10/11/2010
PRIÈRES D'ABANDON, DON DE SOI-MÊME, MESSE INTÉRIEURE
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PRIÈRE D'ABANDON suivie de LA PETITE MESSE INTÉRIEUR |
PRIÈRES D'ABANDON
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CHARLES DE FOUCAULT
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Mon PÈRE,
Je m'abandonne à toi, Fais de moi ce qu'il te plaira. Quoi que tu fasses de moi, Je te remercie. Je suis prêt à tout, j'accepte tout, Pourvu que ta volonté Se fasse en moi, En toutes tes créatures, Je ne désire rien d'autre, mon DIEU. Je remets mon âme entre tes mains. Je te la donne, mon DIEU, Avec tout l'amour de mon cœur, Parce que je t'aime, Et que ce m'est un besoin d'amour De me donner, De me remettre entre tes mains sans mesure, Avec une infinie confiance Car tu es mon PÈRE .
BIENHEUREUX CHARLES DE FOUCAULT (1858/1916)
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SAINTE ÉDITH STEIN
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Laisse-moi, Seigneur, marcher sans voir sur les chemins qui sont les tiens. Je ne veux pas savoir où tu me conduis. Ne suis-je pas ton enfant ?
Tu es le PÈRE de la Sagesse et aussi mon PÈRE. Même si tu me conduis à travers la nuit, tu me conduis vers toi.
Seigneur, laisse arriver ce que tu veux : je suis prête, même si jamais tu ne me rassasies en cette vie. Tu es le Seigneur du Temps.
Fais tout selon les plans de la Sagesse. Quand doucement tu appelles au sacrifice, aide-moi, oui, à l’accomplir. Laisse-moi dépasser totalement mon petit moi, pour que morte à moi-même, je ne vive plus que pour toi !
SAINTE ÉDITH STEIN (1891/1942)
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JEAN-PAUL II
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Seigneur, voilà plus de soixante-cinq ans que Tu m'as fait le don inestimable de la vie, et depuis ma naissance, Tu n'as cessé de me combler de tes grâces et de ton amour infini. Au cours de toutes ces années se sont entremêlés de grandes joies, des épreuves, des succès, des échecs, des revers de santé, des deuils, comme cela arrive à tout le monde. Avec ta grâce et ton secours, j'ai pu triompher de ces obstacles et avancer vers Toi. Aujourd'hui, je me sens riche de mon expérience et de la grande consolation d'avoir été l'objet de ton amour. Mon âme te chante sa reconnaissance.
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Mais je rencontre quotidiennement dans mon entourage des personnes âgées que Tu éprouves fortement : elles sont paralysées, handicapées, impotentes et souvent n'ont plus la force de Te prier, d'autres ont perdu l'usage de leurs facultés mentales et ne peuvent plus T'atteindre à travers leur monde irréel. Je vois agir ces gens et je me dis : «Si c'était moi ?» Alors, Seigneur, aujourd'hui même, tandis que je jouis de la possession de toutes mes facultés motrices et mentales, je T'offre à t'avance mon acceptation à ta sainte volonté, et dès maintenant je veux que si l'une ou l'autre de ces épreuves m'arrivait, elle puisse servir à ta gloire et au salut des âmes. Dès maintenant aussi, je Te demande de soutenir de ta grâce les personnes qui auraient la tâche ingrate de me venir en aide.
Si, un jour, la maladie devait envahir mon cerveau et anéantir ma lucidité, déjà, Seigneur, ma soumission est devant Toi et se poursuivra en une silencieuse adoration. Si, un jour, un état d'inconscience prolongée devait me terrasser, je veux que chacune de ces heures que j'aurai à vivre soit une suite ininterrompue d'actions de grâce et que mon dernier soupir soit aussi un soupir d'amour. Mon âme, guidée à cet instant par la main de MARIE, se présentera devant Toi pour chanter tes louanges éternellement.
JEAN-PAUL II (1920/2005)
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SAINT IGNACE DE LOYOLA
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Prenez dans vos mains, Seigneur, ma liberté entière ;
Recevez ma mémoire, mon intelligence et toute ma volonté. Tout ce que j'ai Tout ce que je possède, C'est vous qui me l'avez donné. Je vous le rends et vous le livre sans réserve ; Pour le soumettre entièrement à votre Volonté. Donnez-moi seulement Votre Amour et votre Grâce Et je serai suffisamment comblé. Je ne demande rien au-delà. SAINT IGNACE DE LOYOLA (1491/1556) |
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SAINTE THÉRÈSE DE L'ENFANT-JÉSUS ET DE LA SAINTE FACE
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O mon DIEU ! TRINITÉ Bienheureuse, je désire vous aimer et vous faire aimer, travailler à la glorification de la Sainte Église en sauvant les âmes qui sont sur la terre et en délivrant celles qui souffrent dans le purgatoire.
. Je désire accomplir parfaitement votre volonté et arriver au degré de gloire que vous m'avez préparé dans votre royaume ; en un mot je désire être sainte, mais je sens mon impuissance et je vous demande, o mon DIEU, d'être vous-même ma sainteté. .
Puisque vous m'avez aimée jusqu'à me donner votre FILS unique pour être mon Sauveur et mon Époux, les trésors infinis de ses mérites sont à moi ; je vous les offre avec bonheur, vous suppliant de ne me regarder qu'à travers la Face de JÉSUS et dans son Cœur brûlant d'amour. .
Je vous offre encore tous les mérites des saints qui sont au ciel et sur la terre, leurs actes d'amour et ceux des saints anges ; enfin, je vous offre, o Bienheureuse TRINITÉ, l'amour et les mérites de la SAINTE VIERGE, ma MÈRE chérie ; c'est à elle que j'abandonne mon offrande, la priant de vous la présenter. Son divin FILS, mon Époux bien-aimé, aux jours de sa vie mortelle, nous a dit : «Tout ce que vous demanderez à mon PÈRE en mon Nom, il vous le donnera !» Je suis donc certaine que Vous exaucerez mes désirs ; je le sais, o mon DIEU, plus vous voulez donner, plus vous faites désirer. Je sens en mon cœur des désirs immenses et c’est avec confiance que je vous demande de venir prendre possession de mon âme. Ah! Je ne puis recevoir la Sainte Communion aussi souvent que je le désire, mais Seigneur, n’êtes-vous pas le Tout-Puissant ? Restez en moi, comme au tabernacle, ne vous éloignez jamais de votre petite hostie… .
Je voudrais vous consoler de l’ingratitude des méchants et je vous supplie de m’ôter la liberté de vous déplaire ; si, par faiblesse, je tombe quelquefois, qu'aussitôt votre divin regard purifie mon âme, consumant toutes mes imperfections comme le feu qui transforme toutes choses en lui-même. .
Je vous remercie, Ô mon DIEU, de toutes les grâces que vous m’avez accordées, en particulier de m’avoir fait passer par le creuset de la souffrance. C’est joie que je vous contemplerai au dernier jour portant le sceptre de la Croix ; puisque vous avez daigné me donner en partage cette Croix si précieuse, j’espère au Ciel vous ressembler et voir briller sur mon corps glorifié les sacrés stigmates de votre Passion. .
Après l’exil de la terre, j’espère aller jouir de vous dans la Patrie, mais je ne veux pas amasser de mérites pour le Ciel, je veux travailler pour votre seul amour, dans l’unique but de vous faire plaisir, de consoler votre Cœur Sacré et de sauver des âmes qui vous aimeront éternellement. .
Au soir de cette vie, je paraîtrai devant vous les mains vides, car je ne vous demande pas, Seigneur, de compter mes œuvres. Toutes nos justices ont des taches à vos yeux. Je veux donc me revêtir de votre propre Justice et recevoir de votre Amour la possession éternelle de vous-même. Je ne veux point d’autre trône et d’autre Couronne que vous, o mon Bien-Aimé ! A vos yeux, le temps n’est rien, un seul jour est comme mille ans ; vous pouvez donc en un instant me préparer à paraître devant vous. .
Afin de vivre dans un acte de parfait amour, je m’offre comme victime d’holocauste à votre Amour miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, laissant déborder en mon âme les flots de tendresse infinies qui sont renfermés en vous, et qu’ainsi je devienne martyre de votre Amour, o mon DIEU ! . Que ce martyre, après m’avoir préparé à paraître devant vous, me fasse enfin mourir et que mon âme s’élance sans retard dans l’éternel embrassement de votre miséricordieux Amour. .
Je veux, o mon Bien-Aimé, à chaque battement de mon cœur, vous renouveler cette offrande un nombre infini de fois, jusqu’à ce que, les ombres s’étant évanouies, je puisse vous redire mon amour dans un face à face éternel ! .
SAINTE THÉRÈSE DE L'ENFANT-JÉSUS ET DE LA SAINTE FACE (1873/1897)
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MARTHE ROBIN
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Seigneur mon DIEU, vous avez tout demandé à votre petite servante ; prenez donc et recevez tout. En ce jour, je me remets à vous sans réserve et sans retour
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MARTHE ROBIN (1902/1981)
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SAINTE THÉRÈSE D'AVILA
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Je suis à toi, Seigneur,
pour toi je suis née, pour toi je veux vivre ; Seigneur, que veux tu de moi ? Je suis à toi car tu m'as créée,
je suis à toi car tu m'as appelée, je suis à toi car tu m'as attendue, sans toi, Seigneur, je me serais perdue, DIEU, Miséricorde, Éternelle Sagesse. Voici mon corps, ma vie et mon âme, je les remets entre tes mains, à toi pour toujours je me suis consacrée, que veux tu m'ordonner, ô bon Maître ? toi dont l'amour chaque jour nous rachète. Donne moi la mort ou la vie, donne moi l'ombre ou la gloire, donne moi le combat ou la paix, donne à ma vie la faiblesse ou la force, à tout je dis : Oui. Donne moi pauvreté ou richesse, donne moi la source ou le désert, donne moi la joie ou la tristesse, donne moi les épreuves ou donne moi le ciel, ma douce vie, soleil sans nuage. Seigneur, si tu me veux dans la joie, par amour pour toi je veux me réjouir, si tu me fais porter le poids du jour, pour toi je veux mourir à la peine, dis moi. où, dis moi comment. SAINTE THÉRÈSE D'AVILA (1515/1582)
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L'OFFRANDE D'AMOUR
d'après la vénérable CONCEPTIÓN CABRERA DE ARMIDA
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SURNOMMÉE «LA GRANDE CONCHITA»
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L'acte principal de l'Incarnation mystique est une offrande qui réalise, non pas en deux actes mais dans un même élan indivisible, l'offrande du CHRIST à son PÈRE et, en union avec Lui, par Lui et en Lui, l'offrande totale de notre propre vie pour le salut du monde et la plus grande gloire de la TRINITÉ ; le mouvement principal consiste dans l'oblation du VERBE à son PÈRE, accompagné de l'offrande personnelle et inséparable de nous-mêmes, celle-ci sans réserve, continuellement renouvelée, portant sur tout notre être, au cours de toutes les étapes de notre vie spirituelle, en union avec le CHRIST..
Le Seigneur a clairement expliqué, à maintes reprises, ce double aspect de l'unique offrande d'amour du CHRIST avec son Église. Mais cette offrande d'amour, quintessence de la spiritualité de la Croix, n'est qu'une oblation indivisible du VERBE incarné et de tous les membres de son corps mystique. Le CHRIST était seul sur la Croix à s'offrir à son PÈRE en expiation de tous les péchés du monde : .
maintenant, Il s'offre avec toute son Église, consciente de l'unité de cette offrande d'amour du CHRIST total.
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«Le VERBE ne s'est incarné et ne s'incarne encore dans les âmes que pour être crucifié. C'est la fin de toutes les incarnations mystiques... Ton VERBE vient de s'incarner mystiquement dans ton cœur.... Pour y être continuellement sacrifié non sur un autel de pierre, mais dans un temple vivant de l'ESPRIT-SAINT, par un prêtre et une victime qui, en une grâce inconcevable, a reçu de pouvoir participer à l'amour du Père. En effet, le PÈRE veut que Moi-même, uni à ton âme de victime, Je fasse que tu me sacrifies et m'immoles avec l'amour même du PÈRE en faveur d'un monde qui a besoin de ce choc spirituel et d'une grâce de ce genre pour se convertir, embrasser la Croix et se sauver.»
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(22 octobre 1907)
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L'âme ainsi crucifiée est appelée à vivre, non avec les perspectives étroites de ses soucis quotidiens, mais en union avec le CHRIST et sous les vastes horizons de la Rédemption du monde. Sa vie est valorisée à l'infini ; bien qu'elle soit si peu de chose par elle-même, elle acquiert une valeur infinie de glorification de DIEU et de salut des hommes à cause de son union avec la Personne même du VERBE incarné, Prêtre et Hostie. D'où l'incalculable valeur apostolique d'une telle vie. C'est le secret de la fécondité sans limites de la communion des saints. L’existence obscure et silencieuse de la MÈRE DE DIEU, au soir de sa vie, revêtait dans l'application des mérites du CHRIST, au bénéfice de l’Église naissante, une immense valeur co-rédemptrice incomparablement supérieure à tous les travaux des apôtres et aux souffrances de tous les martyrs. .
«L'incarnation mystique -déclarait le Seigneur- a pour fin l'offrande de moi-même dans ton cœur, comme victime expiatoire arrêtant à chaque instant la justice divine et obtenant les grâces du ciel.»
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(2 février 1911)
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L'ÉGLISE ET LE CHRIST NE FONT QU'UN DANS UNE MÊME ŒUVRE DE RÉDEMPTION
d'après la vénérable CONCEPTIÓN CABRERA DE ARMIDA SURNOMMÉE «LA GRANDE CONCHITA»
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«CECI EST MON CORPS»
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«J'ai renouvelé mon offrande à la volonté de DIEU et je lui ai dit -Seigneur, j'accepte cette grâce de l'incarnation mystique avec toutes ses conséquences de joies et de peines, puisque Tu le veux ainsi et non parce que j'en suis digne.-
. Insistant sur ce que Lui-même indiquera de la manière d'employer cette grâce, Il m'a dit : .
«La fin principale de cette grâce est une transformation qui unisse tes vouloirs aux miens, ta volonté à la mienne, ton immolation à la mienne. Toute pure et toute sacrifiée dans ton corps et dans ton âme, tu dois t'offrir et M'offrir au PÈRE céleste à chaque instant, à chaque respiration, en faveur d'abord de mes prêtres et de mon Église, puis des Œuvres de la Croix, du monde entier, des bons et des méchants. Tu dois te transformer en charité, c'est à dire en Moi, qui suis tout Amour, tuant le «vieil homme», ne faisant avec Moi qu'un seul cœur, et une seule volonté»
«Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang» Je répète cela au PÈRE éternel, à chaque instant, sur les autels.
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«Rends-toi digne, autant que possible, d'offrir ton corps, ton sang, ton âme et tout ce que tu es, comme je te l'ai dit, en union avec cette immolation continuelle en faveur du monde. Reproduis ma vie en toi avec la marque du sacrifice, devenant un holocauste vivant à sa gloire. Seule, tu ne vaux rien, mais en union avec Moi tu accompliras ta mission sur terre en sauvant les âmes dans un holocauste secret connu de DIEU seul. La fin de l'incarnation mystique c'est la fusion de ma vie en toi, selon tout son déroulement sur la terre. Laisse-toi faire, t'ai-Je dit un jour, et aujourd'hui Je te répète : laisse-Moi venir à toi, et t'identifier avec Moi et te transformer par le moyen de ma vie divine dans ton cœur. Laisse-moi te posséder, te simplifier en DIEU, dans notre indivisible unité par l'ESPRIT-SAINT.
. J'attends tout cela de toi pour la réalisation de mes desseins très élevés. Si tu y correspond, tu seras le canal de nombreuses grâces pour le monde, car ce ne sera plus toi seule qui demandes et qui t'immoles mais Moi en toi, attirant dons et charismes pour les âmes. Tu dois sauver beaucoup d'âmes, les conduire à la perfection, attirer des vocations, obtenir pour les prêtres beaucoup de faveurs céleste, mais tout cela par le moyen que je t'ai donné, c'est-à-dire par le Verbe avec l'ESPRIT-SAINT.» .
(30 juin 1914)
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«Je veux que tu soies mon hostie et que tu aies l'intention, renouvelée le plus souvent possible de jour et de nuit, de t'offrir avec Moi sur toutes les patènes de la terre. Je veux que transformé en Moi par la souffrance, par l'amour et par la pratique de toutes les vertus, monte vers le ciel ce cri de ton âme en union avec Moi :.
«Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang» . Ainsi ne faisant qu'un par l'amour et la souffrance avec le VERBE Incarné, avec ses mêmes intentions d'amour, tu obtiendras des grâces pour le monde entier, tu m offriras Moi-même et toi aussi tu t'offriras, avec le ESPRIT-SAINT et par MARIE, au PÈRE éternel. . Telle est la fin et l'essence de mes œuvres de la Croix : un rassemblement de victimes unie à la grande Victime, Moi-même, toutes pures, sans le levain de la concupiscence ; elles seront marquées par le reflet de ma Passion, afin que s'élève vers le ciel un cri unanime : . «Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang» . Transformées en prêtres en union avec le Prêtre éternel, elles offriront au ciel, en faveur de l’Église et des prêtres, leurs frères, leurs corps crucifiés ne formant qu'un seul Corps avec le mien, parce qu'ils sont les membres de Celui qui est la Tête, le Christ Rédempteur.. ...une seule Hostie, une seule Victime un seul Prêtre s’immolant et M'immolant dans ton cœur en faveur du monde entier. Le PÈRE recevra avec complaisance cette offrande présentée par l'ESPRIT-SAINT, et les grâces du ciel descendront comme une pluie sur la terre. . Voilà le noyau central, le centre, l'ensemble concret et l'essence de mes Œuvres de la Croix. Il est évident que mon immolation, à elle seule, suffit et avec surabondance pour apaiser la justice de DIEU. Le plus pur christianisme, la fleur de l’Évangile, est-ce autre chose qu'unir toutes les victimes en une seule, toutes les souffrances, toutes les vertus et tous les mérites dans l'UN, c'est à dire en Moi, afin que tout cela prenne de la valeur et obtienne des grâces ? Que vise l'ESPRIT-SAINT dans mon Église sinon à former en Moi l'unité des volontés, des souffrances et des cœurs dans mon Cœur ? Quel fut le désir de mon cœur au cours de ma vie, sinon de réaliser l'unité en Moi par la charité, par l'amour ? Pourquoi le VERBE est-il descendu en ce monde sinon pour former avec sa Chair et son Sang très pur un seul sang afin d'expier et gagner les âmes ? .
L'Eucharistie a-t-elle un autre but que d'unir les corps et les âmes avec Moi, en les transformant et les divinisant ?
. Ce n'est pas seulement sur les autels de pierre, mais dans les cœurs, ces temples vivants de l'ESPRIT-SAINT, que l'on doit offrir au ciel cette victime en Lui ressemblant, les âmes elles aussi s'offrant en hosties, en victimes.....DIEU en sera profondément touché.» (6 juin 1916)
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En définitive l'offrande d'amour est l'exercice continuel du «sacerdoce royal» du Peuple de DIEU» . Si l'on relit attentivement les textes bibliques et les passages classiques de SAINT PIERRE et de SAINT PAUL sur le «sacerdoce des fidèles» on verra que cette doctrine est de l'essence même du christianisme.. SAINT PIERRE rappelle aux premiers chrétiens leur «sacerdoce saint» en vue d'offrir des sacrifices spirituels, agréables à DIEU par JÉSUS-CHRIST (I PIERRE 2,5) |
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BIENHEUREUSE ÉLISABETH CANORI MORA (1774-1825)
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MARIE lui ordonna d'offrir le sang de son FILS au PÈRE éternel et ajouta :
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«Joins à cette offrande celle de tes douleurs et de tes afflictions, ainsi que l'amour dont ton cœur est pénétré» |
PRIÈRE D'ABANDON suivie de LA PETITE MESSE INTÉRIEURE
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Seigneur, mon DIEU, Roi du ciel, par les mains de la très SAINTE VIERGE MARIE, je te donne mon âme, mon esprit, ma vie, ce que je suis, ce que j'ai, mes misères, mes péchés, mes joies, mes peines, ma mémoire, mon intelligence, ma volonté..
Je suis la servante du Seigneur qu'il soit fait selon sa volonté.. Seigneur mon DIEU, Roi du ciel, par les mains de la très SAINTE VIERGE MARIE, je te donne mon corps et ma santé, je te donne mon cœur qui ne bat que pour toi et je te demande de mettre ton cœur à la place du mien pour que j'aime avec ton cœur, que je vois avec tes yeux et que tu parles par ma bouche.. Possède-moi selon l'étendue de ton bon plaisir |
PÈRE, je vous demande d'accepter cette petite messe intérieure pour l'Église, le monde. Qu'elle nous attire à vous, nous conduise à vous par la voie de la sainteté et nous soutienne dans nos épreuves.
. PÈRE, je vous présente le calice qui est mon cœur et qui contient le corps de notre Seigneur JÉSUS-CHRIST. . ESPRIT-SAINT, je vous demande d'offrir à DIEU notre PÈRE, le calice qui est mon cœur et qui contient le corps de notre Seigneur JÉSUS-CHRIST. . Voici le corps de notre Seigneur JÉSUS-CHRIST livré pour nous. . PÈRE, je vous présente le calice qui est mon cœur et qui contient le sang de notre Seigneur JÉSUS-CHRIST. . ESPRIT-SAINT, je vous demande d'offrir à Dieu notre PÈRE, le calice qui est mon cœur et qui contient le sang de notre Seigneur JÉSUS-CHRIST. . Voici le sang de notre Seigneur JÉSUS-CHRIST versé pour nous. |
PRODIGES EUCHARISTIQUE
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LE DON DE SOI-MÊME par le Vénérable PÈRE
MARIE-EUGÈNE DEL'ENFANT-JÉSUS |
peut manquer d'attirer le
Tout-Puissant à ne faire qu'un avec
notre bassesse». 1.
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A. NÉCESSITÉ ET EXCELLENCE DU DON DE SOI
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«Mon bon plaisir n'est pas avec vous, dit le Seigneur des Armées, et je n'accepterai plus d'offrande de votre main. Car de l'Orient à l'Occident mon nom est grand parmi les nations. En tout lieu une victime pure m'est offerte et immolée parce que mon nom est grand parmi les nations, dit le Seigneur des Armées». 1.
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DIEU témoignait ainsi de son impatience de voir enfin les figures céder à la réalité. Cette réalité, c'est l'oblation du CHRIST. Cette oblation qui faisait toute la valeur des sacrifices figuratifs sous l'ancienne Loi, peut seule, sous la nouvelle Loi, donner tout son sens au don de soi réalisé par le chrétien.
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«Le CHRIST en entrant dans ce monde a dit : Parce que vous n'avez pas voulu ni sacrifice, ni oblation, vous m'avez formé un corps. Vous n'avez plus eu pour agréable ni holocaustes, ni sacrifices pour le péché, alors j'ai dit : Me voici (car il est question de moi dans le rouleau de la BIBLE) je viens, Ô DIEU pour faire votre volonté». 2.
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Le CHRIST en ce premier geste de son humanité, s'offre en oblation à son PÈRE. Ce don complet de Lui-même est un adhésion amoureuse à l'emprise du VERBE et au dessein de DIEU qui l'a créé pour le sacrifice. Par l'oblation, c'est le sacrifice du calvaire qui commence. Dès ce moment, JÉSUS est prêtre et victime et la rédemption s'opère.
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«J'ai quelque chose à manger que vous ne connaissez pas... Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé et d'accomplir son œuvre». 3.
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L'humanité du CHRIST subsiste dans la personne du VERBE ; si elle s'en séparait par un péché, elle tomberait dans le néant. Mais non, cela n'est pas possible ; l'union est indissoluble, et partant, l'impeccabilité du CHRIST est absolue. Mais puisque l'humanité subsiste dans le VERBE, c'est bien en Lui qu'elle trouve sa vie, et, réellement, la volonté humaine du CHRIST vit spirituellement de son adhésion à la volonté divine.
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«JÉSUS ayant pris du vinaigre dit «Tout est consommé», et la tête inclinée, il rendit l'esprit». 4.
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Toute la vie du CHRIST JÉSUS est enclose entre deux regards sur le livre des décrets divins qui le concernent. Entre l'oblation silencieuse du début qu'a découverte le regard pénétrant du prophète, et la consommation de la fin relatée par l'évangéliste, il n'y a de place que pour une offrande continuelle et un don complet de Lui-même à la volonté de DIEU.
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«Il s'est fait obéissant, souligne l'apôtre, jusqu'à la mort de la Croix. A cause de quoi DIEU l'a exalté en lui donnant un nom au-dessus de tout nom, pour qu'au nom de JÉSUS tout genou fléchisse au ciel, sur la terre et dans les enfers». 5.
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C'est dans la lumière de l'oblation du CHRIST qu'il faut placer le don de soi pour en comprendre la nécessité et la fécondité. Ce que nous avons dit jusqu'à présent ne sont que vérités éparses qui s'harmonisent sous cette lumière et y trouvent une nouvelle force.
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B. QUALITÉS DU DON DE SOI
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Pour qu'il nous obtienne de si hautes faveurs, SAINTE THÉRÈSE n'exige du don de soi qu'une qualité : c'est qu'il soit absolu ou complet.
Le don de soi est une véritable désappropriation de soi au profit de DIEU. Cette désappropriation se fera sentir douloureusement sur tel ou tel point, suivant les attaches de l'âme, mais elle doit être complète. Le jeune |
«Vends tes biens, donne-les aux pauvres et suis-moi». 1.
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est arrêté par la perspective de la séparation de ses biens parce qu'il est riche. Cette vente de ses biens n'était que le premier acte et probablement le plus douloureux et le plus significatif, mais le premier d'un drame qui devait le conduire jusqu'à la remise complète de lui-même au CHRIST qu'énonce le «Suis-moi».
La profession, en ce qu'elle a d'essentiel comme consécration radicale et solennelle faite à DIEU, peut être rapprochée du don de soi. Profession religieuse et don de soi comportent la même désappropriation complète de soi et la remise absolue
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L'offrande de soi doit monter sans cesse de l'âme comme l'expression la plus parfaite de l'amour et comme une provocation continuelle à la miséricorde divine ; par elle l'âme respire et aspire l'amour, se purifie et s'unit à son DIEU. A chaque instant, l'âme rétracte ce don don complet par des reprises et des affirmations de son vouloir propre ; comment réparer sinon en se donnant de
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l'âme a l'impression que les puissances les plus bruyantes ne veulent pas. Qu'importe ! Le don est fait, il est maintenu par la volonté, l'âme a dit son amour et le don atteint Dieu. Par le lien établi, la grâce va descendre, efficace certainement et progressivement apaisante. Sans cette disposition créée par l'habitude, il eût fallu peut-être attendre l'apaisement pour faire le don qui accepte et dépasse les vouloirs divins.
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«Vous allez concevoir et enfanter un fils à qui vous donnerez le nom de JÉSUS. Il sera grand et sera appelé le Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de DAVID, son père : il régnera éternellement sur la maison de JACOB, et son règne n'aura pas de fin». 1.
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MARIE a compris : c'est bien le MESSIE dont l'ange lui propose de devenir la mère. Elle n'y avait point songé, car elle s'ignorait elle-même. La simplicité de sa grâce lui en voilait l'immensité. Elle ne connaissait que DIEU et sa volonté. Devant ces perspectives qui s'ouvrent soudainement devant elle, elle ne posera qu'une question car elle est préoccupée de sa virginité :
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«Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d'homme ?».
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Rassurée par l'ange qui lui répond :
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«Le SAINT-ESPRIT descendra sur vous et la vertu du Très-Haut vous couvrira de son ombre». 2.
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la VIERGE-MARIE, sans hésitation, sans demander quelques jours pour réfléchir et consulter ou même quelques instants pour se préparer, donne pour elle-même et pour toute l'humanité son adhésion au plus sublime et au plus terrible des contrats : à l'union en son sein de l'humanité à la divinité, au Calvaire et au mystère de l'Église. Et le VERBE se fit chair grâce au FIAT de la VIERGE qu'une disposition d'offrande complète et indéterminée avait depuis longtemps préparé en son âme souple et docile.
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A dire vrai, l'indétermination n'est pas une qualité nouvelle du don de soi ; elle est destinée uniquement à protéger la plénitude de ce don contre toutes les réserves plus ou moins conscientes.
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la Passion du CHRIST nous donne un tableau ?
. En effet, dans cette obscurité, il y aura de la souffrance, la participation à la Passion du Christ sous quelque forme, il y aura la mort. Mais qu'elles se rassurent ; en se jetant dans cette obscurité par le don de soi, on tombe nécessairement dans la miséricorde divine. C'est elle qui reçoit l'âme, la baigne de sa paix et de sa force. .
«Le calice est plein jusqu'aux bords, dira SAINTE THÉRÈSE DE L'ENFANT-JÉSUS, mais j'y suis dans une paix étonnante... Je ne voudrais pas moins souffrir... Je ne me repens pas de m'être livrée à l'amour».
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Tel est le témoignage de tous les saints, témoignage qui doit dissiper le nuage de terreurs que le démon soulève devant un acte d'une importance capitale dans la vie spirituelle.
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Pour que le don de soi produise tous les effets que nous avons indiqués, il faut qu'il soit non pas un acte transitoire mais une disposition constante de l'âme. Il ne peut devenir tel qu'à la condition d'être renouvelé fréquemment.
L'offrande de soi doit monter sans cesse de l'âme comme l'expression la plus parfaite de l'amour et comme une . |
A chaque instant, l'âme rétracte ce don don complet par des reprises et des affirmations de son vouloir propre ; comment réparer sinon en se donnant de nouveau par une offrande qui veut être complète et devient chaque fois plus humble et plus défiante d'elle-même.
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«Vous allez concevoir et enfanter un fils à qui vous donnerez le nom de JÉSUS. Il sera grand et sera appelé le FILS du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de DAVID, son père : il régnera éternellement sur la maison de JACOB, et son règne n'aura pas de fin». 1.
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MARIE a compris : c'est bien le MESSIE dont l'ange lui propose de devenir la mère. Elle n'y avait point songé, car elle s'ignorait elle-même. La simplicité de sa grâce lui en voilait l'immensité. Elle ne connaissait que DIEU et sa volonté. Devant ces perspectives qui s'ouvrent soudainement devant elle, elle ne posera qu'une question car elle est préoccupée de sa virginité :
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«Comment cela se fera-t-il, puisque je ne connais point d'homme ?».
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Rassurée par l'ange qui lui répond :
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«Le SAINT-ESPRIT descendra sur vous et la vertu du Très-Haut vous couvrira de son ombre». 2.
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la VIERGE MARIE, sans hésitation, sans demander quelques jours pour réfléchir et consulter ou même quelques instants pour se préparer, donne pour elle-même et pour toute l'humanité son adhésion au plus sublime et au plus terrible des contrats : à l'union en son sein de l'humanité à la divinité, au Calvaire et au mystère de l'Église. Et le VERBE se fit chair grâce au FIAT de la VIERGE qu'une disposition d'offrande complète et indéterminée avait depuis longtemps préparé en son âme souple et docile.
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21:05 Publié dans ANGES ET MYSTIQUES, PRIERES D'ABANDON, DON DE SOI-MEME, MESSE INTERI | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : prieres d'abandon, don de soi-meme, messe interieure
Commentaires
a regarder :
http://prodigeeucharistique.blogspot.com/
Écrit par : ced | 01/03/2009
formidable !
personne n' en parle, hélas...
Écrit par : sokalewitcz | 15/04/2009
sokalewitcz, vous parlez de "LA PETITE MESSE INTERIEURE" ou du "PRODIGE EUCHARISTIQUE" ?
Si vous voulez parler du "PRODIGE EUCHARISTIQUE", vous trouverez une page beaucoup plus complète, ici :
http://leraton-laveuretl-aigle.blogspirit.com/miracles-eucharistiques/
Écrit par : jo | 15/04/2009
Ce que je trouve remarquable, c'est l'abandon.
Comment un être libre peut-il accepter joyeusement de s'abandonner à Dieu, jusqu'à ne rien garder du tout ?
Mais une question plus forte pousse mon étonnement: comment est-il possible de refuser Dieu ?!? Uniquement par l'exercice absolu de la liberté qui nous est donnée de le refuser.
Ainsi, en application de la liberté voulue par Dieu, certains êtres ont choisi leur liberté à l'abandon.
Celui qui s'abandonne a la volonté d'être, et celui qui veut sa liberté a choisi d'avoir.
Cela revient à choisir entre un infini et un fini, entre un tout et une miette, entre une note à une symphonie, mais, aussi fou que cela paraisse, il y en a qui préfèrent cela.
Ceux-là sont fous, et nous aussi, nous sommes fous.
Mais ceux-là ont perdu la raison, et nous nous l'avons trouvée, ceux-là sont aveugles et ne voient rien, et nous, nous sommes aveuglés par la lumière éclatante.
Finalement, nous sommes tous fous et aveugles.
Sauf que les fous libres disent voir, et les aveugles libres voir ce qu'ils ont, alors que les fous offerts voient Dieu et les aveugles consacrés sont.
Écrit par : Jean Manaus | 03/09/2009
Cher Jean, tu dis "Ce que je trouve remarquable, c'est l'abandon.
Comment un être libre peut-il accepter joyeusement de s'abandonner à Dieu, jusqu'à ne rien garder du tout ?"
Un poème d'un orthodoxe, admirable, que tu connais surement, sur la Liberté, que je ne me lasse pas de lire :
La Liberté de KHALIL GIBRAN
" Chappitre 13 La Liberté
Et un orateur dit, Parle-nous de la Liberté.
Et il répondit : Je vous ai vu vous prosterner aux portes de la cité et dans vos foyers, et vous vouer au culte de votre propre liberté, Comme les esclaves qui s'humilient devant un tyran et le louent, alors qu'il les anéantit. Oui, dans le bosquet du temple et dans l'ombre de la citadelle, j'ai vu les plus libres d'entre vous porter leur liberté comme un joug ou des menottes. Et mon cœur saigna en moi ; car vous ne pouvez être libre lorsque vous forgez une chaîne du désir même de la liberté, et quand vous ne cessez de parler de la liberté comme d'un but et un accomplissement.
Vous serez libre en vérité non pas quand vous jours seront sans tourments et vos nuits sans un désir ou un chagrin, Mais d'avantage quand ces choses étrangleront votre vie, et que pourtant vous vous élèverez au-dessus d'elles, nu et sans entraves. Et comment vous élèverez-vous au-delà de vos jours et de vos nuits, à moins que vous ne rompiez les chaînes que vous-même, à l'aurore de votre entendement, avez fixé autour de votre âge mûr ?
En vérité ce que vous appelez liberté est la plus solide de ces chaînes, bien que ses anneaux scintillent au soleil et éblouissent vos yeux. Et à quoi voulez-vous renoncer dans votre quête de la liberté, si ce n'est à des parcelles de vous même ? S'il existe une loi injuste que vous voudriez abolir, cette loi fut écrite de votre propre main sur votre propre front. Vous ne pouvez l'effacer en brûlant vos tables de la loi, ni en lavant le front de vos juges, même si vous déversiez sur eux la mer toute entière.
Et s'il existe un despote que vous voudriez détrôner, voyez d'abord si l'image de son trône érigée en vous est détruite. Car comment le tyran peut-il régner sur les affranchis et les fiers, s'il n'existe une tyrannie dans leur propre liberté et une honte dans leur propre fierté ?
Et s'il existe un tourment que vous voudriez dissiper, le siège de cette crainte est dans votre cœur et non dans la main du tourment. Vraiment, toutes les choses se meuvent dans votre être en une continuelle étreinte fatale ; ce que vous désirez et ce que vous redoutez, ce qui vous attire et ce qui vous répugne, ce que vous poursuivez et ce que vous voulez fuir.
Ces choses se meuvent en vous comme la lumière et l'ombre, en couples enlacés. Et quand l'ombre se dissipe et disparaît, la lumière qui persiste devient l'ombre d'une autre lumière.
Et telle est votre liberté qui, quand elle perd ses entraves, devient l'entrave d'une plus grande liberté".
Écrit par : jo | 03/09/2009
pour ceux qui dooutent de l'existence de Dieu :
http://prodigeeucharistique.blogspot.com/
Écrit par : pixel | 03/09/2009
Tous les éléments de cette tres belle étude sur le rôle de marie sont cohérents et
appellent une réponse , celle de marie dans la communaute de la dame .
bonjour jocelyne j'essaie de te rejoindre , envoie msn ou ...je n'ai pas skype ici
à lac etchemin , j'aurai bientôt le mien ...
Écrit par : jc cayouette | 28/11/2010
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