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04/11/2012
MOYEN-ORIENT : POSITION DE L'ÉGLISE
29 NOVEMBRE 2012 LA PALESTINE ETAT OBSERVATEUR NON MEMBRE DES NATIONS UNIES
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ZENIT| 30 NOVEMBRE 2012
.. «Le jeudi 29 novembre 2012, l’Assemblée générale a approuvé à la majorité la Résolution faisant de la PALESTINE un ÉTAT OBSERVATEUR NON MEMBRE DES NATIONS UNIES. .. 1. Le SAINT-SIÈGE a suivi de près et avec attention les étapes qui ont mené à cette décision importante, en s’efforçant de rester au-dessus des parties et d’agir conformément à sa nature religieuse et à la mission universelle qui le caractérise, et en tenant compte de l’attention spécifique qu’il accorde à la dimension éthique des problématiques internationales. .. 2. Le SAINT-SIÈGE estime en outre que ce vote doit se situer dans le cadre des efforts visant à trouver une solution définitive, avec le soutien de la communauté internationale, à la question déjà abordée par la Résolution 181 du 29 novembre 1947 par l’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES. Ce texte a posé les bases juridiques de l’existence de deux États ; un des deux a déjà vu le jour, l’autre n’a pas été créé dans les soixante-cinq années qui ont suivi. .. 3. Le 15 mai 2009, à son départ de l’aéroport international de TEL AVIV, à la fin de son pèlerinage en Terre Sainte, le Pape BENOÎT XVI s’est exprimé en ces termes : Plus de sang versé ! Plus de combats ! Plus de terrorisme ! Plus de guerre ! Au contraire, engageons-nous à briser le cercle vicieux de la violence. Que règne une paix durable basée sur la justice, et que viennent une réconciliation authentique et une pacification ! Puisse être reconnu universellement que l’État d’ISRAËL a le droit d’exister, de jouir de la paix et de la sécurité à l’intérieur de frontières reconnues internationalement ! De même puisse être reconnu le droit du Peuple Palestinien à une patrie souveraine et indépendante pour y vivre dans la dignité et se déplacer librement ! Puisse la solution des deux États devenir une réalité, et ne pas demeurer seulement un rêve ! .. 4. Dans le sillage de cet appel, le Secrétaire pour les Rapports avec les États, Mgr DOMINIQUE MAMBERTI, dans une intervention devant l’Assemblée générale en 2011, a souhaité que les Organes compétents des NATIONS UNIES prennent une décision qui permette la réalisation concrète d’un tel objectif. .. 5. Le vote du 29 novembre 2012 exprime les sentiments de la majorité des membres de la communauté internationale et accorde aux Palestiniens une présence plus significative au sein des NATIONS UNIES. Dans le même temps, le SAINT-SIÈGE est convaincu que ce résultat ne représente pas, à lui seul, une solution suffisante aux problèmes de la Région : pour y répondre de manière adéquate il faudra, en effet, s’engager résolument en faveur de la construction de la paix et de la stabilité dans la justice et dans le respect des aspirations légitimes, aussi bien des Israéliens que des Palestiniens. .. 6. C’est pour cette raison que le SAINT-SIÈGE a invité, à plusieurs reprises, les responsables des deux Peuples à reprendre les négociations en toute bonne foi et à éviter d’accomplir des actions ou de poser des conditions en contradiction avec les déclarations de bonne volonté et la recherche sincère de solutions offrant les fondements solides d’une paix durable. En outre, le SAINT-SIÈGE a adressé un appel pressant à la Communauté internationale pour qu’elle renforce son engagement et stimule sa créativité, afin de prendre les initiatives permettant d’instaurer une paix durable dans le respect des droits des Israéliens et des Palestiniens. La paix a besoin de décisions courageuses ! .. 7. A la lumière du résultat du vote de l’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES du 29 novembre 2012 et pour encourager la communauté internationale et en particulier les parties directement concernées, à une action incisive en vue des objectifs exposés ci-dessus – le SAINT-SIÈGE salue la décision de l’Assemblée générale faisant de la PALESTINE UN ÉTAT OBSERVATEUR NON MEMBRE DES NATIONS UNIES. L’occasion est propice pour rappeler également la position commune exprimée par le SAINT-SIÈGE et l’OLP dans leur accord fondamental du 15 février 2000, en faveur de la reconnaissance d’un statut spécial internationalement garanti pour la ville de JÉRUSALEM, dans le but, en particulier, de préserver la liberté de religion et de conscience, l’identité et le caractère de Jérusalem en tant que Ville Sainte, ainsi que le respect des Lieux Saints qui s’y trouvent et l’accès à ces mêmes Lieux Saints.». .. ZF12113003 - 30-11-2012 Permalink: http://www.zenit.org/article-32699?l=french |
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APIC| JÉRUSALEM 13 juin 2012
PAS DE RECONNAISSANCE DE L'OCCUPATION DE JÉRUSALEM, CONFIRMENT LES ÉVÊQUES DE TERRE SAINTE
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Réagissant aux articles de presse suite à la dernière réunion de la Commission permanente SAINT-SIÈGE/ÉTAT D’ISRAËL, les évêques catholiques de Terre Sainte précisent que, dans l’Accord envisagé, il n’est pas question de reconnaître même implicitement «la souveraineté d’ISRAËL sur JÉRUSALEM-EST occupée». L’Assemblée des Ordinaires Catholiques de Terre Sainte (AOCTS) affirme que «le SAINT-SIÈGE n’a pas changé sa position en ce qui concerne le statut de JÉRUSALEM».
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Le patriarche latin de JÉRUSALEM FOUAD TWAL
.Les négociations en cours depuis une décennie concernant les questions économiques et financières des institutions de l’Église en Terre Sainte «sont actuellement à une étape finale», précise dans un communiqué l'Assemblée des Ordinaires Catholiques de Terre Sainte (AOCTS). Signé par son président, le PATRIARCHE LATIN DE JÉRUSALEM FOUAD TWAL, et par son prédécesseur MICHEL SABBAH, président de la Commission «JUSTICE ET PAIX» de l'AOCTS, le communiqué souligne que .
«la signature que certains disaient être imminente n'a pas eu lieu. La discussion en effet n'est pas terminée, elle reprendra en décembre prochain».. PAS DE CHANGEMENT DU STATUT DE JÉRUSALEM . «Les nouvelles se sont répandues comme si l'accord reconnaissait implicitement la souveraineté d'ISRAËL sur JÉRUSALEM-EST occupée, vu que son application porte sur toutes les institutions de l’Église qui se trouvent sous l'autorité israélienne, et que le texte des accords ne contient pas une distinction expresse entre les institutions en Israël dans les frontières d'avant 1967 et entre celles qui se trouvent à Jérusalem-Est occupée», écrit l'AOCTS. . Dans leur communiqué, les évêques catholiques de Terre Sainte assurent que «nous, Église locale, nous sommes certains et nous déclarons que le SAINT-SIÈGE n'a pas changé et ne changera pas sa position en ce qui concerne le statut de Jérusalem. L'accord prévu concerne donc des mesures à caractère exclusivement économique et fiscal, et n'entend nullement opérer des changements dans le statut de JÉRUSALEM tel qu'il est, et moins encore dans le statut de JÉRUSALEM-EST occupée». . http://www.kipa-apic.ch/index.php?PHPSESSID=r3eufi79m4o1g... |
SYNODE POUR LE MOYEN-ORIENT (10 au 24 OCTOBRE 2010) |
ISRAËL NE PEUT S'APPUYER SUR LA BIBLE POUR JUSTIFIER L'OCCUPATION |
LE PARISIEN 23.10.2010, 15h37«Israël ne peut pas s'appuyer sur le terme de Terre promise figurant dans la Bible pour justifier le retour des juifs en Israël et l'expatriation des Palestiniens» , a déclaré samedi au Vatican l'archevêque de Newton (États-Unis) Monseigneur CYRILLE SALIM BUSTROS.
«On ne peut pas se baser sur le thème de la Terre promise pour justifier le retour des juifs en Israël et l'expatriation des Palestiniens», a dit le président grec-melkite de la commission pour le message du synode pour le Moyen-Orient lors d'une conférence de presse. Dans ce message, rendu public samedi, les évêques et patriarches orientaux affirment qu'il «n'est pas permis de recourir à des positions bibliques et théologiques pour en faire un instrument pour justifier les injustices». «Pour nous, chrétiens, on ne peut plus parler de Terre promise au peuple juif», terme qui figure dans l'Ancien testament, car cette «promesse» a été «abolie par la présence du Christ». Après la venue du Jésus, «nous parlons de Terre promise comme étant le royaume de Dieu», qui couvre la Terre entière, et est un «royaume de paix, d'amour, d'égalité (et) de justice», a-t-il expliqué. «Il n'y a plus de peuple préféré, de peuple choisi, tous les hommes et toutes les femmes de tous les pays sont devenus le peuple choisi», a ajouté le prélat. Il a par ailleurs mis en avant deux problèmes dans la solution préconisée par la communauté internationale et le Vatican d'instituer un État juif et un État palestinien pour résoudre le conflit au Proche-Orient. Dans le cadre d'un État juif, il s'est inquiété du risque d'exclusion «d'un million et demi de citoyens israéliens qui ne sont pas juifs mais arabes musulmans et chrétiens». Pour lui, il vaudrait mieux parler d'«un État à majorité juive». «La question du retour des déplacés palestiniens» est «aussi très grave, a-t-il ajouté. Quand on va créer deux États, il va falloir résoudre ce problème», a affirmé Monseigneur BUSTROS. |
L’ÉGLISE DEMANDE A L'ONU DE METTRE FIN A L'OCCUPATION ISRAÉLIENNE |
LE SOIR.BE 23 octobre 2010
Dans son message final publié samedi le synode, ouvert le 10 octobre, lance un «appel à la communauté internationale».
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«Les citoyens des pays du Moyen-Orient interpellent la communauté internationale, en particulier l’ONU pour qu’elle travaille sincèrement à une solution de paix juste et définitive dans la région, et cela par l’application des résolutions du Conseil de sécurité et la prise des mesures juridiques nécessaires pour mettre fin à l’occupation des différents territoires arabes par Israël», déclarent les évêques, provenant en majorité du Moyen-Orient. .
«De cette façon, le peuple palestinien pourra avoir une patrie indépendante et souveraine et y vivre dans la dignité et la stabilité, affirment les prélats. De son côté, Israël pourra jouir de la paix et de la sécurité au-dedans des frontières internationalement reconnues», ajoutent-ils. .
«La ville sainte de Jérusalem pourra obtenir le statut juste qui respectera son caractère particulier, sa sainteté et son patrimoine religieux, pour chacune des trois religions, juive, chrétienne et musulmane», disent-ils encore «espérant» que «la solution des deux États devienne une réalité et ne reste pas un simple rêve». .
Le synode fait référence sans la citer à la résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations unies qui avait condamné, en novembre 1967, l’acquisition de territoire par la guerre et avait demandé le «retrait des forces armées israéliennes des territoires occupés» à l’issue de la Guerre des six jours. Cette résolution a été suivie de plusieurs autres dans le même esprit. .
Tout au long du synode, comme lors de sa préparation en amont, il a été affirmé que le conflit israëlo-palestinien est à la base de la situation conflictuelle de toute la région. .
Les évêques, qui ont déclaré à plusieurs reprises que les chrétiens sont «les principales victimes de la guerre en Irak», jugent donc samedi que la fin du conflit israëlo-palestinien permettrait aussi de «mettre fin aux conséquences de la guerre meurtrière» en Irak et d’y «rétablir la sécurité qui protégera tous ses citoyens». .
Pour eux, par ailleurs, «le Liban pourra jouir de sa souveraineté sur tout son territoire, fortifier son unité nationale et continuer sa vocation à être le modèle de la convivialité entre chrétiens et musulmans, par le dialogue des cultures et des religions et la promotion des libertés publiques». .
Dans ce message rédigé en arabe, les patriarches et les évêques des Églises d’Orient condamnent «la violence et le terrorisme d’où qu’ils viennent et tout extrémisme religieux», de même que «toute forme de racisme, l’antisémitisme, l’antichristianisme et l’islamophobie». .
Ils appellent «les religions à assumer leurs responsabilités dans la promotion du dialogue des cultures et des civilisations dans (la) région et dans le monde entier». (AFP)
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2008 SYNODE DES ÉVÊQUE - CRITIQUES D'UNE UTILISATION IDÉOLOGIQUE DE LA BIBLE EN ISRAËL
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17/10/08
CITE DU VATICAN, 13 oct 2008 (AFP) - Un prélat libanais a dénoncé lundi devant le synode des évêques au Vatican une utilisation idéologique de la Bible en Israël qui conduit selon lui à justifier les annexions de terres et à nier les droits des Palestiniens.
. «Pour les juifs en général, et surtout pour certains religieux intégristes, la Bible se présente comme une sorte de cadastre délimitant les frontières d’Israël», a déclaré Monseigneur GUY-PAUL NOUJAIM, vicaire du patriarche maronite de Sarba (environ 15 km au nord de Beyrouth, Liban), selon le texte intégral de son intervention dont les journalistes ont eu connaissance. Le résumé diffusé aux médias évoquait en termes plus généraux «une exégèse idéologique et politique de l’Écriture Sainte, en particulier la question de la terre promise à Israël par Dieu dans la Bible, ajoutant que certains prennent à la lettre cette promesse pour encore aujourd’hui». Dans le texte intégral, Mgr NOUJAIM a souligné que «de nombreux chrétiens, et même des catholiques, que l’on appelle «sionistes chrétiens», adhérent à ce courant. Certains d’entre eux proclament que le peuple palestinien n’a aucun droit de posséder une terre en Palestine», a-t-il relevé. Le synode des évêques (assemblée consultative) est réuni à huis clos du 5 octobre au 25 octobre sur le thème de «la parole de Dieu». Un autre prélat du Proche-Orient, le patriarche latin de Jérusalem FOUAD TWAL, avait évoqué le 10 octobre l’utilisation de la Bible dans le conflit israélo-palestinien. «Le conflit israélo-palestinien provoque des difficultés de lecture et de compréhension de certains passages de la Bible, avait-il dit. Les chrétiens arabes en général ont souvent du mal à lire l’Ancien Testament, non à cause de la Parole de Dieu elle-même, mais à cause de ses interprétations politiques et idéologiques», avait-il précisé. Chrétiens et juifs ont en commun certains textes sacrés de la Bible rassemblés notamment dans ce que les chrétiens appellent l’Ancien Testament et les juifs la Torah. . V.I.V. |
JUIN 2008 - LE VATICAN S’INQUIÈTE DE L'INFLUENCE DES SECTES CHRÉTIENNES
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27/06/08
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CITE DU VATICAN, 12 juin 2008 (AFP) - Le Vatican s’inquiète de l’influence croissante des sectes chrétiennes accusées de brouiller le message de la Bible, dans le document préparatoire à un prochain synode (assemblée) des évêques publié jeudi. Plus largement, le Vatican dénonce les ravages du «fondamentalisme chrétien dans l’interprétation du monde et de la vie humaine, compliquant le rapport déjà délicat entre religion et science», une allusion au débat particulièrement vif aux États-Unis sur le darwinisme entre créationnisme et évolutionnisme. .
Il réitère ses critiques envers la théologie de la libération toujours vivante en Amérique latine, dénonçant les «lectures idéologiques de la Bible et appelant les théologiens à éviter de la manipuler». Le texte intitulé «la parole de Dieu dans la vie et la mission de .
l’Église» souligne l’importance des textes bibliques pour le christianisme. Il doit servir d’instrument de travail («instrumentum laboris») aux évêques du monde entier en préparation du synode d’octobre 2008. .
Les évêques sont appelés à accorder «une attention particulière aux nombreuses sectes, actives dans plusieurs continents, qui se servent de la Bible pour des objectifs déviants avec des méthodes étrangères à l’Église. Ils doivent aussi être attentifs au risque du fondamentalisme qui procède à une lecture littérale de la Bible et refuse de tenir compte de la dimension historique de la révélation biblique. Ce genre de lecture trouve de plus en plus d’adhérents même parmi les catholiques, relève le document. Il évoque aussi l’émergence de formes gnostiques et ésotériques dans l’interprétation des Saintes Écritures». Mais pour le Vatican, les dangers d’une mauvaise compréhension de la Bible viennent aussi d’une lecture déconnectée de la foi religieuse, dans un contexte marqué par «le sécularisme consumériste», le «relativisme», «l’indifférence religieuse». Il évoque également les «conflits douloureux auxquels sont parfois confrontés les minorités chrétiennes dans un milieu non chrétien à propos de l’emploi de la Bible», allusion aux tracasseries dont font l’objet les petites communautés chrétiennes dans certains pays musulmans. .
Une chrétienne convertie, HABIBA KOUIDER, est actuellement poursuivie par la justice algérienne pour «pratique illégale d’un culte non-musulman» après avoir été interpellée en possession de plusieurs exemplaire de la Bible. Le document souligne cependant le rayonnement de la Bible dans le monde après avoir imprégné les cultures des siècles passés «au point d’inspirer les différents domaines du savoir philosophique, pédagogique, scientifique, artistique, littéraire».
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Elle est aujourd’hui au cœur d’un «dialogue parfois dialectique mais riche en potentialités et riche en demandes de significations», relève-t-il. |
AOÛT 2006 CONDAMNATION COMMUNE DU SIONISME CHRÉTIE
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COMMUNIQUÉ DU PATRIARCHE ET DE DIGNITAIRES D’ÉGLISES LOCALES A JÉRUSALEM
DÉCLARATION SUR LE SIONISME CHRÉTIENZENITH JÉRUSALEM, août 30, 2006 (Zenit.org) .- Voici «La Déclaration de Jérusalem sur le sionisme chrétien», sorti le 22 août. La déclaration a été écrit par le Patriarche latin MICHEL SABBA de Jérusalem et d'autres responsables locaux des Églises de Jérusalem. * * *
«Heureux les artisans de paix car ils seront appelés enfants de Dieu» (Matthieu 5:9) Le sionisme chrétien est un mouvement moderne théologique et politique qui englobe les positions idéologiques les plus extrêmes du sionisme, devenant ainsi nuire à une paix juste en Palestine et en Israël. Le programme chrétien sioniste fournit une vision du monde où l'Évangile est identifié avec l'idéologie de l'empire, le colonialisme et le militarisme. Dans sa forme extrême, il lacets mettant l'accent sur des événements apocalyptiques conduisant à la fin de l'histoire plutôt que de vivre l'amour du Christ et de la justice aujourd'hui. Nous rejetons catégoriquement les doctrines chrétiennes sionistes comme enseignement faux qui corrompent le message biblique d'amour, de justice et de réconciliation. .
En outre, nous rejetons l'alliance contemporaine des dirigeants chrétiens sionistes et les organisations avec des éléments dans les gouvernements d'Israël et les États-Unis qui sont actuellement imposer leurs unilatérale des frontières de préemption et de domination sur la Palestine. . Cela conduit inévitablement à des cycles sans fin de violence qui portent atteinte à la sécurité de tous les peuples du Moyen-Orient et le reste du monde. . Nous rejetons les enseignements du sionisme chrétien qui facilite et soutient ces politiques comme ils avancent l'exclusivité raciale et la guerre perpétuelle plutôt que l'évangile de l'amour, la rédemption universelle et de la réconciliation enseignée par Jésus-Christ. Plutôt que de condamner le monde à la ruine de l'Armageddon, nous appelons chacun à se libérer des idéologies du militarisme et de l'occupation. Au lieu de cela, laissez-les poursuivre la guérison des nations ! . Nous appelons tous les chrétiens dans les églises sur tous les continents à prier pour les peuples palestinien et israélien, tous deux sont des souffrances que les victimes de l'occupation et du militarisme. Ces actes de discrimination transforment la Palestine en ghettos de pauvreté entourés par des colonies israéliennes exclusive. L'établissement des colonies illégales et la construction du mur de séparation sur des terres palestiniennes confisquées compromettre la viabilité d'un État palestinien ainsi que la paix et la sécurité dans toute la région. Nous appelons toutes les Églises qui restent silencieuses, à rompre leur silence et de parler de réconciliation avec la justice en Terre Sainte. . Par conséquent, nous nous engageons à les principes suivants comme une voie alternative : Nous affirmons que tous les hommes sont créés à l'image de Dieu. En retour, ils sont appelés à honorer la dignité de chaque être humain et au respect de leurs droits inaliénables. Nous affirmons que les Israéliens et les Palestiniens sont capables de vivre ensemble dans la paix, la justice et la sécurité. Nous affirmons que les Palestiniens sont un peuple, à la fois musulmane et chrétienne. Nous rejetons toutes les tentatives pour subvertir et fragmenter leur unité.
Nous appelons tous les gens à rejeter la vision du monde étroite du sionisme chrétien et d'autres idéologies qui privilégient un peuple aux dépens des autres. Nous sommes déterminés à la résistance non-violente comme le moyen le plus efficace pour mettre fin à l'occupation illégale, afin de parvenir à une paix juste et durable. Avec l'urgence, nous avertissons que le sionisme chrétien et ses alliances justifient la colonisation, l'apartheid et à bâtir un empire. Dieu demande que justice soit faite. Aucune paix durable, la sécurité ou réconciliation n'est possible sans la fondation de la justice. Les exigences de la justice ne va pas disparaître. La lutte pour la justice doit être poursuivi avec diligence et persistance, mais sans violence. «Qu'est-ce que le Seigneur exige de vous : pour agir avec justice, aimer la miséricorde et de marcher humblement avec ton Dieu» (Michée 6:8) C'est là que nous prenons notre stand. Nous défendons la justice. Nous ne pouvons rien faire d'autre. Justice garantit à elle seule une paix qui conduira à la réconciliation avec une vie de sécurité et de prospérité pour tous les peuples de notre terre. En restant sur le côté de la justice, nous nous ouvrons à l'œuvre de paix - et de travailler pour la paix qui nous rend enfants de Dieu. «Dieu a réconcilié le monde avec lui dans le Christ, sans compter les péchés des hommes contre eux. Et il s'est engagé à nous transmettre le message de la réconciliation» (2 Corinthiens 5:19) Patriarche MICHEL SABBAH
Patriarcat latin de Jérusalem Swerios archevêque MOURAD MALKI, Patriarcat orthodoxe syrien, Jérusalem Riah évêque ABU EL-ASSAL, Église épiscopale de Jérusalem et le Moyen-Orient Évêque MUNIB YOUNAN, Église évangélique luthérienne de Jordanie et de Terre Sainte |
2005 – MICHEL SABBAH PATRIARCHE LATIN DE JÉRUSALEM |
En tant que patriarche latin de Jérusalem, quel est votre rôle ? .
Notre rôle, à nous chefs religieux chrétiens, est de rappeler la vérité. D’un côté, les Israéliens disent faire la guerre pour être reconnus et acceptés en tant que peuple dans cette région. Les Palestiniens disent lutter contre l’occupation. Selon nous, Israël doit être reconnu en tant que peuple et doit pouvoir vivre en sécurité. De même, les Palestiniens ont droit à un État au sein duquel ils pourront vivre en paix. Or, Israël a réussi à convaincre le monde qu’il luttait contre le terrorisme. Ce qui est faux, car le peuple palestinien se bat pour sa liberté. |
10:38 Publié dans MOYEN-ORIENT : POSITION DE L'EGLISE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : moyen-orient
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