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07/01/2009
PROPHÉTIES PADRE PIO
SAINT PADRE PI
DE
PIETRELCINA
(1887/1968)
.STIGMATISÉ
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Le décret de canonisation a été promulgué le 26 février 2001 sous le nom de SAINT PIO DE PIETRELCINA.
VIDÉO hommage à PADRE PIO
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SAINT PADRE PIO (FRANCESCO FORGIONE) est né le 25 mai 1887 à Pietrelcina, qui pourrait se traduire par «petite pierre». De fait, ce petit village du Sannio, dans la province de Bénévent, dans la région de Naples, est littéralement accroché à un rocher.
FRANCESCO FORGIONE (c’était son nom) fut habité dès le sein de sa mère par l’œuvre rédemptrice du Sauveur. Il l’avait confié au père AGOSTINO, son père spirituel :
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«Je souffrais dès avant ma naissance» .
Il vécut quatre-vingt-un ans sous la motion de cette grâce de «victime» qui lui faisait dire : «Je suis crucifié d’amour» Il fut baptisé dès le lendemain de sa naissance dans la petite église Sainte-Marie-des-Anges qui se dresse tout près de sa maison natale. FRANCESCO était le deuxième enfant d’une famille de cinq. Deux enfants étaient morts avant sa naissance, l’une de ses petites sœurs deviendra religieuse BRIGITTINE à Rome.Son père GRAZIO FORGIONE devra s’expatrier par deux fois en Amérique, à Buenos Aires, tout d’abord, puis à New York et dans la baie de la Jamaïque, pour payer les études de son fils et, plus tard, les dépenses médicales occasionnées par la piètre santé du jeune religieux. Ce dernier devra, en effet, passer sept longues années hors du couvent, dans sa famille, tant sa santé était délabrée. Quant à la mère, MARIA-GIUSEPPA DI NUNZIO, c’était une femme pieuse, douce et ferme tout à la fois, très travailleuse car elle devait remplacer son époux dans le travail des champs. Elle était pleine d’attention pour son fils FRANCESCO.
Dès l’âge de cinq ans, l’enfant jouissait de la vision de la VIERGE MARIE qu’il priait deux fois par jour à l’église. C’était un garçon silencieux, tranquille et très obéissant. Il disait lui-même qu’il ne valait rien mais qu’il était un «maccherone senza sale», une nouille insipide… Mais le confrère auquel il avait fait cette confidence lui avait répondu : «Vous le dites par sainte humilité !», ce qui n’était pas faux !
«Nous l’élèverons pour expier nos péchés !»
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Et elle ne croyait pas si bien dire. Elle ne se doutait pas le moins du monde, à cette époque-là, de l’exceptionnelle vocation de son petit garçon. Ces attaques diaboliques ne cesseront pratiquement jamais et affligeront PADRE PIO jusqu’à la mort. À cinq ans à peine, il caressait déjà l’idée de se donner tout entier à DIEU. Le père BENEDETTO DA SAN MARCO IN LAMIS, qui fut son provincial et l’un de ses directeurs spirituels, écrivait : .
«A cinq ou six ans, au maître-autel, lui apparut le SACRÉ-CŒUR DE JÉSUS ; il lui fit signe d’approcher de l’autel et lui mit la main sur la tête, attestant d’accepter et de confirmer l’offrande faite à Lui-même et de se consacrer à son amour» Et le père BENEDETTO conclut : «Il sentit s’affermir sa décision et grandir l’ardeur de L’aimer et de se donner tout entier à Lui»À cause de ce devoir de consécration, le petit FRANCESCO redoubla d’intensité dans sa prière d’enfant. Il acceptait les souffrances et s’imposait même, si jeune, des pénitences ! Un jour, «MAMMA PEPPA» le surprit - il n’avait à ce moment que huit ou neuf ans - derrière son lit, qui se frappait avec une chaîne de fer. Elle le supplia de s’arrêter, mais il continuait de plus belle. Elle lui demanda pourquoi il se frappait ainsi :
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«Je dois me battre comme les juifs ont battu JÉSUS, répondit l’enfant, et lui ont fait jaillir le sang sur les épaules !»Le 27 septembre 1899, PADRE PIO fut confirmé et fit sa première communion. Il écrira plus tard :
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«Au souvenir de cette journée, je me sens tout entier dévoré par une flamme très vive qui brûle et ne fait pas mal» .
Ce qui laisse entendre qu’il reçut pleinement les Dons du SAINT-ESPRIT. Grâce aux visites d’un frère capucin, FRANCESCO décida catégoriquement d’être comme lui, un religieux «avec la barbe»Le 6 janvier 1903, FRANCESCO entre au couvent de Morcone, non loin de Pietrelcina. À l’entrée, un écriteau donnait cet avertissement : «Ou la pénitence, ou l’enfer». Le message était clair et le jeune FRANCESCO, qui avait tout juste seize ans, n’eut pas de peine à choisir et à s’engager résolument dans cette vie qui, à cette époque, était très austère et sévère. Il reçut son nom de religieux : désormais il était «FRA PIO DA PIETRELCINA». Plus que jamais, il devint un homme de prière et d’intercession. Sept années plus tard, en 19 10, il confie à son provincial sa vocation de victime :
«J’en viens à vous demander une permission, celle de m’offrir au Seigneur comme victime pour les pauvres pécheurs et les âmes du PURGATOIRE. Ce désir s’est développé de plus en plus dans mon cœur, au point qu’il est devenu, dirai-je, une forte passion. Il est vrai que cette offrande, je l’ai faite plusieurs fois au Seigneur, le conjurant de bien vouloir déverser sur moi les châtiments qui sont préparés pour les pécheurs et les âmes du PURGATOIRE, même en les multipliant, pourvu qu’il convertisse et qu’il sauve les pécheurs et qu’il admette bien vite au Paradis les âmes du PURGATOIRE. Mais maintenant je voudrais la faire, cette offrande, avec votre permission…»
C’est tout simplement héroïque.
Il suivit sa théologie à Serracapriola avec le père AGOSTINO DA SAN MARCO IN LAMIS, son premier directeur spirituel, ainsi qu’au couvent de Montefusco. Bientôt, il fut atteint par cette mystérieuse maladie, dont nous avons déjà fait mention, qui lui occasionna de très violentes douleurs. Il était à la fois dévoré par la fièvre et par l’amour de DIEU… Une transpiration abondante, une toux qui lui arrachait la poitrine, se joignait aux tourments d’ordre spirituel : il était assailli de scrupules.
«Ce martyre, écrit PADRE PIO dans une lettre du 17 octobre 1915, fut très douloureux pour ma pauvre âme, à la fois par son intensité et par sa durée. Cela débuta, si je me souviens bien, vers l’âge de dix-huit ans et dura jusqu’à vingt et un ans bien sonnés. Cependant, dans les deux premières années, ce fut presque insupportable. Lorsque mon âme souffrit cela, je me trouvais à Sant’Elia, puis à SAN MARCO, et aussi ailleurs…»
Le 19 décembre 1908, il reçut les ordres mineurs : portier, lecteur, exorciste, acolyte. Deux jours plus tard, dans la cathédrale de Bénévent, il fut ordonné sous-diacre. Mais ses mortifications et ses jeûnes eurent raison de sa santé et il dut interrompre le cours de ses études. C’est à ce moment-là qu’il commença son long «congé de maladie» au cours duquel il fut marqué, bien qu’invisiblement, des stigmates de la Passion du Seigneur. Ce fut, pour le jeune capucin, une période de vie intérieure intense, de continuelle pénitence, et l’occasion d’une très rapide progression dans les voies de la sainteté. À vingt-trois ans, très malade et pensant à une mort prochaine, il demanda la faveur de l’ordination sacerdotale. Il fut donc ordonné le 10 août 1910 dans la cathédrale de Bénévent. Le voilà prêtre pour l’éternité :
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«Comme j’étais heureux, ce jour-là, écrit-il, mon cœur était brûlant d’amour pour Jésus… J’ai commencé à goûter le paradis !» .
Sur l’image souvenir de son ordination sacerdotale, il avait écrit son programme de vie :«JÉSUS, mon souffle et ma vie, aujourd’hui que, tremblant, je t’élève dans un mystère d’amour, qu’avec Toi, je sois pour le monde, voie, vérité, vie et pour Toi, Prêtre saint, victime parfaite.»
Alors commence cette longue série de messes impressionnantes qu’il célébrera jusqu’à sa mort. La dernière fois qu’il monta à l’autel, ce fut le 22 septembre 1968, il mourut quelques heures plus tard, le 23 septembre, à 2 heures 30, au cœur de la nuit…
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À la suite de plusieurs examens des stigmates de PADRE PIO, une polémique, puis une persécution furent déclenchées. Le Saint-Office prit plusieurs mesures restrictives, malgré les vives réactions des pèlerins. Du 11 juin 193 1 au 15 juillet 1933, PADRE PIO resta prisonnier dans son couvent. La seule permission qu’il obtint fut celle de pouvoir célébrer la messe… en privé, dans la chapelle intérieure. Deux longues années terribles pour lui !
En 1942, selon la volonté du pape PIE XII, PADRE PIO fut l’initiateur des Groupes de prière. Cette œuvre allait de pair avec celle de la Casa Sollievo della sofferenza (Maison de la souffrance transfigurée). C’était l’immense hôpital qu’il avait fait construire tout à côté du couvent. Le 5 mai 1956 fut donc inauguré solennellement ce grand édifice. Mais les importantes sommes d’argent qui furent données à PADRE PIO pour ce centre de soins, et qui provenaient de la foule de ses fils spirituels dans le monde entier, furent la cause d’une deuxième série de persécutions.
PADRE PIO ne voulait pas que l’on parle de ces persécutions. Elles constituent une page très douloureuse dans la vie du stigmatisé du Gargano. Elles sont cependant bien réelles. Elles sont le fait de personnes ecclésiastiques et non de l’Église elle-même. Elles ont servi à la plus grande Gloire de DIEU puisqu’elles n’ont fait que prouver un peu plus la sainteté du religieux de San Giovanni Rotondo, par l’obéissance et la patience dont il donna le témoignage.
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Lors de la messe solennelle qu’il célébra pour le cinquantième anniversaire de sa stigmatisation, les Groupes de prière avaient entouré Padre Pio de leur vénération et de leur affection. À l’issue de l’office, il eut un collapsus et s’effondra. On l’emporta dans sa cellule. Il rendit sa belle âme à DIEU au cœur de la nuit suivante. Mais, un certain temps après la mort constatée, les cicatrices même des plaies qui avaient marqué son corps pendant un demi-siècle disparurent d’un coup et la peau redevint comme celle d’un petit enfant, comme s’il n’y avait jamais eu la moindre blessure. J’ai dit, dans l’ouvrage que j’ai rédigé sur celui qui fut mon père spirituel tendrement aimé puisque c’est lui-même qui me prit comme fils, le «fils de son cœur» comme il disait : PADRE PIO, Transparent de DIEU, que le père avait été ici-bas comme «l’incarnation mystique de JÉSUS», le Seigneur ayant pris possession totalement de l’être de cet humble religieux. La mission, qui était de ramener à DIEU les hommes qui s’étaient éloignés de Lui, était désormais terminée. PADRE PIO mourut.
«Avance avec simplicité sur les voies du Seigneur, et ne te fais pas de souci. Déteste tes défauts, oui, mais tranquillement, sans agitation, ni inquiétude. Il faut user de patience à leur égard et en tirer profit grâce à une sainte humilité. Faute de patience, tes imperfections, au lieu de disparaître, ne feront que croître. Car il n'y a rien qui renforce tant nos défauts que l'inquiétude et l'obsession de s'en débarrasser.
Cultive ta vigne d'un commun accord avec JÉSUS. A toi revient la tâche d'enlever les pierres et d'arracher les ronces. A JÉSUS, celle de semer, planter, cultiver et arroser. Mais même dans ton travail, c'est encore Lui qui agit. Car sans le CHRIST, tu ne pourrais rien faire.» |
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La traduction d'une copie d'une lettre personnelle écrite par PADRE PIO adressée à la Commission de Heroldsbach nommés par le VATICAN témoigne de la vérité et la réalité de ces révélations sur les trois jours de ténèbres donnée par Notre Seigneur à PADRE PIO, un prêtre capucin qui portent les stigmates.
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«Gardez vos fenêtres fermées. Ne regardez pas dehors. Allumez une bougie bénie, qui suffira pour plusieurs jours. Priez le chapelet. Lisez des livres spirituels. Pratiquez la communion spirituelle, faites des actes d'amour, qui me sont si agréables . Priez avec les bras au sol, afin que beaucoup d'âmes soent sauvées. Ne sortez pas de la maison. Vous prévoirez suffisamment de nourriture. Les pouvoirs de la nature doivent être déplacés et une pluie de feu fera trembler de peur. Ayez du courage ! Je suis au milieu de vous».
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«Prenez soin des animaux au cours de ces journées. Je suis le Créateur et veille sur les animaux ainsi que l'homme. Je vais vous donner quelques signes d'avance, pour que vous puissiez leur prévoir plus de nourriture . Je protègerai la maison des élus ainsi que leurs animaux, car ils auront besoin de subsistance par la suite. Que personne ne traverse la cour, même pour nourrir les animaux – sous peine de périr! Fermez soigneusement les fenêtres. Mes élus ne doivent pas regarder ma colère. Ayez confiance en moi, et je vous protègerai. Votre confiance m'oblige à vous venir en aide».
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«Un grand châtiment se prépare : ce sera effroyable comme jamais depuis la création du monde.
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L’Heure de ma venue est proche, mais Je manifesterai Ma Miséricorde.
Votre époque sera témoin d’un châtiment terrible. Mes Anges, exécuteurs de ce travail sont prêts. Ils auront la charge spirituelle d’anéantir tous ceux qui se moquent de Moi. |
Des ouragans de feu tomberont des nuages et s’étendront à la terre entière.
Des orages, des tempêtes, du tonnerre et des pluies ininterrompues, des tremblements de terre couvriront la terre entière pendant 3 jours et 3 nuits.
Une pluie ininterrompue surviendra alors, elle commencera par une nuit très froide.
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Tout ceci pour prouver que DIEU est le Maître de Sa Création.
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Ceux qui espèrent et croient en Mes paroles n’auront rien à redouter ni ceux qui répandent Mon message car Je ne les abandonnerai pas. Aucun mal n’arrivera à ceux qui seront en état de grâce et chercheront la protection de Ma MÈRE.
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Pour vous préparer à cette épreuve, Je vous donnerai des signes et des instructions.
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La nuit sera très froide, le vent surgira après un certain temps, le tonnerre se fera entendre.
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Fermez toutes les portes et les fenêtres. Ne parlez à personne de l’extérieur.
Agenouillez-vous devant votre Crucifix, regrettez vos péchés. Priez Ma MÈRE pour obtenir sa protection. Ne regardez pas dehors pendant le tremblement de terre, parce que le courroux de DIEU est Saint. La vue des effets de sa Colère, vous ne la supporteriez pas (JÉSUS ne veut pas que nous regardions avec curiosité la colère de DIEU parce qu’elle doit être contemplée avec crainte et tremblement).
Ceux qui négligeront cet avertissement seront abandonnés et instantanément tués de frayeur par la colère divine. Le vent emportera des gaz empoisonnés qui se répandront par toute la terre.
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Ceux qui souffriront innocemment seront martyrs et entreront dans Mon Royaume.
Satan triomphera (semblera triompher un instant) mais après 3 nuits, le tremblement de terre et le feu cesseront et le jour suivant, le soleil brillera de nouveau.
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Après ces châtiments, les Anges descendront du Ciel et répandront l’esprit de Paix sur la terre. Un sentiment de gratitude incommensurable prendra possession de tous ceux qui survivront à cette terrible épreuve.
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Il faut prier ! Dites pieusement le chapelet en commun si possible ou seul, mais dites-le bien. L’Heure approche, priez sans relâche, vous ne serez pas déçus.
Les hommes n’entendent pas mon appel, ils durcissent leurs cœurs, ils résistent à ma grâce ; ils repoussent Ma Miséricorde et Mon Amour. L’humanité est pire que lors du déluge. L’humanité étouffe dans le marasme du péché. J’ai grande envie d’exterminer cette race, mais à cause des justes, Je laisserai régner Ma Miséricorde.
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J'ai choisi les âmes dans d'autres pays, comme la BELGIQUE, en SUISSE, ESPAGNE, qui ont reçu ces révélations, afin que d'autres pays soient également préparés. Priez beaucoup au cours de cette Année Sainte de 1950. Priez le Rosaire, mais priez bien, afin que vos prières atteignent le ciel. Bientôt, une terrible catastrophe viendra sur l'ensemble du monde, comme jamais personne n'a vu, un terrible châtiment jamais connu !
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Le poids de la Divine équilibre a atteint la terre ! La colère de mon père s'est répandue au monde entier !Je viens encore alerter le monde entier par l'intermédiaire de votre institution, comme je l'ai si souvent fait jusqu'ici.
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Les péchés des hommes se sont multipliés au-delà de la mesure : l'irrévérence de l'Eglise, le péché commis dans la fierté imposture des activités religieuses, l'absence de véritable amour fraternel, dans l'indécence vestimentaire, en particulier l'été ... Le monde est rempli d'iniquité.
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Cette catastrophe viendra sur la terre comme un éclair de foudre. En un seul instant, la lumière du soleil du matin sera remplacé par les ténèbres ! Nul ne pourra quitter la maison ou regarder par la fenêtre à partir de ce moment. Je viendrai au milieu du tonnerre et des éclairs. Les méchants sont voici Mon Divin Cœur. L'obscurité totale dans laquelle l'ensemble de la terre sera enveloppée causera une grande confusion, et beaucoup, beaucoup mourront de peur et de désespoir.
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Ceux qui doivent se battre pour ma cause recevront la grâce de Mon Divin Cœur et le cri : «Qui est comme Dieu!» leur servira de protection. Toutefois, nombreux sont ceux qui brûleront dans les champs, flétris comme l'herbe ! L'impie sera annihilé, de sorte que juste après, il sera en mesure de se présenter de nouveau.
Ce jour, dès que l'obscurité sera totale, nul ne devra quitter la maison ou regarder par la fenêtre. L'obscurité durera un jour et une nuit, suivie d'un autre jour et une nuit, et un autre jour - mais la nuit suivante, les étoiles brilleront à nouveau, et le lendemain matin, le soleil sera de nouveau monté, et ce sera le PRINTEMPS !
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Dans les jours d'obscurité, Mes élus ne devront pas dormir, comme l'ont fait les disciples dans le jardin des Oliviers. Ils devront prier sans cesse, et ils ne devront pas craindre. Je vais rassembler mes élus. L'enfer pense être en possession de la terre entière, mais je vais la reprendre !
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Avez-vous, peut-être, je pense que permettrait Mon PÈRE d'avoir de tels châtiments sont terribles sur le monde, si le monde se tournent de l'iniquité à la justice ? Mais à cause de mon grand amour, ces affections sont autorisés à venir sur l'homme. Bien que de nombreux malédiction est Me, encore des milliers d'âmes sont sauvées grâce à eux. La compréhension humaine ne peut sonder la profondeur de mon amour
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Priez ! Priez ! Je désire vos prières. Ma chère MÈRE MARIE, SAINT JOSEPH, SAINTE ÉLISABETH, SAINT CONRAD, SAINT MICHEL. SAINT PIERRE, la PETITE THERESE, Vos SAINTS ANGES, sont vos intercesseurs. Soyez courageux soldats du CHRIST ! Pour le retour du monde à la lumière, je rends grâce à la TRÈS SAINTE TRINITÉ pour leur protection! ! La dévastation sera grande ! Mais moi, votre DIEU, j'aurai purifié la terre. Je suis avec vous. Ayez confiance ! Ayez confiance !»
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NOTRE SEIGNEUR :
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«Je suis tout près… Je viendrai sur cette terre portant le fardeau des péchés.
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La terre tremblera violemment, des masses de nuages s’enflammeront et un feu descendra du ciel, des éclairs réduiront en cendres tout ce qui est corrompu, l’air sera imprégné de gaz, et lourd d’une fumée suffocante que des vents violents répandront partout. Les hauts bâtiments, construits par l’homme avec son esprit orgueilleux, seront détruits..
Alors l’humanité verra que, sur elle, planer une volonté si puissante que tous les projets insensés, de vaine gloire, seront réduits en cendres. Un Ange destructeur anéantira définitivement les forces imprégnées de sophisme et de blasphème qui se sont opposées à l’Évangile du CHRIST. |
Malheur à vous, impies, qui vous jouez de Moi, au travers de vos théories hypocrites et fausses.
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Quand à vous, disciples fidèles, Je vous ai averti de ne pas suivre de faux prophètes et de faux christs. Je suis Votre Sauveur.
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Quand l’Ange Exterminateur commencera à accomplir sa mission avec l’épée de la Justice, alors votre foi devra être ferme comme un rocher. Ayez confiance en Moi, Je vous protégerai, Je vous protégerai.
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Je vous donnerai un signe pour vous faire connaître le principe de mon jugement. Par une froide nuit d’hiver, je vous ferai retentir le tonnerre qui fera trembler les montagnes. Alors, fermez les fenêtres et ne regardez pas au-dehors.
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Ne profanez pas vos yeux en jetant votre regard sur ces événements terribles, parce que trois fois sainte est la Justice de DIEU qui purifiera la terre à travers vous, mon troupeau fidèle. |
Mettez-vous sous la protection de Ma MÈRE
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Qu’importe ce que vous pourrez voir ou entendre, ne désespérez pas, cela précédera la Fin des Temps. Mais alors, réunissez-vous pour prier. Invoquez vos ANGES GARDIENS. Combattez avec confiance en Mon Nom, ne doutez pas de votre libération.
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Moi je vous garderai de tous les dangers si vous avez confiance en Mon Amour... demeurez près de Mon Cœur et combattez pour le salut des âmes. Offrez vos épreuves, vos tentations, les vexations qui vous arriveront, pour le salut des pécheurs, pour les prêtres infidèles qui prêchent l’erreur avec ténacité. Ceux-ci sont toujours près de mon Cœur, demandez pour eux la contrition parfaite à l’heure de leur mort.
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Persévérez pendant une nuit et un jour dans la prière, la nuit suivante portera la fin des tribulations avec l’aurore du lendemain. Le soleil donnera à nouveau sa chaleur, et sa lumière remplacera les ténèbres. Alors, acceptez avec gratitude la nouvelle vie qui vous sera offerte. Vous vivez dans la justice et la simplicité, la paix et l’amour seront ma volonté.
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Consolez, encouragez, priez, afin qu’une race renouvelée naisse de la joie de votre cœur..
Et vous, âmes consacrées, Je vous supplie de vous plier à sa volonté, comme victimes pour le salut de vos frères. Aucune affliction ne vous sera épargnée. |
Restez en éveil, résistez au monde, parce que les mauvais esprits essayeront de vous séduire. Luttez dans l’humilité et le silence, appliquez-vous à la prière et au don du sacrifice, avec la conviction de vous appliquer à un devoir sacré.
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Ayez de la compassion pour vos frères qui sont dans l’erreur. Soyez crucifiés afin de rendre le ciel clément envers les hommes. |
Moi je suis prêt à agir. La terre est en train de trembler.
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Cela sera le dernier Jugement mais soyez sans crainte, Je serai avec vous. Ceux qui M’attendent auront Ma grâce et Mon assistance, mais pour ceux qui ne seront pas en état de grâce, ce sera terrible.
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Les Anges de la Justice sont déjà placés aux quatre coins de la terre. Je me manifesterai à tous les hommes et chaque homme me reconnaîtra pour son DIEU. Je suis à la porte…
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La terre tremblera, les hommes gémiront, l’œuvre de l'ESPRIT-SAINT se consumera. |
Les hommes n’entendent pas Mon appel ; les pêcheurs durcissent leur cœur, ils résistent à Ma grâce ; ils repoussent Ma Miséricorde et Mon Amour. L’humanité est pire qu’avant le Déluge. Le monde est enveloppé de ténèbres. L’humanité étouffe dans le marasme de l’erreur et du péché. J’ai grande envie d’exterminer cette race, mais à cause des justes, Je laisserai régner Ma Miséricorde. La coupe de la colère va se déverser sur la terre, mais bientôt, l’Ange de la Paix planera sur elle. Je veux guérir et assainir les plaies qui saignent actuellement ; Ma Miséricorde dépassera Ma Justice.
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Vous, Mes fidèles, priez sans interruption ; ne vous endormez pas comme Mes disciples au Jardin des Oliviers. Priez sans interruption afin de sauver le monde. Puisez dans Mes mérites pour vous-même et pour les autres. Mes enfants, je viendrai bientôt. Ce qui va venir dépassera tout ce que vous pouvez imaginer. De grandes choses se préparent : ce sera effroyable, comme jamais depuis la création du monde. Je viendrai et Je ferai connaître au monde Ma volonté. Tous ceux qui auront souffert pendant cette période… seront la semence de l’Église nouvelle ; ils participeront à Ma Flagellation, à Mon Couronnement d’épines, à Mon Chemin de Croix.
La MÈRE DE DIEU et tous les chœurs des Anges seront à l’œuvre pendant ces événements, afin de sauver les âmes. L’enfer croit pouvoir faire une belle récolte pendant ce cataclysme, mais Je l’empêcherai ; Je lui arracherai sa moisson ; Je viendrai et avec Moi Ma Paix. .
Avec peu de fidèles, J’établirai Mon Règne. Je leur donnerai une lumière particulière. Elle leur apportera le salut, et aux autres les ténèbres. L’humanité connaîtra Ma Puissance et Mon Amour. |
Mes enfants, l’heure approche, priez sans relâche, priez pour recevoir le don de force des martyrs, afin de traverser cette période d’épreuve. Je rassemble les miens, de toutes les directions, et ils viendront pour Me rendre gloire. Je viendrai. Bienheureux ceux qui seront prêts à me recevoir. La dernière guerre mondiale n’était qu’une goutte d’eau en comparaison de ce que la Justice Immanente réserve pour l’Avenir.
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Ma divine MÈRE vous a dit :
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«Je suis la grande Médiatrice des Grâces». .
De même que monde avait besoin du sacrifice du FILS DE DIEU pour obtenir la Miséricorde du PÈRE, réfugiez-vous dans mon Cœur afin de surmonter toutes vos peines. Implorez la protection de ma Divine MÈRE, grandissez dans votre confiance et espérez tout de Moi. Je vous donnerai plus que vous n’osez espérer. Offrez et consacrez votre cœur à mon SACRÉ-CŒUR. Faites que Mon Cœur soit votre refuge, c’est là que vous trouverez le repos. De là découle le bonheur..
Plongez toutes vos imperfections, tous vos défauts dans Mon Précieux Sang pour en obtenir l’atténuation. Persistez dans l’Amour, en union avec Mon Sacrifice, pour la Rédemption de l’humanité. |
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Père, qu'est votre messe pour vous ?
Sommes-nous seuls à être rangés autour de l'autel pendant la messe ?
Père, qui se trouve autour de l'autel ?
Père, la MADONE est-elle aussi présente pendant la messe ?
Père, comment devons-nous assister à la messe ?
«Chaque sainte Messe entendue avec dévotion produit des merveilleux effets dans nos âmes, des grâces spirituelles et matérielles abondantes que nous ne connaissons même pas» disait-il.
Toute la vie du Père PIO était centrée sur le saint Sacrifice de la messe qui, disait-il, jour par jour, sauve le monde de sa perdition. BRUNATTO, qui assistait généralement le Père et eut le bonheur de le servir, témoigne que, pendant les années de son isolement, la célébration durait jusqu’à sept heures. Plus tard, elle fut limitée par l’obéissance et durait environ une heure.
Oui, vraiment, cette messe du Père PIO était un événement inoubliable et on avait raison de vouloir y assister au moins une seule fois. Lorsqu’il quittait la sacristie, le Père était généralement soutenu par deux confrères, car ses pieds transpercés le faisaient atrocement souffrir. D’un pas lourd, traînant, incertain, chancelant, il s’avançait vers l’autel. Outre les stigmates, il passait encore toute la nuit en prière ; ce qui fut vrai tout un demi-siècle. On l’aurait cru écrasé sous le poids des péchés du monde. Il offrait toutes les intentions, les demandes, les supplications, qui lui avaient été confiées par écrit ou oralement, de l’univers entier. II portait, en outre, toutes les afflictions, les souffrances, les angoisses pour lesquelles on venait à lui et dont il s’était chargé. C’est pourquoi l’Offrande de cette messe était si longue et si impressionnante. .
Il faisait tout pour détourner l’attention de lui. Il évitait tout ce qui pouvait être spectaculaire dans son maintien, son expression, ses gestes, dans sa manière de prier et de se taire; et pourtant, son maintien, sa façon de prier, son silence, et surtout les longues pauses, dans toute leur simplicité, étaient vraiment dramatiques.
Lorsque, dans le silence recueilli d’une foule intimement unie à lui, le Père PIO prenait la patène dans ses mains sanglantes et l’offrait au PÈRE Tout-Puissant, elle pesait lourd de cet énorme amas de bonnes œuvres, de souffrances et de bonnes intentions. Ce pain qui allait tantôt prendre vie, changé en Celui qui, seul, réellement, était capable de payer complètement la rançon des péchés des hommes. Ce n’était pas seulement les principales parties de la messe qui étaient remarquables, dans cette célébration. Le Père PIO célébrait toute la messe avec la même attention soutenue, visiblement conscient de la profonde signification de chaque mot, de chaque geste liturgique. Ce qui se passait entre DIEU et lui demeurait un mystère, mais on pouvait en deviner quelque chose dans certains silences, dans certaines pauses plus longues ; les traits de son visage en trahissaient parfois son intense participation au Drame qu’il vivait. Les yeux fermés, il était souvent en conversation avec DIEU, ou transporté en extase dans la contemplation. Seul, un ange serait capable de décrire dignement cette messe. Les plaies permanentes de son corps n’étaient que les signes visibles du martyre intérieur qu’il subissait avec le divin Crucifié. C’est pourquoi, l’attention de l’assemblée était fixée sur le point culminant du Saint Sacrifice : la Consécration. En effet, ici, il s’arrêtait un instant comme pour se concentrer. Une lutte semblait s’engager entre lui, qui tenait dans ses mains l’hostie immaculée et, DIEU sait, quelle force obscure et invisible qui, sur ses lèvres, retenait les paroles consécratoires chargées de force créatrice. Certains jours, la messe était pour lui, à partir du Sanctus, un vrai martyre. La sueur couvrait son visage et les larmes coulaient le long de ses joues. C’était vraiment l’homme des douleurs aux prises avec l’agonie. Involontairement, je pensais au CHRIST au Jardin des Oliviers. On voyait clairement, qu’en proférant les paroles de la Consécration, il subissait un réel martyre. A chaque mot, un choc semblait parcourir ses membres. Serait-il possible, comme certains le pensent, qu’il souffrait alors plus intensément la Passion du CHRIST et que les spasmes pénibles, qu’il réprimait autant que possible, l’empêchaient un moment de poursuivre? Ou devons-nous interpréter à la lettre les paroles du Père disant que le démon s’aventure parfois jusqu’à l’autel ? Dans son attitude si impressionnante, on assistait donc à une lutte réelle contre Satan, qui, à ce moment, redoublait ses efforts pour le tourmenter. Les deux suppositions sont acceptables. Souvent, lorsqu’il quittait l’autel, après la messe, certaines expressions involontaires et révélatrices lui échappaient. Comme se parlant à lui-même, il disait par exemple : «Je me sens brûler...» et aussi : «JÉSUS m’a dit...». Quant à moi, j’ai été, comme tous ceux qui ont eu le bonheur de participer à cette messe, vivement impressionné par cette émouvante célébration. Un jour que la foule des pèlerins était particulièrement dense dans l’église de San Giovanni, le Père me dit après la messe : «Je me suis souvenu de vous à l’autel !». Je lui demandai : « Père, avez-vous à l’esprit toutes les âmes qui assistent à votre messe ?».
Il répondit :
«A l’autel, je vois tous mes enfants comme dans un miroir !».
. Toute la vie du Père PIO a été une Passion de JÉSUS. Sa journée entière était la continuation du Sacrifice de la messe |
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La célébrité de PADRE PIO ne fit que croître ; les âmes affluaient autour de son autel et dans son confessionnal. PADRE PIO avait, en effet, reçu le don infus de la scrutation des consciences et du discernement des esprits. Il dévoilait les fautes oubliées, et j’ai, à ce sujet, des souvenirs quelque peu «cuisants» ! Il montrait la gravité de certains péchés, considérés par les pénitents comme véniels, et secouait les plus tenaces des fidèles. Et ceux-ci n’hésitaient pas à participer à la messe du saint prêtre qui, entrecoupée d’extases, durait le plus souvent plus de deux heures.
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Il avait reçu également le don des larmes. Lorsqu’il fut envoyé, pour y poursuivre ses études ecclésiastiques, au couvent de Sant’Elia à Pianisi, il versait de telles quantités de larmes pendant l’oraison et après la communion que cela «formait un petit ruisseau» diront les témoins. Il avait accepté d’en donner la raison à son père spirituel :
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«Je pleure mes péchés et les péchés de tous les hommes…» .
Car Frère PIO était bien un vrai disciple du POVERELLO D'ASSISE, SAINT FRANÇOIS, qu’un paysan avait surpris en larmes : «L’Amour n’est pas aimé !» s’était-il écrié. |
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En cette tragique matinée du 20 septembre 1918, PADRE PIO est marqué des plaies de la crucifixion… Il les conservera cinquante années. Le 22 octobre suivant, il doit, « par sainte obéissance », raconter ce qui s’est passé à son supérieur provincial : […]
«C’était le matin du 20 du mois dernier, écrit-il donc, après la célébration de la sainte messe, quand je fus surpris par un repos semblable à un doux sommeil. Tous mes sens internes et externes, les facultés de mon esprit également, se trouvaient dans une quiétude indescriptible. Il y avait un silence total autour de moi. Il fut suivi immédiatement d’une grande paix et je m’abandonnai à la complète privation de tout. Il y eut un répit dans la ruine elle-même (il s’agit, selon toute vraisemblance, de ce qu’il croit être le véritable état de son âme). Et tout cela se produisit en un éclair. Et tandis que cela était en train de se réaliser, je vis devant moi un mystérieux personnage, semblable à celui que j’avais vu le soir du 5 août (quand il reçut le «trait de feu»), qui se différenciait seulement en ceci : ses mains, ses pieds et son côté ruisselaient de sang.
Sa vue m’épouvanta, et ce que je ressentis en cet instant, je ne saurais vous le dire. Je me sentais mourir et je serais mort si le Seigneur n’était intervenu pour soutenir mon cœur que je sentais bondir dans ma poitrine. Ce personnage disparut de ma vue, et je m’aperçus que mes mains, mes pieds et mon côté étaient percés et ruisselaient de sang ! Imaginez la torture que j’éprouvai alors et que j’éprouve continuellement presque tous les jours. » […] Il faut l’avoir vu à l’autel, les mains sanglantes ! J’ai eu la grâce de lui servir la messe ! Le sang coulait de ses mains blessées, un sang mystérieusement parfumé !... Il fallait l’entendre prononcer à mi-voix des paroles à l’adresse de Celui qui était là, sur l’autel, continuant, en son Prêtre, à offrir au PÈRE le Sacrifice rédempteur. Vraiment, là, on comprenait que le Prêtre, à l’autel, ne peut qu’être identifié au CHRIST souffrant. Il doit lui-même offrir tout son être à JÉSUS comme une «humanité de surcroît». La grâce de PADRE PIO était, pour les prêtres, la prise de conscience de cette identification au CRUCIFIÉ du Golgotha. Non, après avoir assisté, ou plus exactement, participé à la messe que célébrait le père dans le petit matin de San Giovanni Rotondo, les prêtres ne peuvent plus célébrer la messe comme avant… Ils sont JÉSUS-CHRIST !
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Comment ne pas comprendre les attaques que le démon, qu’il appelait «Barbe Bleue», lui infligeait ! Combien de fois n’a-t-il pas été battu, jeté à bas de son lit, ligoté par celui auquel il arrachait les âmes ? J’ai été moi-même témoin des coups qu’il avait reçus durant la nuit. Il arrivait le matin, à la sacristie, pour s’y préparer à la messe, le visage parfois tuméfié. Durant son repos forcé qui dura sept ans, à Pietrelcina, il s’était aménagé une cellule tout en haut d’un escalier de pierre, sur le rocher en face de sa maison natale. Les murs de cette pièce portent encore les marques des luttes effroyables qui s’y déroulèrent.
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…..Ainsi priait PADRE PIO… Il priait bien, il priait beaucoup, il priait toujours. Il était, au plein sens du terme : l’homme fait prière. Jamais il ne se lassait de prier. Bien plus, on lit dans les lettres qu’il écrivait à ses directeurs spirituels, qu’il se plaignait de ne jamais avoir assez de temps pour prier. Il avait écrit un jour :
«Je voudrais que les journées aient quarante heures !»
Il priait partout, à l’autel, au confessionnal, à sa place au matronée de la basilique où on le voyait lever son chapelet comme pour le montrer aux fidèles qui, en bas, le regardaient, priaient avec lui, priaient par lui. Il priait dans les escaliers, dans les couloirs, dans l’ascenseur, dans sa cellule le jour, la nuit, à l’exception des très rares heures de sommeil. Il priait avec des gémissements du cœur, il priait avec des «oraisons jaculatoires», mais il priait spécialement avec son chapelet. Il s’était promis de ne pas réciter moins de cinq ROSAIRES par jour. Il fut vraiment un «dévoreur» de chapelets.
Un jour, son supérieur lui demanda combien de chapelets il avait récité dans la journée. Et PADRE PIO avait répondu :
«Bah ! al mio Superiore, devo dire la verità ! (J’en ai récité trente-quatre !)»
Il répétait souvent : «Allez à la MADONE, faites-la aimer ! Récitez toujours le Rosaire. Récitez-le bien ! Récitez le plus que vous pourrez !»
Il priait pour ceux qui s’étaient recommandés à sa prière et aussi, chose étrange, pour ceux dont le Seigneur lui soufflait l’intention, même s’il ne les connaissait pas. Sa prière ornait et en même temps nourrissait sa constante, profonde et habituelle union à DIEU. PADRE PIO nous a laissé ce grand exemple de prière. Il nous a fait comprendre que tout travail spirituel ne peut être accompli et réussi si, à la base, il n’y a pas ce regard d’amour porté sur Dieu dans une intense prière. Et dans sa prière, PADRE PIO était arrivé au sommet de l’union transformante de Dieu, aux échelons les plus élevés de l’échelle mystique… Le 18 avril 1912, il avait raconté à son père spirituel une lutte terrible qu’il avait eu à soutenir contre l’enfer qui pratiquement chaque nuit le frappait et le persécutait de toutes les façons possibles, et la consolation du Seigneur lui était venue après la messe : «À la fin de la messe, écrit-il donc, je me suis entretenu avec JÉSUS pour l’action de grâce. 0 combien fut suave le colloque tenu avec le Paradis ce matin !... Le Cœur de JÉSUS et le mien se fondirent. Ce n’étaient plus deux cœurs qui battaient, mais un seul. Mon cœur avait disparu comme une goutte d'eau s'évanouit dans la mer.»
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PADRE PIO pleurait de joie et il ajoutait : .
«Quand le Paradis envahit un cœur, ce cœur affligé, exilé, faible et mortel ne peut le supporter sans pleurer.»Il disait : «Soyez des âmes de prière. Ne vous fatiguez jamais de prier. C’est la chose essentielle. La prière fait violence au Cœur de DIEU, elle obtient les grâces nécessaires !»
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Chaque soir, PADRE PIO présidait la cérémonie qui réunissait les fidèles dans la petite église du couvent avant que ne fût construite la grande basilique. On y récitait le chapelet, on y donnait la bénédiction eucharistique. On y récitait également la fameuse Neuvaine irrésistible au SACRÉ-CŒUR de JÉSUS et la Visite à la MADONE. Entendre cette voix était quelque chose d’inoubliable et, dès les premiers jours, j’en fus bouleversé et profondément ému. Il y a, certes, beaucoup de gens qui sont capables de lire un texte intelligemment, et même avec du sentiment, en y mettant le ton ! Mais ces phrases, prononcées par PADRE PIO, se revêtaient d’un exceptionnel relief. On y sentait la vibration intense d’une âme remplie de foi. C’était l’effusion la plus suave qui soit d’un cœur plein d’amour. PADRE PIO scandait chacune des paroles. Il les prononçait avec un accent tel qu’on ne pouvait pas ne pas en être remué et ému jusqu’aux larmes. Lui-même, d’ailleurs, prononçait certains mots avec des sanglots dans la voix. Tel a été mon premier contact avec lui. Et la simple évocation de ce souvenir me bouleverse encore !
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À la messe, en prononçant les paroles de la Consécration, PADRE PIO souffrait atrocement. Il savait bien, lui, ce qu’était la souffrance physique et ce qu’était la souffrance morale ou spirituelle… Et comme il savait aussi que seule la souffrance est capable de racheter le monde parce qu’elle est porteuse de rédemption, Padre Pio unissait ses propres souffrances à celles du Seigneur en Sa douloureuse Passion. Et cette offrande, il la faisait passer tout entière dans sa prière. Il savait bien aussi ce qu’était cette terrible «nuit de l’esprit» dont parle saint JEAN DE LA CROIX et dans laquelle il s’est trouvé plongé dès son plus jeune âge jusqu’au moment de la définitive et irréversible rencontre, dans l’éternel face-à-face au-delà de la mort, lorsque, enfin, ses yeux ont pu contempler DIEU sans voile. Ce qu’il conseillait aux âmes qui s’adressaient à lui et qu’il guidait vers les plus hauts sommets de la vie spirituelle et mystique, il l’a vécu, lui, le premier dans sa piété la plus profonde. Lorsque dans toute sa vie les tempêtes s’étaient abattues plus fortement et plus violemment sur lui, lorsque la Croix, qui avait été plantée au cœur de sa vie, s’était faite plus lourde, lorsqu’il prenait sur lui les innombrables intentions qui, de tous les coins du monde, avaient afflué vers lui, vers ce paratonnerre d e s hommes, il déposait tout dans le CŒUR DE JÉSUS, il mettait en Lui seul toute sa foi et toute son espérance. Il récitait chaque jour cette «Neuvaine irrésistible» dont les mots, pour lui, et sur ses lèvres, revêtaient une tonalité proprement «mantrique».
Cette prière s’appelle irrésistible parce qu’elle est fondée sur trois affirmations solennelles du Seigneur Lui-même. Nous lisons, dans l’Évangile, ces trois promesses, et, exprimée par PADRE PIO, cette prière ne peut pas laisser le CŒUR DE JÉSUS insensible.
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La voici :
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O mon JÉSUS qui avez dit «En vérité, Je vous le dis : Demandez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira»..... Voyez, je frappe, je cherche et je Vous demande la Grâce… (Nommer ici la grâce demandée)
Récitez ici un PATER, un AVE, un GLORIA.
CŒUR SACRÉ DE JÉSUS, j’ai confiance et j’espère en Vous.
O mon JÉSUS qui avez dit «En vérité, Je vous le dis : tout ce que vous demanderez à mon PÈRE en Mon nom, Il vous le donnera».....Voyez, en Votre nom, je demande au PÈRE la Grâce… (Nommer la grâce demandée une deuxième fois)
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Récitez ici un PATER, un AVE, un GLORIA.
CŒUR SACRÉ DE JÉSUS, j’espère et j’ai confiance en Vous.
O mon JÉSUS qui avez dit «En vérité, Je vous le dis : le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point !». Voici que m’appuyant sur l’infaillibilité de Vos saintes paroles, je Vous supplie de m’accorder la Grâce… (Nommer la grâce demandée une troisième fois).
Récitez ici un PATER, un AVE, un GLORIA.
CŒUR SACRÉ DE JÉSUS, j’espère et j’ai confiance en Vous.
O SACRÉ-CŒUR DE JÉSUS, à qui il est impossible de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres pécheurs, et accordez-nous la grâce que nous Vous demandons, par l’intercession du CŒUR IMMACULÉ DE MARIE, Votre et notre tendre MÈRE, SAINT JOSEPH, père adoptif du SACRÉ-CŒUR DE JÉSUS, priez pour nous.
Récitez ici le SALVE REGINA
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Le PADRE PIO récitait chaque jour cette neuvaine pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières. C’est lui qui l’a qualifiée d’«irrésistible». Il est recommandé de la réciter durant neuf jours de suite
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Le Père TARCISIO DE CERVINARA, confrère de PADRE PIO, raconte cette histoire singulière dans son livre : «Le diable dans la vie de PADRE PIO» :
«PADRE PIO répétait souvent que le diable est une créature méchante, mauvaise, cruelle par nature, mais qu’il reste toujours un ange déchu, donc doué d’une intelligence supérieure à celle des hommes, bien que pervertie. Le saint aura pu expérimenter son intelligence rusée et malhonnête, d’une manière tout à fait bizarre. Un jour en effet, Satan s’est «confessé» auprès du PADRE PIO ! Le saint, après beaucoup d’insistances de ma part, a bien voulu me raconter ce qui s’était exactement passé. En voici le récit : «Un matin, alors que je confessais les hommes, s’est présenté à moi un homme grand, élancé, bien habillé, poli et fort élégant. Cet inconnu s’est agenouillé et a commencé à accuser ses péchés contre DIEU, le prochain et la morale : ils étaient à la fois variés et ineptes. Une chose m’a spécialement frappée : ce pénitent énigmatique, après chaque accusation de ses péchés, répondait à mes reproches - basés sur la Parole de DIEU, sur le Magistère de l’Église, et la Morale des Saints -, en justifiant tous ses péchés avec une habilité et une gentillesse extrême, vidant les péchés de toute leur malice, tout en essayant dans le même temps de les rendre normaux, naturels, humains, débarrassés de toutes leur peccaminosité. Et cela non seulement pour les péchés les plus affreux contre DIEU, JÉSUS, la MADONE, les Saints, qu’il appelait avec des mots irrespectueux sans jamais prononcer leurs noms, mais aussi pour les péchées qui étaient moralement si laids et grossiers, qu’ils touchaient le fond de la cloaque la plus répugnante. Les réponses habiles que ce pénitent mystérieux donnait à tous mes arguments, m’impressionnaient par leur subtilité et leur astucieuse malice. En moi même je m’interrogeais : .
«Qui est cet individu ? A quel monde appartient-il ?». .
Et j’essayais de bien fixer son visage pour y découvrir éventuellement la réponse à mes questions. En même temps, j’étais très attentif à chacun de ses mots, afin qu’aucun ne m’échappe, pour en évaluer tout le poids. A un moment donné, une lumière intérieure très claire et forte, m’a révélé avec certitude son identité, et d’une voix ferme et puissante je lui ordonnais : .
«Dis : «Vive JÉSUS, vive MARIE !». .
Dès qu’il entendit ces deux noms très suaves et puissants, Satan disparut aussitôt, dans une flamme de feu, laissant derrière lui une puanteur insupportable». |
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.16:18 Publié dans PROPHETIES PADRE PIO | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Pour voir la "Maison du soulagement de la souffrance", surgie de la terre aride du Gargano grâce au Padre Pio, c'est ici :
http://www.villemagne.net/site_fr/rome-san-giovanni-rotondo-lieu-de-pelerinage-au-saint-padre-pio-au-fond-la-maison-du-soulagement-de-la-souffrance-p1060408.php
Écrit par : Cesco | 15/02/2009
Merci CESCO pour ces renseignements !
Écrit par : jo | 28/02/2009
El Vaticinia Michaelis Nostredami ad Cesarem Filium de Futuri Christi Vicarii, resumido, Vaticinios de Nostradamus, conocido también como el libro perdido de Nostradamus, es una colección de 80 acuarelas, encuadernadas como un código ilustrado, que fueron descubiertas en 1982 por los periodistas italianos Enza Massa y Roberto Pinotti en la Biblioteca Nacional Central de Roma; la cual adquirió la obra en el año de 1880. Este documento está inscrito en la Biblioteca como Fondo Vittorio Emanuele 307.
En la ficha bibliotecaria original de los padres cartujos añadida al manuscrito, se dice que las imágenes pertenecían al médico-vidente francés conocido como Nostradamus, de nombre Michel de Notre-Dame (nacido el 14/12/1503 - muerto el 2/7/1556) y que el código fue traído a Roma por su hijo César de Notre-Dame para ser donado al cardenal Maffeo Barberini, que sería posteriormente elegido Papa con el nombre de Papa Urbano VIII (Pontífice católico desde 1623 a 1644).
Écrit par : Viagra Online | 07/12/2009
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