19/01/2011
MIRACLE DES CORPS INCORRUPTIBLES
1 CORINTHIENS 15 35/57 |
35 Mais, dira quelqu'un : Comment les morts ressuscitent-ils ? Avec quel corps reviennent-ils ?
36 Insensé ! ce que tu sèmes ne reprend pas vie, s'il ne meurt auparavant. 37 Et ce que tu sèmes, ce n'est pas le corps qui sera un jour ; c'est un simple grain, soit de blé, soit de quelque autre semence : 38 mais Dieu lui donne un corps comme il l'a voulu, et à chaque semence il donne le corps qui lui est propre. 39 Toute chair n'est pas la même chair ; autre est la chair des hommes, autre celle des quadrupèdes, autre celle des oiseaux, autre celle des poissons.
40 Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres ; mais l'éclat des corps célestes est d'une autre nature que celui des corps terrestres : 41 autre est l'éclat du soleil, autre l'éclat de la lune, et autre l'éclat des étoiles ; même une étoile diffère en éclat d'une autre étoile. 42 Ainsi en est-il pour la résurrection des morts. Semé dans la corruption, le corps ressuscite, incorruptible ; 43 semé dans l'ignominie, il ressuscite glorieux ; semé dans la faiblesse, il ressuscite plein de force ; 44 semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps animal, il y aussi un corps spirituel. 45 C'est en ce sens qu'il est écrit : «Le premier homme, Adam, a été fait âme vivante» ; le dernier Adam a été fait esprit vivifiant. 46 Mais ce n'est pas ce qui est spirituel qui a été fait d'abord, c'est ce qui est animal ; ce qui est spirituel vient ensuite. 47 Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre ; le second vient du ciel. 48 Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres ; et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes. 49 Et de même que nous avons porté l'image du terrestre, nous porterons aussi l'image du céleste. 50 Ce que j'affirme, frères, c'est que ni la chair ni le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n'héritera pas l'incorruptibilité. 51 Voici un mystère que je vous révèle : Nous ne nous endormirons pas tous, mais tous nous serons changés,
54 Lors que ce corps corruptible aura revêtu l'incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l'immortalité, alors s'accomplira la parole qui est écrite : «La mort a été engloutie pour la victoire» 52 en un instant, en un clin d'œil, au son de la dernière trompette, car la trompette retentira et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. 53 Car il faut que ce corps corruptible revête l'incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l'immortalité. 55 «O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ?» 56 Or l'aiguillon de la mort, c'est le péché et la puissance du péché, c'est la loi. 57 Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous a donné la victoire par Notre-Seigneur Jésus-Christ ! |
27 parce que vous n'abandonnerez pas mon âme dans le séjour des morts, et vous ne permettrez pas que votre Saint voie la décomposition.
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35 C'est pourquoi il dit encore ailleurs : Tu ne permettras pas que ton Saint voie la décomposition.
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9 Aussi mon coeur est dans la joie, mon âme dans l'allégresse, mon corps lui-même repose en sécurité.
10 Car tu ne livreras pas mon âme au schéol, tu ne permettras pas que celui qui t'aime voie la corruption. |
22 Ignorant les desseins secrets de Dieu, ils n'espèrent pas de rémunération pour la sainteté, et ils ne croient pas à la récompense des âmes pures.
23 Car Dieu a créé l'homme pour l'immortalité, et il l'a fait à l'image de sa propre nature. 24 C'est par l'envie du diable que la mort est venue dans le monde, 25 ils en feront l'expérience, ceux qui lui appartiennent. |
CORPS INCORRUPTIBLES
(Liste incomplète)
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1. | Saint NAZAIRE DE MILAN, martyr (mort en 68/70). Incorrompu en 396 (plus de 300 ans), traces de sang encore frais. | ||
2. | Saints GERVAIS ET PROTAIS, martyrs (morts vers 160). Incorrumpus vers 390 (plus de 200 ans), écoulement de sang des cadavres. | ||
3. | Sainte CÉCILE, martyre (mort en 230). Son corps incorruptible a été retrouvé longtemps après sa mort. Le crâne de Sainte CÉCILE est conservé comme une relique dans la cathédrale de TORCELLO. | ||
4. | Sainte AGATHE DE CATANE, martyr (morts en 251). | ||
5.
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Saints MARCELLIN ET PIERRE, martyrs (morts vers 295). Incorrompus vers 800 (plus de 500 ans), écoulement de sang des dépouilles. | ||
6. | Saint SYLVAIN, Évêque de Gaza, martyr, mort en 311 | ||
7. | Saint SÉVERIN DE NORIQUE, évêque (mort en 482/483). Incorrompu en 489 (6 ans), parfum suave se dégageant du corps. | ||
8. | Sainte PATRICIA DE NAPLES, religieuse (morte en 665). Son sang se liquéfie périodiquement | ||
9. | Sainte ÉTHELDREDA D'ÉLY, reine de Northumberland, veuve et moniale OSB (morte en 679). Incorrompue plusieurs années après sa mort. | ||
10. | Saint CUTHBERT, o.s.b., évêque de Lindisfarne (mort en 687). Incorrompu et souple en 698 (11 ans), encore intact au XIe siècle. | ||
11. | Sainte WERBURG DE MERCIE, abbesse OSB de Trentham (morte en 703/4). En l'an 708, son frère CENRED avait succédé comme roi de MERCIE décide de déplacer le corps de sa sœur dans l’Église de Hanbury. Son corps est retrouvé miraculeusement intact. Considéré comme un signe de la faveur divine, sa tombe est donc devenue un objet de vénération et d'un centre de pélerinage | ||
12. | Saint WILLIBRORD, moine OSB et évêque, apôtre de la Frise (mort en 739). Incorrompu plusieurs années après sa mort. | ||
13. | Sainte WIHTBURH, abesse (mort en 743). Corps découvert incorrompuu 55 ans après sa mort | ||
14. | Saint WUNIBALD, évêque bénédictin (mort en 781). Corps découvert incorrompuu 18 ans après sa mort | ||
15. | Saint ELPHÈGE DE CANTERBURY (mort en 1012). Incorrompu plusieurs années après sa mort. | ||
16. | Saint COLMAN DE STOCKERAU, moine martyr(mort en 1012). Dix-huit mois durant, le corps de Coloman resta pendu sur le gibet, incorrompu et laissé intact par les oiseaux et les bêtes. Du fait du grand nombre de miracles qui furent accomplis à travers son corps incorrompu, une vénération populaire naquit. Son corps fut déposé dans l'abbaye de Melk. | ||
17. | Saint ÉDOUARD LE CONFESSEUR, roi des Angles (mort en 1066). Incorrompu plusieurs années après sa mort. | ||
18. | Saint ISIDORE LE LABOUREUR, (mort en 1130)Se procurer l'élévation et la translation de son corps. Quand on l'eut retiré de terre, il fut trouvé aussi frais et aussi sain que s'il venait de mourir; un parfum de délicieuse odeur embauma les airs, et toutes le saint Isidore mourut avant sa femme, en 1170, et on l'enterra sous une gouttière, dans le cimetière de Saint-André, où il fut oublié quarante ans. Alors le Saint apparut à une dame vertueuse pour la presser d cloches sonnèrent d'elles-mêmes. L'église de Saint-André fut choisie pour recevoir ses saintes reliques; on y vit un grand concours de peuple; de nombreux miracles s'opérèrent et firent croître et grandir la dévotion à saint Isidore. | ||
19. | Saint WILLIAM FITZHERBERT, archevêque d'York (mort en 1154). Incorrompu plusieurs années après sa mort, cadavre exsudant de l'huile. | ||
20. | Saint WALTHEOF DE MELROSE, Cistercien (mort en 1159). En 1171 Corps incorrompu et vêtements sacerdotaux intacts | ||
21. | Saint IDESBALD DES DUNES, Chanoine (mort en 1167). En 1223 le cercueil de plomb avec le corps intact d’IDESBALD est découvert sous les décombres de la salle capitulaire de l’abbaye. Cette découverte est à l’origine de la dévotion à Saint IDESBALD qui se développa dans la région. Depuis 1831, les reliques de Saint IDESBALD se trouvent à BRUGES. | ||
22.
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Saint HUGUES, évêque de Lincoln (mort en 1200). Incorrompu en 1280 (80 ans), émission d'huile. |
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23. | Robert GROSSETESTE, évêque de Lincoln (mort en 1224/25 ?).? Incorrompu en 1278 (plus de 60 ans), émission d'huile. | ||
24. | Saint BERTRAND DE GARRIGUES, prêtre dominicain (mort en 1230). Corps trouvé «entier et sans corruption aucune» en 1253, encore intact en 1398 lors de son transfert à Orange, et en 1561 (331 ans), lorsqu'il fut brûlé par les huguenots. | ||
25. | Sainte ROSE DE VITTERBE, (morte en 1252)Son corps, qui exhalait un parfum agréable, fut inhumé à Santa Maria. Depuis sa mort, son corps intact a fait l'objet de pèlerinages constants. En 1357 eu lieu à Viterbo un grand miracle : réduite en cendres, la chapelle où étaient conservées ses reliques brula ainsi que la boîte qui les contenait. Le corps sacré changea seulement un peu de couleur. | ||
26. | Sainte CLAIRE D'ASSISE, fondatrice de l'ordre des Clarisses, (morte en 1253) MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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27. | Saint JEAN DE BEVERLEY, moine OSB (mort en 12...?) Incorrompu plusieurs années après sa mort, émission d'huile. | ||
28. | Saint EDMOND RICH, archevêque de Canterbury (mort en 1240). Incorrompu plusieurs années après sa mort | ||
29.
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JEAN «LE BON», en réalité DE BUONO ou DE BUONIS, religieux augustin (mort en 1249). Incorrompu en 1251 (2 ans), toujours intact en 1798 (5e reconnaissance canonique) |
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30. | Sainte ROSE DE VITERBE, tertiaire franciscaine (morte en 1258) Incorrompue et souple durant de nombreuses années, actuellement le corps est desséché et noirci (momification) |
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31. | Bienheureuse HÉLÈNE DE HONGRIE, moniale dominicaine (morte en 1270). Incorrompue quelque temps après sa mort, lors de l'exhumation: parfum émanant du cadavre et émission de sang frais. STIGMATISÉE |
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32.
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Sainte ZITA (morte en 1272)Le cercueil contenant le corps du saint a été ouverte en 1446, 1581 et 1652 et il a été, à chaque fois jugé intact. La peau est maintenant sombre et sec, mais le corps est encore en entier, sauf un seul doigt. Le doigt est censé avoir été donné à l'église du village de Eagle, dans le Lincolnshire, en Angleterre au moyen âge |
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33. | Saint ALBERT LE GRAND, dominicain, évêque, docteur de l’Église(mort en 1280) Corps réduit à un squelette en 1483 mais tête et yeux intacts | ||
34. | Bienheureux CONRAD D'ASCOLI, prêtre franciscain (mort en 1289). Incorrompu plusieurs mois après sa mort. STIGMATISÉ |
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35. | Sainte MARIE DU SECOURS DE CERVELLON, moniale mercédaire (morte en 1290). Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1380 (90 ans), toujours intact, mais desséché et bruni, en 1991 (exposé dans une urne de cristal). | ||
36. | Sainte MARGUERITE DE CORTONE, tertiaire franciscaine (morte en 1297). Incorrompue en 1715 (418 ans), le corps répandant une odeur suave. A présent, corps toujours intact, desséché STIGMATISÉE |
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37. |
Sainte MECHTILDE DE HACKEBORN, bénédictine,(morte en1298)
STIGMATISÉE |
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38. | Bienheureux JAMES DE BLANCONIBUS BEVAGNA, Dominicain(mort en 1301). A part le pied gauche volé comme relique, l'ensemble du corps est incorruptible particulier le visage, les mains et les pieds en très bon état. Le corps du bienheureux est conservé dans l'église de Bevagna en Italie | ||
39. | Saint NICOLAS DE TOLENTINO, Moine de l'ordre des ermites de Saint Augustin (mort en 1305). |
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40. | Bienheureuse JEANNE D'ORVIETO, tertiaire dominicaine (morte en 1306). Incorrompue, mais desséchée, en 1755 (449 ans). STIGMATISÉE |
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41. | Bienheureux ANGE SCARPETTI, prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (mort en 1306). Corps incorrompu au XVIe siècle (reconnaissance canonique). | ||
42.
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Sainte CLAIRE DE LA CROIX DE MONTEFALCO, moniale augustinienne(morte en 1308). Incorrompue encore en 1881 (573 ans), et à l'heure actuelle légèrement momifiée. STIGMATISÉE MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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43.
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Bienheureuse ANGÈLE DE FOLIGNO, tertiaire franciscaine(morte en 1309). Incorrompue plusieurs années après la mort STIGMATISÉE INÉDIE MIRACLE EUCHARISTIQUE AGRYPNIE
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44. | Sainte CHRISTIANE MENABUOI DE SAINTE-CROIX, moniale augustinienne (morte en 1310) Corps demeuré incorrompu, flexible et frais durant 18 jours après sa mort. | ||
45.
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Bienheureuse UMILTA DA FAENZA, vallombreuse, larmes de sang, (morte en1310) STIGMATISEE
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46. | Sainte AGNÈS SEGNI DE MONTEPULCIANO, moniale dominicaine (morte en 1317). Corps intact en 1362 (45 ans), distillant un liquide huileux parfumé. Intact, mais desséché, en 1991. | ||
47. | Bienheureuse MATTIA NAZZAREI DE MATELICA, Clarisse (morte en 1319). Corps incorruptible en 1320, 1536, 1758 |
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48. |
Bienheureuse MARGUERITE DE CITTA DI CASTELLO, tertiaire dominicaine(morte en 1320).Incorrompue en 1678 et 1743, souple et exhalant une odeur suave (423 ans). STIGMATISÉE |
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49. | Bienheureux PIERRE GHIGENZI DE GUBBIO, Augustinien (mort en 1306/22 ?). | ||
50. | Sainte ROSELINE DE VILLENEUVE, moniale chartreuse (morte en 1329). Corps frais et souple en 1334 (5 ans), puis en 1614, 1644, 1657, 1835 (506 ans), les yeux frais ; corps un peu desséché, noirci, en 1929 (600 ans) et en 1951 (622 ans), traces de moisissures. |
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51. |
MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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52. |
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53. | Saint PHLIPPE BENIZI, Moine des Serviteurs de Marie (mort en 1345). | ||
54. |
AGNÈS DE BAVIÈRE, clarisse, plaies mains et pieds, (morte en 1352)
STIGMATISÉE
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55. | Bienheureuse VILLANA DE BOTTIS, tertiaire dominicaine (morte en 1361). Incorrompue durant un mois, corps exhalant des parfums suaves STIGMATISÉE |
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56. | Bienheureuse SIBYLLINE BISCOSSI, Dominicaine (mort en 1367). Son corps incorruptible se trouve à Pavie |
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57. | Sainte CATHERINE DE SIENNE, mantellate dominicaine (morte en 1380). Incorrompue au moins jusqu'au début du XIe siècle. STIGMATISÉE
MIRACLE EUCHARISTIQUE INÉDIQUE AGRYPNIE
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58. | Bienheureux ANDRÉ FRANCHI, Évêque dominicain (morte en 1401). | ||
59. | Bienheureuse ÉLISABETH ACHLER (ÉLISABETH BONA DE REUTE) “LA BONNE BETHA”, recluse tertiaire franciscaine(morte en 1420). Partiellement incorrompue en 1623, squelette intact en 1991. STIGMATISÉE
AGRYPNIE
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60. | LUCIE DE NORCIA, tertiaire franciscaine (morte en 1430). Incorrompue et souple en 1599 (169 ans). STIGMATISÉE
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61. | Bienheureuse ANGELINE DE MARSCIANO, moniale franciscaine (morte en 1435) Corps retrouvé incorrompu et souple en 1492, lors de la translation (57 ans), toujours incorrompu, mais desséché et noirci, en 1991. | ||
62. | Sainte FRANÇOISE ROMAINE, veuve et oblate olivétaine (morte en 1440).Corps incorrompu, souple et suavement odorant quatre mois après la mort, squelette intact exhalant une odeur suave en 1638. STIGMATISÉE
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63. | MARGUERITE DE FOLIGNO moniale franciscaine (morte en 1442). Corps trouvé incorrompu et exhalant un parfum suave, en 1492 (50 ans) ; réduit en cendres en 1588. | ||
64. | Saint BERNARDIN DE SIENNE, prêtre franciscain (mort en 1444). Cadavre intact en 1472 (28 ans), puis au XVIIe siècle | ||
65. | Bienheureux ANTOINE MIGLIORATI D'AMANDOLA, prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (mort en 1450) Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1460, dans le même état en 1464 (translation canonique des restes) ; actuellement intact, mais noirci et desséché. | ||
66. | Saint LAURENT JUSTINIEN, patriarche de Venise (mort en 1455). Cadavre intact, souple et parfumé pendant 67 jours. | ||
67. | Saint JEAN DE CAPISTRAN, prêtre franciscain (mort en 1456). Incorrompu durant un certain temps, jusqu'en 1765 | ||
68. | Sainte RITA DE CASCIA, veuve, moniale augustinienne(morte en 1456). Corps parfaitement intact en 1626 (170 ans), mouvements (1628 notamment), cadavre actuellement intact, mais desséché et noirci STIGMATISÉE
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69. | Saint ANTONIN, dominicain, archevêque de Florence (mort en 1459). Flexible et répandant une odeur suave durant huit jours, incorrompu et souple en 1589 (130 ans), actuellement desséché et noirci. | ||
70. | Bienheureux ANTONIO VICI, (mort en 1461) Corps incorruptible, parfumé et souple en1461, 1599, 1649 et 1809 | ||
71. | Saint DIDACE, frère laïc franciscain (mort en 1463). Cadavre incorrompu, souple et parfumé durant six mois, parfaitement intact en 1582 (119 ans). | ||
72. | Sainte CATHERINE DE BOLOGNE Clarisse(morte en 1463). Quand elle mourut à l'âge de 48 ans, Catherine fut enterrée et après dix-huit jours des miracles auprès de sa tombe, son corps incorruptible exhumé fut transféré à la chapelle des Clarisses à Bologne | ||
73. | CHRISTOPHE CRIVELLI, franciscain (mort en 1467). Corps «longtemps incorrompu avec exhalaison de parfums célestes» STIGMATISÉ
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74. | Bienheureuse ÉLISABETH DE PICCENARDI, tertiaire Servite de Marie (morte en 1468). Cadavre retrouvé incorrompu et frais en 1506 (38 ans), toujours intact, mais noirci et desséché, en 1991. |
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75. | Bienheureux EUSTOCHIA BELLINI DE PADOUE, (mort en 1469). Son corps incorruptible repose à Padoue | ||
76. | Bienheureux HUGOLIN DE MANTOUE, moine augustinien (mort en 1471). Corps intact en 1540 (69 ans), plaie du côté répandant du sang. Encore incorrompu au XIXe siècle. STIGMATISÉ
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77. | Saint JEAN DE KENTY, prêtre (mort en 1473). Incorrompu en 1539 (66 ans, preuves peu convaincantes), cendres odorantes en 1603. |
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78. | Bienheureux ANTHONY BONFADINI, Prêtre franciscain (mort en 1482). Corps trouvé intact en 1902 et préservé en 1945 | ||
79. |
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80. | Bienheureuse FRANÇOISE D'AMBOISE, fondatrice des carmélites en France (morte en 1485). Corps retrouvé intact en 1492 (7 ans) | ||
81. | Bienheureux JACQUES VARINGEZ DE BITECTO, frère laïc franciscain (mort en 1486). Cadavre retrouvé incorrompu, souple et le teint coloré, en 1505 ; toujours intact, mais desséché et bruni, en 1913 (reconnaissance canonique), exposé depuis lors dans une urne de cristal. | ||
82. | Bienheureux BERNARD SCAMMACCA, Prêtre dominicain (mort en 1486). Corps incorruptible et parfumé découvert 15 ans après | ||
83. | Bienheureuse JEANNE SCOPELLO, religieuse carmélite (morte en 1491). Cadavre incorrompu et exhalant une odeur suave 6 mois après la mort, toujours incorrompu en 1493 (2 ans). | ||
84. | Bienheureux BERNARDIN TOMITANO DE FELTRE, franciscain (mort en 1494). Corps trouvé parfaitement intact et répandant un parfum exquis, lors de la translation en 1630, toujours très bien conservé en 1811, en 1837 (on coupa le bras et l'avant-bras gauche), et en 1894, desséché mais «plein» (400 ans), à présent exposé dans une urne de cristal. | ||
85. | Bienheureuse ARCANGELA GIRLANI, Carmélite (mort en 1494). Son corps incorruptible est vénéré dans l'église de l'Hôpital de San Lorenzo à Turin. | ||
86. | Bienheureux JACQUES DE PESARO, prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (mort en 1496). Corps retrouvé incorrompu, mais raide et bruni, en 1847 (351 ans), toujours intact et comme momifié, en 1991. | ||
87. | Sainte JEANNE DE VALOIS, fondatrice des Annonciades (morte en 1505). Corps encore intact en 1562, quand il fut brûlé par les huguenots. | ||
88. | Bienheureuse OSANNA ANDREASI DE MANTOUE, tertiaire dominicaine(morte en 1505). Corps incorrompu et frais en 1508, un peu desséché en 1602 (97 ans), en 1686 (183 ans) et en 1699 (196 ans). Corps desséché et noirci en 1991. STIGMATISÉE
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89. | Saint FRANÇOIS DE PAULE, fondateur des Minimes (mort en 1507). Corps souple et parfumé durant une semaine, incorrompu en 1562 (55 ans) et brûlé par les huguenots. | ||
90. | Sainte CATHERINE DE GÊNES (CATERINA FIESCHI ADORNO), tertiaire veuve (morte en 1510). Corps intact et souple en 1512 (18 mois), incorrompu, noirci et desséché en 1991. STIGMATISÉE
INÉDIE |
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91.
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PAUL RENDACE DE PATERNO, prêtre Minime (mort en 1511). Corps intact et flexible, exhalant de suaves parfums pendant 40 jours, toujours incorrompu en 1594, mais desséché et noirci (83 ans). | ||
92.
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Bienheureuse MARGUERITE DE LORRAINE, Clarisse (mort en 1521). Son corps incorruptible, conservé dans le monastère des Clarisses, a été transféré lorsqu'il a été supprimé en l'église de Saint-Germain d'Argentan, mais en 1793 il a été profané et jeté dans la fosse commune. | ||
93. |
MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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94. | JEANNE DE LA CROIX VASQUEZ GUTIEREZ, religieuse franciscaine (morte en 1534). Corps incorrompu et suavement parfumé en 1552 (18 ans). STIGMATISÉE |
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95. |
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96. | Saint ANTOINE-MARIE ZACCARIA, fondateur des Barnabites (mort en 1539). Corps incorrompu en 1566 (27 ans), réduit à l'état de squelette en 1664. | ||
97. |
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98. | Vénérable MARIE-LAURENCE LONGO, fondatrice des Capucines (morte en 1542). Cadavre incorrompu et souple, dégageant une suave odeur de violette, en 1543, et mouvement du bras ; début d'incorruption dans les mois suivants. |
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99. | Bienheureuse LUCIE BROCCADELLI DE NARNI, dominicaine (morte en 1544) Corps intact, souple et parfumé en 1710 (166 ans), plaie du côté humide de sang. STIGMATISÉE
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100. | Bienheureuse CATHERINE DE RACCONIGI (CATHERINE DE MATHEIS), tertiaire dominicaine (morte en 1547). Corps intact, souple et suavement parfumé en 1548 (6 mois). STIGMATISÉE INÉDIE |
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101. | Saint JEAN DE DIEU CIUDAD, fondateur des Hospitaliers (mort en 1550). Corps entier et odorant en 1570 (20 ans), sauf le bout du nez. | ||
102. |
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103. | Vénérable DOMINICA DAL PARADISO (DOMINICA NARDUCCI), tertiaire dominicaine, dominicaine(morte en 1553). Corps incorrompu, souple et frais, parfum suave, en 1748 (195 ans). STIGMATISÉE INÉDIE |
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104. | Saint THOMAS DE VILLENEUVE, o.s.a., archevêque de Valence (mort en 1555). Corps incorrompu en 1582 (27 ans), cendres odorantes quelques années plus tard. | ||
105. | Saint PIERRE D'ALCANTARA, réformateur franciscain (mort en 1562). Corps incorrompu et odorant en 1566 (4 ans), squelette parfumé en 1616. | ||
106. | Saint SALVADOR VON HORTA, franciscain (mort en 1567). |
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107. | Saint STANISLAS KOSTKA, Jésuite (mort en 1568). Corps incorrompu deux après. Il en sortait même quelquefois une odeur si douce, que toute la chapelle en était remplie MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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108. | COSME MUNOZ DE VALLADOLID, prêtre Minime (mort en 1573). Corps incorrompu, répandant un parfum suave, jusqu'en 1612. | ||
109. | Sainte CATHERINE THOMAS, religieuse augustinienne (morte en 1574). Corps parfaitement incorrompu et souple en 1577, toujours intact en 1815 (241 ans). | ||
110. | Bienheureuse MARIE BARTHOLOMÉE BAGNESI, dominicaine (morte en 1577). Son corps incorruptible est vénéré au Carmel Santa Maria degli Angeli (Careggi) de Florence | ||
111. | Sainte THÉRÈSE DE JÉSUS D'AVILA, réformatrice du Carmel(morte en 1582). Corps incorrompu, très odorant, souple, exhalant une huile parfumée en 1583 (8 mois) ; mêmes constatations en 1585, 1586, 1592 (l'émission de baume odorant a cessé), et jusqu'en 1760 (178 ans) ; toujours intact en 1982. STIGMATISÉE MIRACLE EUCHARISTIQUE LÉVITATION |
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112. | Saint BÉNÉZET (mort en 1582). Corps intact en 1669 | ||
113. | Saint CHARLES BORROMÉE, archevêque de Milan (mort en 1584). Corps (embaumé) en grande partie indemne en 1606 (22 ans) et en 1880 (296 ans). | ||
114.
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Sainte CATHERINE DE RICCI, moniale dominicaine(morte en 158..). En partie incorrompue en 1733 (144 ans). STIGMATISÉE |
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115. |
Saint BENOÎT LE MORE, franciscain(mort en 1589). son corps a été retrouvé intact lors de l'exhumation quelques années après sa cannonisation en 1807 |
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116. | MARTIN DE JÉSUS MARIE CROZAT, carme déchaux (mort en 1590). Corps retrouvé incorrompu et parfaitement flexible en 1597 (7 ans). | ||
117. | Saint JEAN DE LA CROIX, réformateur du Carmel (mort en 1591). Corps intact, exhalant une odeur suave, sang coulant d'une plaie, en 1592. Toujours intact en 1859, bien que recouvert de chaux vive (268 ans). | ||
118. | Bienheureux ALPHONSE DE OROZCO, Prêtre Augustinien (mort en 1591). | ||
119. | Saint PASCAL BAYLON, frère laïc franciscain(mort en 1592). Corps intact et répandant une odeur suave, bien qu'inhumé dans la chaux vive; en 1593, puis en 1611 (19 ans). Le jour de l'enterrement de masse pascal Saint, un merveilleux miracle a eu lieu.Pascal ouvrit les yeux, et regarda l'hostie et le calice pendant l'élévation de la messe Il adorait Dieu publiquement, même si il était mort. | ||
120. | Vénérable CATHERINE DU CHRIST BALMASEDA Y SAN MARTIN, carmélite (morte en 1594). Cadavre parfaitement souple et incorrompu en 1597, exhalant une odeur suave et distillant une substance huileuse; même état en 1655, peau brunie ; incorrompu et flexible en 1927 (331 ans), cadavre «cartonné et noirci» en 1981 (387), mais toujours intact, préservation considérée comme dépassant les lois de la nature, parce qu'il n'y a eu ni saponification, ni momification. | ||
121. | Saint PHILIPPE NÉRI fondateur de l'Oratoire (mort en 1594). Corps éviscéré retrouvé intact en 1599, 1602 et 1639 (44 ans). | ||
122. | AUGUSTIN DES ROIS CARRASCO, carme déchaux (mort en 1596). Cadavre retrouvé incorrompu, souple et répandant une odeur suave en 1598, toujours incorrompu mais un peu raidi et la peau brunie, en 1689 (93 ans). | ||
123. | ARCANGELA TARDERA, tertiaire franciscaine (morte en 1599). Corps souple et incorrompu, très odorant, durant 12 jours. STIGMATISÉE |
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124. | MARIA RAGGI, veuve, tertiaire dominicaine (morte en 1600). Incorrompue et exhalant une odeur suave cn 1601 (1 an). STIGMATISÉE |
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125. |
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126.
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STIGMATISÉE
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127. | Sainte GERMAINE COUSIN, bergère (morte en 1601). Corps souple et incorrompu en 1644, en 1661, en 1700 (99 ans), chairs consumées en 1801 après que les révolutionnaires eurent plongé le corps dans la chaux vive. MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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128. | Saint SÉRAPHIN DE NICOLA DE MONTEGRANO, frère laïc capucin (mort en 1604). Corps conservé intact en 1618 (14 ans), réduit à quelques ossements en 1940. | ||
129. | Saint TURIBIO DE MOGROVEJO, archevêque de Lima (mort en 1606). Corps incorrompu et souple en 1607 (1 an), puis en 1622 (16 ans), répandant une odeur suave. | ||
130. | Bienheureux CÉSAR DE BUS, fondateur des Doctxinaires (mort en 1607). Parfaitement souple et incorrompu en 1608 (1 an), intact mais raidi en 1617 (10 ans). | ||
131. | Sainte MARIE-MADELEINE DE PAZZI, moniale carmélite(morte en 1607) Corps souple et intact, répandant un liquide huileux, en 1608 (1 an), toujours incorrompu et souple en 1663 (56 ans). STIGMATISÉE INÉDIE |
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132. | Saint FRANÇOIS CARACCIOLO, fondateur des Clercs Réguliers Minimes (mort en 1608). Corps embaumé, partiellement préservé en 1628 (20 ans). | ||
133. | Saint ANDRÉ AVELLINO, prêtre théatin (mort en 1608) Corps incorrompu et souple en 1609, sang resté fluide (1 an). | ||
134. | ANGÈLE-MARIE-SÉRAPHINE PRAT, réformatrice des Capucines (morte en 1608). Cadavre retrouvé intact et. flexible en 1609, puis en 1615 (7 ans). | ||
135. | Vénérable MARC CRISTOFORI D'AVIANO, prêtre capucin (mort en 1609). Corps retrouvé parfaitement intact et flexible, mais les téguments brunis, en 1703. | ||
136. | Saint CAMILLE DE LELLIS, fondateur des Camilliens. (mort en 1614). Les eaux en crue du Tibre bien qu'ayant réduit son corps à l'état de squelette, son cœur et son pied droit préservés de la corruption son conservés. | ||
137. | Saint BERNARDIN REALINO, prêtre jésuite (mort en 1616). Corps intact, mais desséché, en 24 (8 ans); on détacha les chairs du squelette et on les plaça dans des vases de cristal ; en 1711 (95 ans), lors de la translation des restes, les chairs étaient intactes et baignaient dans du sang frais. | ||
138. |
Sainte ROSE DE LIMA, tertiaire dominicaine (morte en 1617). Corps intact et flexible, répandant une odeur suave, 18 mois après la mort ; incorrompu, mais desséché, et toujours très odorant, en 1630 (13 ans).
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139. | Bienheureuse VICTOIRE FORNARI, fondatrice des Annonciades Célestes (morte en 1617) . Inhumé dans la chaux vive, le corps fut retrouvé parfaitement intact, souple et frais en 1622 ; dans le même état et exhalant un parfum suave en 1632 et 1636; toujours incorrompu et souple en 1829 et 1870 (253 ans). |
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140. | Vénérable MARIA VELA, Cisterciene (morte en 1617) | ||
141. | Vénérable URSULE BENINCASA, fondatrice des religieuses théatines (morte en 1618). Incorrompue, selon IG, mais aucune trace dans les documents officiels, non plus d'ailleurs que des «stigmates». | ||
142. | Vénérable VÉRONIQUE LAPARELLI, moniale cistercienne (morte en 1620). Corps retrouvé parfaitement incorrompu, flexible et frais, les lèvres souples et fermes, le visage très beau, en 1630. | ||
143. | MARIANNE DE JÉSUS, tertiaire franciscaine (morte en 1620). Corps incorrompu en 1624. STIGMATISÉE |
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144. | Saint FRANÇOIS DE SALES, évêque, fondateur de la Visitation (mort en 1622). Corps embaumé, retrouvé intact en 1632 (10 ans), décomposé en 1656. | ||
145. | Saint JOSÉPHAT KUNCIEWICZ, basilien, archevêque de Plock (mort en 1623). Martyrisé, corps jeté à l'eau, intact une semaine plus tard, puis incorrompu en 1637 et 1674 (51 ans). | ||
146. | Bienheureuse MARIE-ANNE DE JÉSUS NAVARRO DE GUEVARA, mercédaire (morte en 1624). Corps parfaitement incorrompu, souple, suavement parfumé, exhalant une essence balsamique d'odeur exquise, en 1731 (107 ans), corps assombri et durci en 1766. | ||
147. | Vénérable ANNE DE SAINT AUGUSTIN DE PEDRUJA, moniale carmélite (morte en 1624). Cadavre retrouvé parfaitement incorrompu et souple, exhalant une odeur suave, en 1628 ; corps toujours intact, mais desséché et bruni, en 1926 (302 ans). | ||
148. | BONAVENTURE GUONA, prêtre Minime (mort en 1630). Cadavre retrouvé incorrompu et souple Il mois après la mort, avec émission de sang frais par les narines et odeur suave; encore incorrompu en 1648. | ||
149. | MADELEINE MORTESKA (morte en 1632), fondatrice des Bénédictines de Culm (Chelmno, Pologne) : Visage intact, corps bien conservé. | ||
150. | Vénérable AGNÈS DE JÉSUS GALAND (AGNÈS DE JÉSUS DE LANGEAC) dominicaine (morte en 1634). Corps intact et suavement parfumé en 1653 (19 ans), corruption progressive des parties découvertes (visage et mains, due sans doute à l'humidité), mais le reste du corps encore intact, desséché, en 1857. STIGMATISÉE INÉDIE |
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151. | Vénérable JEANNE-CHARLOTTE DE BRÉCHARD, visitandine (morte en 1634). Corps intact et souple en 1644, 1645, avec odeur suave, toujours souple et répandant une substance huileuse en 1708 (74 ans), réduit en poussière en 1805. | ||
152. |
Vénérable MÈRE MARIANA DE JÉSUS TORRES , (morte en 1635) En 1906, lors de la rénovation du couvent, le sarcophage dans lequel elle avait été enterré en 1635 a été ouverte et son corps a été découvert, incorrompu. Aujourd'hui, il est conservé dans le niveau inférieur du couvent cloîtré.
LIRE ICI |
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153. | Bienheureux DENYS DE LA NATIVITÉ BERTHELOT, carme martyr à Goa (mort en 1638). Cadavre resté intact, souple et frais durant 7 mois, malgré immersion dans la mer et abandon sur le sable (pour provoquer la corruption), environné durant les premiers jours de lumières éclatantes. | ||
154. | Saint MARTIN DE PORRÈS, dominicain (mort en 1639) Lorsque son corps fut exposé il dégagea effectivement une odeur céleste qui pénétrait les âmes de joie spirituelle |
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155. | ONOFRIO DE FIAMENGA, frère laïc franciscain,, (mort en 1639). Corps souple et incorrompu, plaie du côté encore fraîche, en 1653 (14 ans). STIGMATISÉ
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156. | Sainte JACINTHE MARESCOTTI, tertiaire franciscaine régulière (morte en 1640). Corps incorrompu, exposé à la vénération des fidèles dans une châsse vitrée, dès 1726 (béatification), toujours intact, mais desséché et noirci. STIGMATISÉE
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157. | Sainte JEANNE DE LESTONNAC, religieuse ignatienne (morte en 1640). | ||
158. | Sainte JEANNE-FRANÇOISE DE CHANTAL, fondatrice de la Visitation (morte en 1641). | ||
159. | DELIZIA DE GIOVANNI dominicaine, (morte en 1642). Corps intact, souple et suavement parfumé en 1643 (1 an). STIGMATISÉE |
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160. | Saint JOSEPH CALASANZ, fondateur des Scolopes (mort en 1648) Cœur et langue conservés souples et frais durant plusieurs années après la mort. | ||
161. | FRANÇOIS DE LA CONCEPTION DE BAEZA, carme déchaux (mort en 1649). Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1663 (14 ans). | ||
162. | Bienheureuse VIRGINIE CENTURIONE, fondatrice des Filles de Notre-Dame au Calvaire (morte en 1651). Corps retrouvé parfaitement intact, souple et flexible, en 1801 (150 ans), puis en 1803 (on peut le mouvoir et le laver plusieurs fois), toujours intact, mais raidi, en 1910 (259 ans). | ||
163. | Vénérable MARIE-FRANÇOISE FARNÈSE, clarisse (morte en 1651) Corps incorrompu en 1653, mais décomposé quelques années plus tard. | ||
164. | MARIE CHIALLI, tertiaire Servite de Marie (morte en 1651). Cadavre retrouvé intact et flexible en 1654, lors de la translation canonique. | ||
165. | Saint PIERRE CLAVER, prêtre jésuite (mort en 1654). Corps flexible et incorrompu, parfumé, durant dix jours, intact en 1657 (3 ans). | ||
166. | Vénérable CÉCILE NOBILI, clarisse (morte en 1655). Corps intact et souple en 1665, toujours intact mais desséché en 1712, 1825 et 1946 (ultime reconnaissance canonique). STIGMATISÉE |
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167. | Saint ANDRÉ BOBOLA, prêtre jésuite martyr (mort en 1657). Corps parfaitement incorrompu et souple, plaies encore humides de sang, en 1701, puis en 1730 (73 ans). | ||
168. | MARGUERITE-MARIE DES ANGES VAN VALKENISSEN, carmélite (morte en 1658). Corps incorrompu et desséché en 1663, suintant depuis la mort une substance huileuse. STIGMATISÉE
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169. | Sainte LOUISE DE MARILLAC, Fonde les Filles de la Charité (morte en 1660) |
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170. | MARIE DE LA SAINTE TRINITÉ, moniale dominicaine (morte en 1660) Corps incorrompu et souple en 1662 (2 ans). STIGMATISÉE |
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171. | Saint VINCENT DE PAUL, fondateur des Lazaristes (mort en 1660). Corps intact, sauf les yeux et le nez, en 1712 (42 ans), squelette seul en 1737, chair réduite en cendres odorantes. |
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172. | ROSANNA BATTISTA DE GROTTAGLIA, clarisse (morte en 1663). Corps incorrompu et flexible quelques années après la mort. STIGMATISÉE
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173. | SAINT JOSEPH DE CUPERTINO, prêtre franciscain (mort en 1663) LÉVITATION |
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174. |
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175.
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Bienheureuse MARIE-ANGÈLE ASTORCH, moniale capucine (morte en 1665). Corps conservé intact, les yeux pleins et brillants, en 1683 et en 1725, corps toujours incorrompu en 1867, mais desséché (202 ans), profané en 1936 durant la guerre civile espagnole. |
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176.
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Saint CHARLES DE SEZZE MACCHIONE, franciscain (mort en 1670) STIGMATISÉ |
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177.
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178.
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Sainte MARGUERITE-MARIE ALACOQUE, Religeuse, morte en 1690 |
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179.
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Mère URSULA-MICAELA MORATA GARIBALDO, franciscaine (morte en 1703) |
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180.
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MARCELLINE PAUPER, religieuse de Saint-Gildard de Nevers (morte en 1708). Corps incorrompu en 1709 (1 an). STIGMATISÉE
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181.
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Bienheureux BONAVENTURE LANVANGA DE POTENZA, franciscain conventuel (mort en 1711). Corps retrouvé parfaitement intact et souple, répandant une odeur suave, en 1740. |
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182.
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MARIE ARCANGELA BIONDINI, moniale Serviteur de Marie (morte en 1712). Cadavre retrouvé frais et incorrompu en 1725. STIGMATISÉE
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183. | Saint JOSEPH MARIE TOMASI prêtre de l'Ordre des Clercs Réguliers Théatins et cardinal (mort en 1713). | ||
184. | Vénérable BENOÎTE RENCUREL, tertiaire dominicaine, voyante du Laus (morte en 1718). Corps intact et frais en 1788 (70 ans), saignant à partir d'une blessure accidentelle ; toujours intact en 1819, mais «affaissé», décomposé en 1854. STIGMATES
INEDIE
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185. | Vénérable ANTONIA MARIA BELLONI, religieuse franciscaine (morte en 1719). Corps retrouvé intact en 1738 (19 ans), état de décomposition avancée en 1743. | ||
186. | JEAN-BAPTISTE DE LAVEYNE, o.s.b., fondateur des Sœurs de Nevers (mort en 1719). Corps intact lors de l'exhumation canonique, «peu avant la Révolution», squelette seul en 1870. |
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187. | Saint PACIFIQUE DIVINI DE SAN SEVERINO, franciscain (mort en 1721). Corps parfaitement incorrompu et souple, répandant une odeur suave, répandant du sang frais d'une blessure faite accidentellement, en 1725 (4 ans). | ||
188.
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FRANÇOIS DUTRONCHET, prêtre de Saint Bonaventure, (mort en 1726) STIGMATISE
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189. |
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190. |
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191. | Sainte LUCIE FILLIPINI, fondatrice des Maîtresses Pies (morte en 1732). Corps souple et intact en 1748 (16 ans), toujours incorrompu, mais desséché en 1991. MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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192. | RAYMOND RECROSIO BARNABITE, évêque de Nice (mort en 1732). Cadavre intact et parfaitement flexible en 1633, lors de la translation des restes. | ||
193. |
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194. | Bienheureux PIERRE VIGNE, prêtre fondateur des Sœurs du Saint Sacrement (mort en 1740). Cadavre resté parfaitement intact et souple, frais, le teint vermeil, répandant une odeur exquise, durant quatre jours après la mort, malgré des conditions atmosphériques néfastes (canicule orageuse) et le transfert du corps du lieu de la mort au lieu de sépulture (plusieurs dizaines de kilomètres). |
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195. | Bienheureuse CRESCENCE HOSS, moniale franciscaine(morte en 1744). Corps retrouvé parfaitement souple et intact, le teint frais, 6 mois après la mort. STIGMATISÉE
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196. | EUSTACHE ENTRERI, évêque de Nicastro (mort en 1745) Corps retrouvé parfaitement incorrompu en 1748 (3 ans). | ||
197. | Vénérable CÉSAR SPORTELLI, prêtre rédemptoriste (mort en 1750). Cadavre parfaitement intact et souple en 1753 (3 ans). | ||
198. | Saint LÉONARD DE PORT MAURICE, prêtre franciscain (mort en 1751). Corps incorrompu quelque temps après la mort (?). | ||
199. | Vénérable DOMINIQUE BLASUCCI, clerc rédemptoriste (mort en 1752). Corps parfaitement incorrompu et souple, répandant un sang vif, 20 jours après la mort. | ||
200. | Vénérable MARIE-CÉLESTE CROSTAROSA, fondatrice des Rédemptoristines (morte en 1755). Corps parfaitement intact et souple, avec émissions de sang en 1785, 1788, légères traces de moisissure en 1830 et brunissement de la peau (185 ans). |
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201. | Sainte THÉRÈSE MARGUERITE DU SACRÉ-CŒUR, Carmélite (morte en 1770) Son corps repose dans le monastère de Florence |
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202. | Saint IGNACIO SAN LACONI, Capucin (mort en 1781) |
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203. |
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204. |
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205. | Sainte JULIE BILLIART, fondatrice des Sœurs de Notre-Dame de Namur (morte en 1816) Corps incorrompu et flexible, suintement d'un liquide huileux en 1817 (15 mois), squelette seul subsistant en 1842. | ||
206. |
Bienheureuse ANNE-CATHERINE EMMERICK, moniale augustinienne (morte en 1824). Intacte, souple et fraîche cinq semaines après la mort, premiers signes de putréfaction six semaines après la mort, squelette toujours parfaitement intact en 1974.
STIGMATISÉE
INEDIE
AGRYPNIE
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207. | ÉLISABETH CANORI-MORA, séculière, tertiaire trinitaire (morte en 1825). Corps incorrompu et souple, «joues un peu flétries», sang vif jaillissant de la bouche en 1834 (9 ans). STIGMATISÉE
LIRE ICI |
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208. | Vénérable MARIE-CHRISTINE DE SAVOIE, reine des Deux-Siciles (morte en 1836). Corps parfaitement intact en 1853, puis 1859 (23 ans) | ||
209. |
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210. |
Bienheureux STEFANO BELLESINI, Prêtre (morte en 1840). Son corps incorrompu se trouve au Sanctuaire Genazzano |
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211. | Vénérable LIBRADA (Libérate) Ferrarons, tertiaire du Carmel (morte en 1842). Corps retrouvé incorrompu, souple et exhalant une odeur suave, en 1847. | ||
212. | VICTOIRE-FRANÇOISE BRIELLE, jeune fille laïque (morte en 1847). Cadavre parfaitement intact et souple en 1865. | ||
213. | BLAISE MARMOITON, religieux de la Société de Marie, martyr (mort en 1847).Corps et tête (séparés) intacts et répandant une odeur suave, malgré immersion dans l'eau durant plusieurs jours. | ||
214. | Sainte VINCENTE GEROSA, cofondatrice des Sœurs de Charité de Lovere (morte en 1847). Corps retrouvé incorrompu, souple et frais en 1858, puis en 1871 (24 ans). | ||
215. | Vénérable ANTOINE PENNACCHI, prêtre séculier STIGMATISÉ (mort en 1848). Cadavre incorrompu, souple et répandant du sang 18 jours après le décès; faits sub secreto depuis lors (cas probable de stigmatisation, avec plaie du côté apparente). | ||
216. | Bienheureux DOMINIQUE DE LA MÈRE DE DIEU, né DOMINIQUE BARBERI Prêtre passioniste (Mort en 1849) | ||
217. |
Saint VINCENT PALLOTTI, prêtre fondateur de l'Apostolat Catholique (mort en 1850). Corps intact et souple en 1857, noirci et momifié en 1950. LÉVITATION |
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218. | Bienheureuse ANNE-MARIE JAVOUHEY, fondatrice des Sœurs de Saint-Joseph de Cluny (morte en 1851). Corps incorrompu et flexible en 1911 (60 ans). | ||
219. |
Sainte ROSE PHILIPPINE DUCHESNE, religieuse Société du Sacré-Coeur (morte en 1852). Le corps intact de ROSE PHILIPPINE DUCHESNE repose dans la chapelle de l'académie Périer à Saint Charles (Missouri). |
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220. | Sainte JOAQUINA DE VEDRUNA, fondatrice des Carmélites de la Charité (morte en 1854). Cadavre intact et souple en 1923 (69 ans). | ||
221. |
Sainte MARIE CRUCIFIÉE DE ROSE, Fonde la Congrégation des Ancelles de la Charité (morte en 1855) |
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222. | Bienheureux LAURENT DE SAINT-FRANÇOIS-XAVIER SALVI, prêtre, passionniste (mort en 1856). Cadavre intact et souple, peau flexible, teint coloré, 10 mois après la mort. Réduit à l'état de squelette en 1892. | ||
223. | PAUL PACKENHAM, prêtre passionniste (mort en 1857). Corps parfaitement incorrompu en 1894 (37 ans). | ||
224. |
Saint JEAN-MARIE VIANNEY, curé d'Ars (mort en 1857). Corps incorrompu, légèrement desséché, teint bruni, en 1904 (47 ans). LIRE ICI |
||
225. | Vénérable NIMATULLAH AL-HARDINY, prêtre de l'Ordre Maronite du Liban (mort en 1858). Corps retrouvé parfaitement intact en 1914, 1923, 1924, 1927, se desséchant peu à peu. | ||
226. | Saint JOHN NÉPOMUCÈNE NEUMANN, Prêtre Rédemptoriste, Evêque, mort en 1860 |
||
227. | ANNE-MARIE FIORELLI-LAPINI, fondatrice des Sœurs des Saints-Stigmates (morte en 1860). Corps intact et souple en 1863 (3 ans). | ||
228.
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Vénérable MARIA AGNÈS CLAIRE DU SACRÉ CÔTÉ DE JÉSUS (THÉRÈSE CHIARA STEINER) clarisse, marques aux mains, (morte en 1862) STIGMATISÉE LIRE ICI |
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229. | FRANÇOIS-MARIE GIUSTI DE COLLODI, franciscain (mort en 1863). Corps conservé intact, souple et frais, exhalant des parfums suaves durant 18 jours après sa mort. | ||
230. | Vénérable PHILOMÈNE-JEANNE GÉNOVÈSE, tertiaire franciscaine (morte en 1864). Cadavre intact, flexible et frais durant un mois après le décès, retrouvé incorrompu et souple en 1885 (21 ans), réinhumé, actuellement les faits restent sub secreto. | ||
231. |
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232. | Sainte MARIE DE SAINTE-EUPHRASIE PELLETTIER, fondatrice du Bon-Pasteur (morte en 1868). Corps intact en 1903, suite à un processus de saponification (35 ans). | ||
233. |
Saint PIERRE-JULIEN EYMARD, fondateur des prêtres du Très Saint Sacrement (mort en 1868). Corps intact, mais desséché et noirci, en 1876 (8 ans). |
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234. | PAULINE DE NICOLAY, tertiaire franciscaine(morte en 1868). STIGMATISÉE
Corps parfaitement intact, souple et frais lors de l'exhumation, six mois après la mort.
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235. | Vénérable PHILOMÈNE FERRER DE SAINTE-COLOMBE, religieuse Minime (morte en 1868). Corps retrouvé intact, souple et frais, en 1869, 1879 et 1880 (12 ans). |
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236. | MARIE-DOMINIQUE BRUN BARBANTINI, fondatrice des Sœurs Ministres des Infirmes (morte en 1868). Corps retrouvé parfaitement intact et souple en 1898 (30 ans), toujours intact, mais desséché en 1928 (60 ans), totalement corrompu en 1979. | ||
237. |
Sainte NARCISA DE JÉSUS MARTILLO MORAN, séculière (morte en 1869). Corps resté intact, souple et frais, exhalant une odeur suave durant plus d'une semaine après la mort, retrouvé dans le même état en 1916 (37 ans). |
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238. | JOSÉPHINE FARO, jeune fille séculière (morte en 1871). Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1872, toujours intact, légèrement raidi mais exhalant des parfums suaves en 1896 (25 ans). | ||
239.
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BARBARA DE SANTO DOMINGO JURADO Y ANTUNEZ, dominicaine, plaies aux mains, pieds, côté et couronne dépines, (morte en 1872) STIGMATISÉE | ||
240. |
Sainte CATHERINE LABOURÉ, Fille de la Charité (morte en 1876). Corps parfaitement intact et souple en 1933 (56 ans). MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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241. | Sainte BERNADETTE SOUBIROUS, religieuse de Saint-Gildard de Nevers (morte en 1879). Corps parfaitement intact, visage légèrement assombri en 1909 (30 ans). MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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242. | Sainte MARIE-JOSEPHE ROSSSELLO, fondatrice des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde (morte en 1880). Corps retrouvé intact en 1917 (37 ans). | ||
243. |
Sainte MARIE-DOMINIQUE MAZZARELLO, Fondatrice des filles de Marie Auxiliatrice (morte en 1881). |
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244. |
Bienheureuse PAULA FRASSINETTI, Fondatrice de la congrégation Sainte Dorotée (morte en 1882). Corps a été retrouvé incorrruptible à en 1906 |
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245. | Bienheureuse MERCÉDÈS DE JÉSUS MOLINA, fondatrice des Sœurs de la Bienheureuse Marianne de Jésus (morte en 1883).Corps retrouvé souple et intact en 1884, resta exposé en cet état sans changement jusqu'en 1904, puis fut réinhumé canoniquement. Réduit à l'état de squelette en 1948. | ||
246.
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Vénérable LOUISE LATEAU, tertiaire franciscaine, +1883 STIGMATES
INÉDIE |
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247. |
Bienheureuse MARIE DE JESUS DELUIL MARTINY , Fondatrice de la Congrégation des Filles du Cœur de Jésus (morte en 1884) Son corps incorrompu est conservé dans dans une chasse de verre, dans la Basilique du Sacré-Cœur à Berchem |
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248. | MARIA ANTONIA DE SAINT-PIERRE PARIS, fondatrice des religieuses clarétines (morte en 1885). Restée intacte et souple durant un mois après le décès, corps retrouvé intact, mais noirci et desséché en 1920 (35 ans). | ||
249. | Sainte MARIE SOLEDAD TORRÈS ACOSTA, fondatrice des Servantes de Marie Ministres des Infirmes (morte en 1887). Corps intact et souple en 1893 et en 1901 (14 ans). |
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250. |
Saint JEAN BOSCO, (né Giovanni Melchior Bosco), Prêtre, fonde la Congrégation des Saléiens, mort en 1888 MIRACLE EUCHARISTIQUE LIRE ICI |
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251. | Bienheureux FRANÇOIS FAA DI BRUNO- prêtre fondateur des Sœurs de Sainte-Zita (mort en 1888). Corps intact en 1900, réduit à l'état de squelette en 1925. | ||
252. | Sainte VINCENTE LOPEZ VICUNA, fondatrice des Filles de Marie Immaculée (morte en 1890). Corps intact et souple en 1893, toujours intact, mais raidi, en 1898 (18 ans). |
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253. | Bienheureux INNOCENT SCALVINONI DE BENO, capucin (mort en 1890) Cadavre retrouvé parfaitement intact et souple, le visage légèrement bruni, 6 mois après | ||
254. | Bienheureuse MARIE-ANNE SALA,religieuse des «Marcellines» (morte en 1891). Corps retrouvé incorrompu et frais en 1920 (29 ans). | ||
255. | Bienheureux JOSEPH-BENOÎT DUSMET, archevêque o.s.b. de Catane, cardinal (mort en 1894) Corps retrouvé parfaitement incorrompu et souple en 1904. | ||
256. |
Vénérable PÈRE PAUL DE MOLL, prêtre bénédictain (mort en 1896). Le corps du vénérable Paul de Moll a été exhumé en 1899, 3 ans après sa mort, et jugés dans un état parfait de conservation. |
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257. | Vénérable GALILEO NICOLINI, novice passionniste (mort en 1897). Cadavre retrouvé intact et souple en 1899 (2 ans). | ||
258. |
Saint CHARBEL MAKHLOUF, prêtre de l'Ordre Maronite libanais (mort en 1898). Corps intact et souple répandant un liquide séreux, en 1899, toujours intact et suintant en 1950 et 1952 (54 ans). |
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259. | Bienheureuse ROSA MARIA BENEDETTA GATTORNO CUSTO (ANNA ROSA), fondatrice des Filles de Sainte-Anne(morte en 1900). Corps parfaitement intact et souple, frais et moite, en 1932 (32 ans). STIGMATISÉE
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260. | RAPHAËL PETRUCELLI DE SANT'ELIA A PIASINI, prêtre capucin (mort en 1901).Cadavre retrouvé intact, mais bruni et desséché, répandant une odeur suave, en 1936 (35 ans). | ||
261. |
Sainte MARIA GORETTI, martyr, morte en 1902 |
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262. | Bienheureuse GERTRUDE COMENSOLI, fondatrice des Sacramentines (morte en 1903). Corps parfaitement incorrompu et souple en 1908 (5 ans). |
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263. | MARIE-CRUCIFIÉE CAPUTO, co fondatrice des religieuses Baptistines (morte en 1903) Corps parfaitement intact et souple en 1939 (36 ans). | ||
264. |
MÉLANIE CALVAT (morte en 1904) : la voyante de la Salette,. Corps incorrompu et souple à l'exhumation, en 1905.
STIGMATISÉE
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265. | Bienheureuse MARIE ASSUNTA PALLOTTA, franciscaine missionnaire de Marie (morte en 1905). Corps intact et souple en 1913 (8 ans). |
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266. | Vénérable VALENTIN PAQUAY, prêtre franciscain (mort en 1905). Cadavre retrouvé en grande partie intact en 1926, avec amorce d'un processus de momification. | ||
267. | CARL MARIE SCHILLING, prêtre barnabite (mort en 1907) Corps retrouvé intact en 1924, la barbe ayant un peu poussé. | ||
268. | GASPARD GOGGI, prêtre de la Divine Providence (DON GRIONE), (mort en 1908). Corps retrouvé parfaitement intact en 1925 et en 1960 (52 ans). | ||
269. | Bienheureux ARNOLD JANSSEN, fondateur des Missionnaires du Saint-Esprit (mort en 1909). Cadavre intact en 1945, avec amorce d'un processus de momification. | ||
270. | Bienheureuse MARIE SCHININA, fondatrice des Sœurs du Sacré-Cœur (morte en 1910).Corps parfaitement intact et souple en 1913, toujours intact, mais bruni et raidi en 1977 (début d'un processus de momification?). | ||
271. | Bienheureuse THÉRÈSE-MARIE DE LA CROIX MANETTI, fondatrice des Carmélites de Sainte-Thérèse (morte en 1910). Corps retrouvé intact et exhalant un parfum suave, en 1912 (2 ans). LÉVITATION STIGMATISÉE |
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272. | MARIE-LOUISE NERBOLLIERS,«la visionnaire de Diémoz» (morte en 1910). Corps retrouvé parfaitement intact, souple et exhalant une odeur suave, en 1939. STIGMATISÉE |
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273. | Bienheureux BERNARD-MARIE DE JÉSUS SILVESTRELLI, prêtre passionniste (mort en 1911). Corps retrouvé parfaitement incorrompu et flexible en 1931 (20 ans). | ||
274. | Vénérable MARIE DU COEUR DE JÉSUS SANCHO DE GUERRA,fondatrice des Servantes de Jésus (morte en 1912) Corps retrouvé tout à fait intact en 1926, bien qu'ayant été inhumé dans la chaux vive. | ||
275. | JACQUES VIALE, franciscain, curé de Bordighera (mort en 1912). Corps intact, mais en voie de momification, en 1925 (13 ans). | ||
276. | Bienheureuse MARIE DE LA PASSION TARALLO (MARIA GRAZIA TARALLO)religieuse descrucifiées Adoratrices de l’Eucharistie, Cofondatrice des Servantes de Marie Immaculée (morte en 1912) Corps retrouvé intact, mais raidi, exhalant une odeur suave, en 1919. STIGMATISÉE INÉDIE |
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277. | FRANÇOIS SPINELLI, prêtre fondateur des Adoratrices Sacramentouvé parines (mort en 1913). Corps retrfaitement intact et souple en 1924 (11 ans). |
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278. | MARIA BENEDETTA FREY, moniale cistercienne (morte en 1913). Cadavre retrouvé intact, mais desséché et bruni, en 1968 (55 ans). STIGMATISÉE |
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279. | ANDRÉ PRÉVOST, prêtre de la Congrégation du Sacré-Cœur de Jésus (mort en 1913). Corps retrouvé intact et souple en 1936 (23 ans). | ||
280. |
Saint PIE X, Pape, mort en 1914
LIRE ICI |
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281. | Vénérable ADOLPHE PETIT, prêtre jésuite (mort en 1914). Corps retrouvé intact, mais durci et bruni, en 1938 (momification ?). | ||
282. | MARIA ROSA ZANGARA, fondatrice des Filles de la Miséricorde(morte en 1914). Corps parfaitement intact, souple et frais, émettant du sang vif, en 1927 ; dans le même état et avec les mêmes phénomènes en 1964 (50 ans), désormais sub secreto. STIGMATISÉE |
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283. | Sainte FRANÇOISE DE SALLES née LEONIA AVIAT, Sœur Oblate de Saint François de Sales (morte en 1914) Le 11 avril 1961, son corps a été transféré à Troyes, où elle a été enterrée dans la crypte de Saint-Gilles dans la maison mère. À la surprise générale, le corps était entièrement conservé. | ||
284. | FÉMORONATI(morte en 1915), religieuse des Adoratrices Ancelles de la Charité et du Saint-Sacrement Corps toujours incorrompu en 1991. | ||
285. | MARIE-CLAIRE-SÉRAPHINE DE JÉSUS FAROLFI, fondatrice des Clarisses Missionnaires du Très Saint-Sacrement (morte en 1917). Corps retrouvé parfaitement intact et souple en 1936 (19 ans). | ||
286. | Sainte FRANÇOISE-XAVIÈRE CABRINI, fondatrice des soeurs missionnaires du Sacré-Coeur. (morte en 1917). Son corps transporté à New-York, dans la chapelle de l'école qui porte son nom. ses restes sont encore vénérés. |
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287. |
Corps retrouvé parfaitement intact répandant une odeur suave, en 1935 et 1950. MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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288. |
Bienheureuse MARIA MARGARET CAIANI, Fondatrice de la Congrégation du Coeur-Sacré faible (morte en 1921). |
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289. | Sainte BERTILLE BOSCARDIN, religieuse des Sœurs de Sainte-Dorothée (morte en 1922). Corps intact et souple, frais et morbide en 1937 (15 ans), décomposé en 1952. | ||
290. | ADRIEN OSMOLOWSKI, prêtre franciscain (mort en 1924). Cadavre retrouvé intact lors de la translation en 1950. | ||
291. |
Bienheureux PIER GIORGIO FRASSATI, laïc (mort en 1925). Corps parfaitement intact, souple et répandant une odeur suave, en 1981 (56 ans). |
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292. | Vénérable MARGARET DES CINQ PLAIES DE JÉSUS SINCLAIR, clarisse (morte en 1925). Corps retrouvé intact et flexible en 1927. | ||
293. |
Saint ANNIBALE MARIA DI FRANCIA, Prêtre fondateur de la congrégation des Rogationistes du Coeur de Jésus et des filles du divin zèle (mort en 1927). |
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294. | MARIE DE JÉSUS LANDI, tertiaire franciscaine (morte en 1931). Cadavre toujours intact, souple et répandant une odeur suave, en 1932 ; les faits ultérieurs sont tenus sub secreto. STIGMATISÉE |
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295. | CAROLINE BELTRAMI, fondatrice des religieuses Immaculatines (morte en 1932). Corps retrouvé intact en 1944 (12 ans). | ||
296. |
Sainte ANGÈLE DE LA CROIX, Carmélite, fondatrice de l'Institut des Soeurs de la Compagnie de la Croix, morte en 1932 |
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297. |
Vénerable MARIA CRESCENCIA PEREZ Religieuse Notre Dame du Jardin (morte en 1932). Corps retrouvé incorrompu en 1983. |
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298. | ANFROSINA BERARDI, fillette décédée à 13 ans (morte en 1933). Corps retrouvé intact, flexible et suavement parfumé en 1950. INÉDIE |
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299. | MARIE-THÉRÈSE DE JÉSUS CORTIMILIA, fondatrice des Sœurs de Sainte-Claire (morte en 1934) Corps retrouvé intact en 1949 (15 ans) ; faits ultérieurs sub secreto. STIGMATISÉE |
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300. | ANDRÉ-HYACINTHE LONGHIN, capucin, évêque de Trevi (mort en 1936). Corps retrouvé intact en 1984 (48 ans), mais en partie momifié. | ||
301. | IGNACE CASANOVAS PERAMONS, religieux scolope martyr (mort en 1936). Cadavre retrouvé parfaitement intact, les blessures encore humides de sang en 1948. | ||
302. | MARIE-ROSE FERRON, séculière(morte en 1936). Retrouvée parfaitement incorrompue, souple et exhalant une odeur suave, en 1947. Le fait a été démenti et a donné lieu à une vrolente polémique, mais les témoignages semblent inattaquables. STIGMATISÉE INÉDIE |
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303. | Vénérable ESTER MORICONI, Augustine des l'Oblats de Sainte-Marie,(morte en 1937) STIGMATISÉE |
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304. | Vénérable MARIE CONCEPTION CABRERA ARMIDA, veuve, fondatrice (morte en 1937). Corps en partie intact en 1962 ; les faits ultérieurs sont sub secreto. LIRE ICI |
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305. | Bienheureux STEPHEN NEHME,maronite (mort en 1938). Son corps incorruptible se trouve dans le monastère des Saints. Cyprian and Justina. | ||
306. |
Saint RAPHAËL GUIZAR VALENCIA, Evêque de Veracruz au Mexique(morte en 1938) L'exhumation du corps en 1950 le trouve incorruptible. Il est tranféré à Capilla de Santa Teodora en la Catedral de Xalapa. |
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307. | Sainte URSULA LEDOCHOWSKA, Fondatrice de la Congrégation des Ursulines du Coeur de Jésus Agonisant(morte en 1939) Son corps incorruptible a été transféré à la Maison-Mère de Pniewy en Pologne | ||
308. | Bienheureuse MARIE GABRIELLA SAGGHEDDU, moniale trappistine (morte en 1939). Corps intact et souple en 1957, décomposé en 1975, sauf les avant-bras et les mains jointes dans l'attitude de la prière. | ||
309. | Mère THÉRÈSE DE JÉSUS LINDENBERG (morte en 1939) | ||
310. | JEAN NADIANI, religieux du Très Saint-Sacrement (mort en 1940). Corps parfaitement conservé, mais desséché, en 1988. | ||
311. |
Saint LUIGI ORIONE, Prêtre fondateur des Ermites de la Divine Providence (mort en 1940) Corps, retrouvé intact lors de la première exhumation en 1965, a été mis en honneur dans le sanctuaire de Notre-Dame de la Garde de Tortona |
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312. | Bienheureuse MÈRE MARIA ALVARADO DE SAN JOSÉ, Fonde la congrégation des Augustins Récollets (morte en 1940) lors de l'exhumation de 1994, le corps a été découvert intactau milieu du cercueil de bois totalement détruit par l'humidité du sous-sol, ainsi que son habit religieux et la croix de bois en parfait état. Les feuilles du bouquet de lys étaient encore vertes. | ||
313. | MARIE AMPARO DU SACRÉ-COEUR DELGADO, clarisse (morte en 1941).Corps retrouvé intact en 1946 ; les faits sont sub secreto. | ||
314. | Saint LÉOPOLD MANDIC DE CASTELNUOVO, prêtre capucin (mort en 1942). Corps retrouvé incorrompu et légèrement momifié, en 1963 (21 ans). | ||
315. | Bienheureuse NAZARIA IGNATIA MARCH ESA, Fondatrice des missionnairesde l'Eglise (morte en 1943) En 1972. son corps incorruptible a été transféré à Oruro | ||
316. | MARIE-JOSEPHE GIACCOBINI, moniale dominicaine (morte en 1944). Corps intact et souple lors de la translation des restes, en 1961 (17 ans) ; les faits sont à présent sub secreto. | ||
317. | Vénérable FRANÇOIS CHIESA, prêtre séculier (mort en 1946). Corps intact lors de la translation des restes, en 1960 (14 ans) ; les faits sont à présent sub secreto. | ||
318. | Vénérable ALBERTO MARVELLI, jeune homme séculier (mort en 1946) Corps retrouvé parfaitement intact et souple lors de la translation des restes, en 1974 (28 ans). | ||
319. |
Vénérable JOSÉPHINE BAKHITA, religieuse canossienne d'origine soudanaise (morte en 1947). Corps intact, souple et frais, lors de la translation des restes en 1967 (20 ans). |
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320. |
Bienheureuse MARIE-JOSÉPHINE DE JÉSUS-CRUCIFIÉ CATANEA, carmélite (morte en 1948). Corps resté intact, souple et suavement parfumé durant plus d'un mois, retrouvé incorrompu quelques années plus tard ; les faits sont désormais sub secreto. LÉVITATION |
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321. | JOACHIM-MARIE STEVAN, professe Serviteur de Marie (mort en 1949) Corps retrouvé parfaitement incorrompu en 1959, puis en 1961 lors de la recognition canonique des restes (12 ans). | ||
322. | LÉONIEVAN DEN DIJCK, mère de famille, visionnaire d'Onkerzele (morte en 1949). Corps retrouvé intact lors de l'exhumation en 1972 (23 ans). | ||
323. | ANNA HENLE, séculière (morte en 1950). Corps retrouvé incorrompu et flexible en 1977 ; les faits sont sub secreta. |
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324. | JOSÉFA CAMPOS TALAMANTES, fondatrice des Catéchistes de Notre-Dame des Douleurs (morte en 1950). Corps retrouvé parfaitement intact en 1955 | ||
325. |
YVONNE-AIMÉE DE MALESTROIT, augustine hospitalière, résistante décorée par de Gaulle (morte le 3 février 1951). STIGMATISÉE
AGRYPNIE : le plus souvent un quart d'heure
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326. | Bienheureux ALFRED ILDEPHONSE SCHUSTER, archevêque o.s.b. de Milan et cardinal (mort en 1954). Corps retrouvé parfaitement incorrompu en 1985 lors de l'exhumation canonique ; soumis à un traitement conservateur après la mort, mais le fait a été retenu comme exceptionnel. Son corps, ayant débuté son processus de décomposition avant son inhumation, fut retrouvé parfaitement intact en 1957. |
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327. | Vénérable ITALA MELA, oblate bénédictine (morte en 1957). Corps retrouvé parfaitement intact en 1983, processus de saponification. | ||
328. | Vénérable SOLANUS CASEY, prêtre francicain (mort en 1957). Lors de son exhumation en 1987 (30 ans après sa mort) les frères de son ordre présents constatent l'incorruptibilité de son corps et disent que la couleur de ses yeux pouvait être vue | ||
329. |
Bienheureux ALOÏS STEPINAC, Prêtre, (mort en 1960), Corps incorrompu, conservé et vénéré en la Cathédrale de Zagreb |
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330. |
Saint GEORGES PRECA, né Francis Anthony Postillo , Prêtre, tiers ordre carmélitain Fondateur de la Société de la Doctrine chrétienne, mort en 1962 |
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331. |
Saint GAÉTANO CATANOSO, Prêtre fondateur de la Congrégation des Soeurs véronique de la Sainte Face (mort en 1963) |
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332. | Bienheureuse JOSAPHATA MYKHAILYNA HORDASHEVSKA, Fondatrice uktainienne greco-catholique de l'ordre Basilien (morte en 1963) Corps conservé et transféré en 1982 à la Mère des Sœurs Servantesde Rome | ||
333. | Vénérable MONICA DE JÉSUS CORNAGO ZAPATER, moniale augustine récolette (morte en 1964). Corps retrouvé intact, mais desséché et bruni, en 1967 (momification ?). | ||
334. | Bienheureuse MARIA ALVARADO DE SAN JOSÉ, Augustine Récollet , (morte en 1967), L'exhumation en 1994 trouver son corps incorrompu, au milieu de la destruction presque totale de l'urne en bois et l'humidité du sous-sol. Son corps intact, son habit religieux en parfait état, de même la croix de bois et le bouquet de lys dont les feuilles sont encore vertes. | ||
335. |
Saint PADRE PIO, prêtre capucin (mort en 1968), retrouvé intact en 2008. STIGMATISÉ INÉDIE AGRYPNIE : trois heures de sommeil quotidien
LIRE ICI |
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336. | Bienheureux VASYL VELYCHKOVSKY, évêque (mort en 1973. En 2001, on exhuma son corps, qui apparut intact, sans trace de corruption, et fut installé dans l’église SAINT-JOSEPH DE WINNIPEG (Canada) LIRE ICI |
LA MORT BIOLOGIQUE
[...]Enfin arrive la mort biologique qui suit avec l'explosion des cellules et des tissus, la liquéfaction, la putréfaction avec émission de méthane et d'odeurs nauséabondes, enfin les chairs qui se détachent des os. Mais ceci ne se produit pas toujours et ne résout pas encore les problèmes des corps incorruptibles, myroblytes, des cadavres parfumés, etc. Ils ont été étudiés en particulier par le Dr. Larcher dans La mémoire du soleil (Désiris, 1990).
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Docteur en Médecine et Licencié en philosophie, Il était l'un des plus fameux chercheurs en parapsychologie du moment et (entre autre) un des fondateurs de la Société de Thanatologie en 1966 (1).
De sa soutenance de doctorat en 1951 à propos de l' «Introduction à l'étude de l'adaptation à la mort fonctionnelle», Hubert LARCHER publia en 1957 un ouvrage intitulé «Le sang peut-il vaincre la mort ?» aux Editions Gallimard réédité en 1990 sous le titre «La mémoire du soleil, aux frontières de la mort» ( Editions Désiris).
Directeur de l'Institut Métapsychique International (IMI) de 1977 à 1995, il contribua de par ses connaissances multiples dans des domaines aussi variés que complexes tels que la métapsychique, la théologie ou encore la psychologie, au développement de l'Institut à travers le monde.
La communication la plus surprenante qu'il fit et qui intéressa le thanatopracteur un peu curieux sur le devenir de certains corps est relatée dans la Revue Métapshychique de Mars-Avril 1954 sur trois cas extraordinaires d'incorruption de la chair.
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LE CAS SAINTE THERESE D'AVILA DE AHUMADA
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L'illustre Médecin relate le cas de Thérèse d'Avila De Ahumada inhumée en 1515 en odeur de sainteté, entendez par là que son corps exhalait des odeurs «suaves» de lys, de jasmin et de violette.
En 1598, on avait érigé un monument de pierre sur l'emplacement de la sépulture primitive, le corps fut déposé dans une châsse splendide donnée par la Duchesse d'Albe et l'on grava sur la pierre une inscription où l'on pouvait lire «...Sous ce marbre repose, non sa cendre, mais sa chair flexible, incorruptible dont le parfum très suave est le signe merveilleux de sa gloire».
Exhumée par onze fois dans le but de constater son état de conservation entre 1515 et octobre 1952 , on constatat que le temps n'avait eu aucune emprise sur son corps.
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Elle mourut dans la nuit du 4 au 15 octobre 1582, quand l'Espagne et le monde catholique basculèrent du calendrier julien au calendrier grégorien. Sa dépouille fut enterrée dans le couvent de l'Annonciation de la ville, une main ayant été sectionnée et conservée dans un reliquaire d'Avila (le père Gracián en coupa le petit doigt).
Les bollandistes et ses historiens en témoignent : «L'odeur que l'on avait déjà remarquée à diverses reprises durant sa vie, beaucoup plus pénétrante pendant sa dernière maladie, le devint encore davantage après sa mort, si bien que les religieuses durent laisser la nuit entière la porte et la fenêtre ouvertes malgré la saison. Le lis, le jasmin, la violette, semblaient avoir uni leurs plus suaves senteurs dans cet arôme auquel rien ne pourrait être comparé. ». La foule remarqua tout de suite le parfum merveilleux qui émanait de Thérèse pendant le transport du corps sur un brancard. Le corps fut déposé sans être embaumé dans un cercueil de bois. Il fut descendu dans une fosse très profonde recouverte d'une grande quantité de pierres, de chaux, de terre humide et d'une pierre sépulcrale. Pendant les neuf mois qui suivirent les obsèques, le parfum, traversant l'épaisse couche de pierres et de terre sous laquelle reposait le corps.
Le 1er janvier 1586, les religieuse se rendîrent au monastère des Carmélites et ouvrirent la châsse ... Elles considératent la sainte très attentivement. Son corps était entier, intact, et d'une odeur céleste. Les os étaient si bien joints, les nerfs si bien liés les uns avec les autres, qu'il se tenait debout à l'aide du moindre appui. La chair était si souple, si tendre, si flexible, qu'elle s'abaissait quand on y mettait le doigt, puis se relevait comme si la sainte Mère eût été en vie ; et, bien qu'elle eût conservé son embonpoint, le poids du corps était léger comme celui d'un enfant de deux ans. » Les historiens de la sainte insistent tous sur la suavité de l'odeur que répand son cadavre, sur la fraîcheur des chairs qui semblent encore en vie. En 1598, un monument de pierre fut érigé sur l'emplacement de la sépulture primitive. Le corps de sainte Thérèse fut transféré dans une somptueuse châsse offerte par la duchesse d'Albe. A son exhumation le 25 novembre 1585, découverte incorrompue alors que les vêtements avaient pourri, on y laissa un bras et le reste du corps fut envoyé à Avila, dans la salle du chapitre du couvent de Saint-Joseph. Le transfert se fit un samedi du mois de novembre de 1585, presque en secret. Les religieuses du couvent d'Alba de Tormes demandèrent à conserver un bras comme relique. Quand le duc d'Alba se rendit compte du transfert, il se plaignit à Rome et entama des négociations pour le récupérer. Le corps fut renvoyé à nouveau à Alba de Tormes, par ordre papal (1586). En 1598, un sépulcre fut édifié. On y transféra son corps, toujours intact, dans une nouvelle chapelle en 1616, puis en 1670, dans une chasse d'argent. Après ces événements, on ne fit plus d'autres atteintes à ses restes. Ils sont désormais dans plusieurs endroits :
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Deuxième cas d'incorruption de la chair et autre époque, le cas du Moine Maronite Youssef Makhlouf décédé le 24 décembre 1898 dans un ermitage du Monastère de Saint Maron à Anaya au Liban et qui fut placé dans une tombe recouverte d'une pierre «dans laquelle se déversait l'eau de pluie pénétrant de la terrasse et qui fit de la tombe du moine un véritable bourbier».
A l'ouverture du tombeau il fut permis de constater que le corps du Père Charbel Youssef Maklouf, «débarrassé de la moisissure qui le recouvrait se trouvait intact dans tous ses membres, la peau gardait sa fraîcheur et dont un sang bien rouge mêlé d'eau coula de son côté» et ce près de 52 ans après son décès.
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Nous n'évoquerons pas ici le cas, célèbre, et étudié en détail par le Dr Larcher en son ouvrage «Le sang vaincra-t-il la mort ?» De sainte Thérèse d'Avila, dont le corps imputrescible exhale une pénétrante odeur de violette, d'iris et de lys ; mais nous aborderons maintenant un fait que nous pourrions assimiler à la préservation du corps de saint Amadour, nous voulons parler du cas de Youssel Makhlouf, en religion le Père Charbel, moine maronite né en 1828, à Bika Kafra dans le nord du Liban. Il mourut le 24 décembre 1898, dans le nord du Liban, dans un ermitage dépendant du monastère de Saint-Maron, à Annaya, il avait soixante-dix-huit ans.
Son corps fut déposé dans une tombe touchant l'église. Cette dernière avait une sorte de marche élevée de vingt-cinq centimètres. C'est là que le moine dormit de son dernier sommeil.
La tombe étant située plus bas que le niveau du sol, l'eau y pénétrait lors des pluies violentes qui s'abattaient sur la région. Elle fut fermée par une grosse pierre que l'on recouvrit de terre.
Or la nuit suivante, puis quarante-cinq nuits durant, des phénomènes lumineux, visibles à des centaines de mètres à la ronde se manifestèrent au-dessus de cette sépulture.
Ces manifestations insolites poussèrent les moines à ouvrir la tombe du moine, le 15 avril 1899. Cette dernière était alors un véritable bourbier. Le corps du Père Charbel flottait sur cette boue. Débarrassé de la moisissure qui le recouvrait, on découvrit avec stupeur que ce dernier était intact. Les membres toujours flexibles prouvaient que les muscles avaient gardé leur souplesse. La peau gardait sa fraicheur, pas un poil de sa barbe, pas un seul cheveu de sa tête n'était tombé ; la trace de la chaîne de fer, dont l'ermite s'entourait les hanches, était encore bien visible.
Lorsque l'on essuya la moisissure qui avait recouvert ses mains, posées sur sa poitrine, et son visage, un sang bien rouge coula, mêlé d'eau.
Préservé de la corruption, les vêtements du mort furent changés, et la dépouille déposée dans un cercueil vitré, placé dans un oratoire ; le suintement persista.
En 1900, afin de dessécher le corps, on l'exposa sur la terrasse de l'église pendant six mois. En vain ! Vingt-sept ans durant, le liquide composé de sang et d'eau continua de suinter hors du cadavre.
Les plus hautes autorités médicales admettent aujourd'hui que la définition de la mort légale, reposant sur un arrêt absolu du cœur et de la respiration, était à revoir.
Une question se pose alors. Tout organisme puisant sa survie dans le milieu ambiant, ne demeure-t-il pas une activité psychique et instinctive. Ne se trouve-t-on pas alors devant un dédoublement qualifié de miraculeux, capable d'agir sur son environnement. Si cette hypothèse est exacte : Saint Amadour aurait agit sur l'âme de centaines de milliers de pèlerins, imprégnant les lieux mêmes du célèbre sanctuaire de sa puissante foi.
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Troisième et dernier cas révélé par le Docteur LARCHER dans la Revue Métapsychique, celui de Roseline De Villeneuve qui s'éteint le 17 janvier 1329 à l'âge de 66 ans et dont le corps garda toute sa souplesse et plus particulièrement les yeux qui conservèrent leur éclat et leur limpidité pendant plusieurs jours.
Tel que Benjamin BONNAUD, un jeune thanatopracteur du nord de la France me l'a fait remarquer à ce sujet, le cas de Roseline De Villeneuve ne peut être totalement assimilé aux phénomènes dit «d'incorruption» car si son oeil a gardé un certain éclat depuis maintenant 679 ans (son corps est visible dans la Chapelle de Sainte-Roseline-Des-Arcs-Sur-Argens dans le Var), son corps quant à lui présentait un délabrement quasi total semble t il à partir de 1887 soit 558 ans après sa mort.
Hubert LARCHER qui avait fait une étude personnelle du corps de la Sainte le 3 septembre 1951, relatait dans la revue métapsychique de l'IMI que ses yeux étaient en voie de destruction (par des moisissures) et que le corps présentait des moisissures sur le bord cubital de la main droite. Le Docteur LARCHER reprit les conclusions faites en 1887 qui relataient les différentes interventions faites par les embaumeurs pour lutter contre la présence d'insectes (probablement nécrophages).
C'est en 1894, à la fin du XIXème siècle que le corps a été restauré par le Docteur Pietro Neri à l'aide de cire d'abeille qu'il teinta de noir; ce n'est qu'en 1929 qu'une exhumation eut lieu et que le le Docteur Paul Sabatier put constater l'état du corps et utilisa les termes suivants :
- Dessication relative, couleur noire ébène
- Matière ivoire
- Yeux restés identiques
La première exhumation eut lieu le 11 juin 1334, la dernière le 3 septembre 1951 soit 622 ans après sa mort, le corps était quasi intact depuis la restauration entreprise par Le Docteur Neri, Hubert LARCHER note ceci «seul l'oeil gauche est en voie de destruction et l'on note des moisissures sur le bord cubital de la main droite».
Le corps de la Sainte fut par la suite mise à l'abri dans une châsse pour la préserver durant des temps «troublés», la légende raconte qu'elle fut même perdue et que c'est un aveugle qui la retrouva à travers un rêve qu'il fit où la Sainte lui révéla la position de son tombeau et lui redonna miraculeusement la vue, ce n'est qu'en 1614 qu'elle fut de nouveau exposée et c'est en 1660 que Antoine Vallot, alors médecin de Louis XIV et fasciné par les yeux de la Sainte perça d'une aiguille le globe gauche de Roseline De Villeneuve laissant s'echapper le corps vitré et ternissant à jamais la prunelle.
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Roseline est née en 1263 et elle a quitté notre monde le 17 janvier 1329 à la Colle-Roubaud, près « les Arcs », non loin de Toulon.
Lors de sa mort, pendant plusieurs jours, les fidèles défilèrent devant sa dépouille. Des dizaines de cas de guérisons miraculeuses furent constatées. On remarqua alors que le cadavre conservait sa souplesse, défiant les lois de la corruption. Les yeux de la morte gardaient leur éclat et leur limpidité.
Plusieurs mois après son inhumation, les sœurs de la Colle-Roubaud se rendirent compte que le corps de la religieuse exhalait un suave parfum de roses, qui se répandait à l'endroit de la sépulture.
La nouvelle de ce nouveau miracle bouleversa les fidèles. Le 11 juin 1334, le corps fut exhumé. Malgré l'humidité de la terre saturée d'eau, aucune trace de décomposition ne souillait la chaire intacte. La sainte apparaissait dans un parfait état de conservation.
Malgré un séjour de cinq années en terre, ses yeux conservaient encore leur éclat bleu et le regard très vif, semblait percer les assistants stupéfaits et émerveillés.
Les yeux furent alors retirés de leurs orbites et déposés dans un reliquaire d'argent. Le corps miraculé fut porté avec ferveur jusqu'à la chapelle, et placé derrière une balustrade, à l'abri des profanateurs.
Dix ans après, en 1344, le corps fut transféré dans une châsse aux parois de verre. De 1400 à 1450, pendant une période fort troublée, les restes de Roseline furent dissimulés dans un caveau. Par la suite, ils furent placés dans un cercueil de bois doré qui fut lui aussi mis dans une châsse.
En 1644, le corps et les yeux semblaient toujours vivants.
l'occasion d'un nouveau transfert, le 20 octobre 1657, le bras droit parfaitement conservé était encore flexible, il put être déplacé sans difficulté.
En 1661, Louis XIV et sa mère Anne d'Autriche vinrent à la Celle-Roubaud admirer l'état du corps et la beauté des yeux demeurés parfaitement brillants.
Le jeune souverain commanda à son médecin particulier, Antoine Vallot, d'examiner ces reliques. Vallot eut la stupide idée d'enfoncer une aiguille en deux points de l'œil gauche. La prunelle se flétrit aussitôt. Depuis cet œil est moins brillant que l'autre.
Miraculeusement, le corps échappa aux méfaits de la Révolution, bien que sa destruction ait été décidée par le comité de Salut Public. Le 12 juin 1835, il fut déposé dans une cuve de marbre, recouvert d'une glace. Monseigneur Michel, évêque des Arcs constata une nouvelle fois la flexibilité des membres.
Cinquante deux ans plus tard, on se rendit compte que des insectes avaient attaqué le corps de la sainte, et que ce dernier avait souffert de l'humidité. Des embaumeurs et des chimistes venus de Rome tentèrent de réparer les dégâts.
Le 6 juillet 1894, sainte Roseline définitivement embaumée fut placée dans une nouvelle châsse - hermétiquement close - que l'on peut toujours voir aujourd'hui.
Pendant cinq siècles et demi, la corruption l'épargna. Fait très particulier à retenir ; quand le corps commença à s'altérer, les yeux qui, nous devons le rappeler, avaient été mis à part, perdirent leur éclat !
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22:09 Publié dans MIRACLE DES CORPS INCORRUPTIBLES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : miracle, corps incorruptibles
25/10/2010
UN SIGNE POUR 2010 AU QUÉBEC
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Sur le montant central d’une croix en acier située derrière le tombeau du bienheureux VASYL VELYCHKOVSKY, dans l’église catholique ukrainienne SAINT-JOSEPH DE WINNIPEG (Manitoba, CANADA), une longue coulée d'huile a été remarquée et photographiée le 13 SEPTEMBRE 2010 dernier
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MONTRÉAL, 15 oct 2010 (AFP) – CANADA : apparition inexpliquée d'huile sur une croix dans une l’Église SAINT-JOSEPH DE WINNIPEG
Il lie l'apparition de cette huile dans l’Église SAINT-JOSEPH DE WINNIPEG -constatée et photographiée le 13 septembre- à la présence dans son église de la tombe de l'évêque VASYL VELYCHKOVSKY, torturé en URSS pour son rôle dans l’Église catholique clandestine, mort au CANADA en 1973, puis reconnu comme martyr et béatifié en 2001.
«Nous ne savons pas vraiment ce que c'est», a dit le prêtre. «Il est possible que DIEU nous donne un signe, nous dise que nous devons prier le père VASYL pour son intercession».
«En religion, l'huile symbolise la guérison», a indiqué de son côté l'administratrice de la chapelle MARY JANE KALENCHUK.
Depuis le déplacement en 2001 de la dépouille de l'évêque - totalement intacte selon les experts médicaux - dans une chapelle de l'église SAINT-JOSEPH DE WINNIPEG, de nombreux pèlerins y viennent du CANADA, où vit une importante communauté d'origine ukrainienne, et du monde entier, a indiqué Madame KALENCHUK par téléphone à l'AFP.
Plusieurs guérisons, y compris de cancéreux, sont attribuées à Monseigneur VASYL VELYCHKOVSKY, selon le père SIANCHUK. Le religieux préfère parler de «grâces de DIEU» que de miracles, ces derniers n'étant reconnus par l’Église qu'après une longue enquête. Un miracle reconnu est nécessaire pour canoniser un bienheureux et le faire passer au rang des saints.
LA CROIX 16/10/2010 01:13
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VASYL VELYCHKOVSKY, torturé en URSS pour son rôle dans l’Église catholique clandestine, mort au CANADA en 1973, a été reconnu comme martyr et béatifié en 2001. Higoumène du monastère basilien de Ternopil, il fut arrêté par la police communiste en 1945, condamné à mort, peine commuée en dix ans de goulag.
En 1963 il fut sacré archevêque ukrainien catholique de MOSCOU.
En 1969 il fut de nouveau arrêté, emprisonné pendant trois ans, et expulsé d’Union soviétique.
Extrêmement malade du fait des sévices qu’il avait endurés, il se rendit au Canada où il mourut peu après, le 30 juin 1973.
Il fut reconnu comme martyr et béatifié en 2001. On exhuma son corps, qui apparut intact, sans trace de corruption, et fut installé dans l’église SAINT-JOSEPH DE WINNIPEG
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09:25 Publié dans SIGNE ET MIRACLE POUR 2010 AU QUEBEC | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : miracle, quebec
09/04/2010
MIRACLE DU FEU SACRE/SAINT FEU
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3 MOÏSE dit : «Je veux faire un détour pour considérer cette grande vision, et voir pourquoi le buisson ne se consume point»
4 YAHWEH vit qu'il se détournait pour regarder ; et DIEU l'appela du milieu du buisson, et dit : «MOÏSE ! MOÏSE Il répondit : «Me voici» 5 DIEU dit : «N'approche pas d'ici, ôte tes sandales de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte» 6 Il ajouta : «Je suis le DIEU de ton père, le DIEU d'ABRAHAM, le DIEU d'ISAAC et le DIEU de JACOB». MOÏSE se cacha le visage, car il craignait de regarder DIEU. 2 CHRONIQUES 6
41 «Maintenant, YAHWEHDIEU, levez-vous, venez à votre lieu de repos, vous et l'arche de votre force ! Que vos prêtres, YAHWEHDIEU, soient revêtus de salut, et que vos saints jouissent du bonheur !
42 YAHWEHDIEU, ne repoussez pas la face de votre oint ; souvenez-vous des grâces accordées à DAVID, votre serviteur» Chapitre 7
1 Lorsque SALOMON eut achevé de prier, le feu descendit du ciel et consuma l'holocauste et les victimes, et la gloire de YAHWEH remplit la maison.
2 Les prêtres ne pouvaient entrer dans la maison de YAHWEH, car la gloire de YAHWEH remplissait sa maison.
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LE FEU SACRÉ – EN GREC Αγιος Φως «LUMIÈRE SACRÉE»
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attesté annuel dans le monde chrétien, si l'événement n'a été documentée consécutivement depuis 1106. Dans les pays orthodoxes à travers le monde l'événement est retransmis en direct.
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La cérémonie débute à midi, quand le patriarche de Jérusalem ou une autre évêque orthodoxe récite une prière spécifique. Les fidèles rassemblés ensuite chantent «Seigneur, prends pitié» (Kyrie eleison en grec) jusqu'à ce que le feu Saint descende sur une lampe à l'huile d'olive détenue par le patriarche alors qu'il est seul dans le SAINT SÉPULCRE de JÉSUS-CHRIST. Le patriarche sort alors de la chambre funéraire, récite des prières, et distribue la lumière aux fidèles.
. Le feu s'enflamme spontanément ainsi que d'autres feux sur les bougies autour de l'église. Les pèlerins déclarent que le Saint-feu ne brûle ni les cheveux ni les visages, etc, dans les 33 premières minutes qui suivent l'embrasement. Avant d'entrer dans le SAINT SÉPULCRE de JÉSUS-CHRIST, le patriarche ou archevêque président est inspecté par les autorités israéliennes pour prouver qu'il ne transporte pas des éléments techniques pour allumer le feu. Cette enquête est effectuée par des soldats turcs.. Le Feu Sacré est d'abord mentionné dans des documents datant du 4ème siècle. Une description détaillée du miracle est contenue dans le carnet de route de l'higoumène russe DANIEL, qui était présent à la cérémonie en 1106. DANIEL mentionne une incandescence bleue qui descend de la coupole de la Edicula où le patriarche attend le Feu Sacré. Certains affirment avoir été témoin de cette incandescence dans les temps modernes. |
FEU SAINT, FEU SACRÉ
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3 AVRIL 2010 LA CROIX
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Chaque année, le Samedi saint, des milliers de chrétiens orthodoxes célèbrent le Feu sacré, une cérémonie aussi belle qu’inquiétante, qui a lieu au SAINT SÉPULCRE. Les patriarches grec et arménien entrent dans l’édicule qui abrite le Tombeau du CHRIST.
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leurs cierges. Et aussitôt, ils embrasent le cierge de leurs voisins immédiats qui feront de même à leur tour… En quelques secondes, le Feu sacré illumine des milliers de cierges dans une foule compacte. Le risque d’une catastrophe n’est jamais loin. Le Feu sacré a déjà embrasé la rotonde du SAINT SÉPULCRE par le passé.
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LA LUMIÈRE DE L'ESPRIT-SAINT
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délicatesse, elle caresse son propre visage. Elle recommence une fois encore, puis elle prend le bouquet de cierges et le présente au jeune homme. Plus rapidement et plus gauche, il fait les mêmes gestes que la jeune femme ; passe ses mains dans la flamme et porte ensuite les mains à son visage.
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Terre Sainte pour la deuxième fois mais c’est la première qu’elle vient à Pâques. Elle est venue de Moscou avec son jeune époux, SERGUEÏ. Ils sont là pour une semaine et en ce samedi saint, elle fête son anniversaire.
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«C’est mon plus bel anniversaire», précise-t-elle aussitôt. .../...
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Une heure plus tard, lorsque le SAINT SÉPULCRE s’est en partie vidé, les pèlerins, qui étaient restés à l’extérieur, peuvent à leur tour y pénétrer. Ils peuvent assister à la cérémonie des syriaques orthodoxes, qui succède à celle menée conjointement par les grecs orthodoxes et les arméniens. Les franciscains, eux, finissent tout juste de nettoyer leur espace qui jouxte celui du Tombeau. Le marbre des Franciscains est déjà aussi immaculé que s’il n’y avait jamais eu de cérémonie du Feu Sacré.
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DEPUIS QUAND CE PRODIGE A-T-IL LIEU ?
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Depuis le 4ème siècle jusqu'à nos jours, des sources écrites rappellent cet événement impressionnant. De ces sources, il apparaît clairement que le miracle a été célébré au même endroit, le même jour, et dans le même cadre liturgique tout au long de ces siècles.
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Pendant des siècles, dans l'histoire du Saint-feu, on raconte de nombreux miracles qui se manifestèrent en maintes occasions, généralement lorsque des hétérodoxes ecclésiastiques tentèrent de l'obtenir.
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Selon la tradition, en 1099, par exemple, l'échec des Croisés pour obtenir le feu conduisit à des émeutes de rue à Jérusalem.
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Il est également allégué qu'en 1579, le patriarche arménien priait jour et nuit afin d'obtenir le feu sacré, mais le feu frappa miraculeusement une colonne près de l'entrée et alluma une bougie tenue par le Comité permanent patriarche orthodoxe à proximité.
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En entrant dans le temple, de nombreux chrétiens orthodoxes vénèrent cette colonne, qui porte les marques et une large fissure attribuable à l'éclair de la Saint-feu. |
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LA LUMIÈRE SAINTE PROVENANT DU TOMBEAU DE NOTRE SEIGNEUR DIEU ET SAUVEUR JÉSUS-CHRIST
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Les pèlerins voyageant à Jérusalem, depuis les temps anciens et jusqu'à maintenant, affirment unanimement que le jour du Samedi Saint, le Feu sacré apparaît sur le Tombeau de Notre Seigneur DIEU et Sauveur JÉSUS-CHRIST. Des milliers de pèlerins pieux, affluant chaque année des pays du monde entier, de tous peuples et confessions chrétiennes, et de beaucoup d'autres, même non chrétiennes, s'empressent, depuis des temps reculés et jusqu'à maintenant, vers Jérusalem, pour y vénérer le Tombeau du Seigneur,tout particulièrement le jour du Samedi Saint. Ce jour-là, selon le témoignage de tous les voyageurs, depuis des temps anciens, chaque année et jusqu'à maintenant, le feu incréé apparaît sur le Tombeau de notre Seigneur DIEU et Sauveur JÉSUS-CHRIST, à 8 heures ou, selon notre heure, à deux heures de l'après-midi.
. Dès le vendredi, les Turcs, sous la domination desquels se trouvent Jérusalem et l’Église du Tombeau du CHRIST, éteignent les lumières dans toute l’Église (et dans les temps anciens, aussi dans Jérusalem et même chez les Turcs) ; Ils bouclent les portes du Tombeau du Seigneur et y apposent le sceau turc ; quant au patriarche, le jour même où le feu s'allume, il est soumis publiquement à une fouille devant tout le peuple par les officiels turcs, en présence d'une garde turque importante, et ensuite seulement, accompagné de cette même garde et des officiels, en présence des chrétiens de toutes confessions et des infidèles, ayant été publiquement revêtu de ses vêtements sacerdotaux et publiquement fouillé, il pénètre dans la grotte du Tombeau du Seigneur (kouvouklia), d'où les Turcs retirent alors le sceau. |
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SAINT GRÉGOIRE DE NYSSE (331/394), dans sa seconde homélie sur la Résurrection, écrit :
. «PIERRE, ayant vu de ses propres yeux, mais aussi par hauteur d'esprit apostolique que le Tombeau était illuminé, alors que c'était la nuit, le vit par les sens et spirituellement» |
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SAINT JEAN DAMASCÈNE (676/749), dans ses chants liturgiques, fait souvent mémoire de la lumière brillant miraculeusement sur le Saint Tombeau. Ainsi par exemple :
. «PIERRE, s'étant rapidement approché du Tombeau, et ayant vu la lumière dans le SÉPULCRE, s'effraya» |
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LE PAPE URBAIN II (1042/1099), lors du concile des Croisés à Clermont, dans son discours à la foule immense rassemblée devant lui, proclama, entre autres, ceci :
. «En vérité, dans ce Temple (le Tombeau du Seigneur), DIEU repose ; jusqu'à présent, Il ne cesse d'y manifester des miracles car, aux jours de Sa Passion, alors que toutes les lumières sont éteintes au-dessus de Sa tombe et dans l'église, soudain, les lampes éteintes se rallument. Quel cœur, si endurci soit-il, ne s'attendrirait pas devant une telle manifestation !» |
Il est fort à propos de citer ici le témoignage du pèlerin HIÉROMOINE MÉLÉTIOS, et d'autres encore, sur la tentative des Arméniens de chasser les chrétiens orthodoxes du Temple de Jérusalem, pour recevoir par leurs propres hiérarques le feu incrée de la «kouvouklia».
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ignorant tout à fait que la lumière sainte était descendue chez les orthodoxes, l'attendaient pour eux à l'intérieur du Tombeau, clamant consciencieusement, d'une voix forte, comme des Baalatim. Mais les Turcs qui gardaient le Saint Portail, voyant un tel miracle, ouvrirent les portes aussitôt. Le Patriarche entra dans le Temple avec les orthodoxes, proclamant :
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«Qui est le DIEU grand, sinon notre DIEU ? Tu es DIEU, qui fait des merveilles !».
et la suite ... Les Turcs, présents lors du miracle, crurent. Y eut-il un signe, semblable ou non, avec les latins et autres chrétiens, nous l'ignorons. . Le HIÉROMOINE MÉLÉTIOS, pieux staretz de Sarov affirme que l'apparition de feu sacré ne provient pas, semble-t-il, d'ailleurs que précisément du Tombeau lui-même, qui aurait été sanctifié par le Corps du CHRIST, qui le fait sourdre chaque année en signe de vérité et de rectitude de foi. N'ayant pu être personnellement témoin de l'apparition du feu, le HIÉROMOINE MÉLÉTIOS rapporte les paroles de l'Archevêque MISSAÏL, dont c'était alors le service :. «Étant entré, lui dit l'Archevêque MISSAÏL, à l'intérieur du Saint Tombeau, nous voyons sur tout le couvercle de la tombe une lumière scintillante, comme si y étaient répandues de minuscules perles de verre, d'apparence blanche, bleue, écarlate, et d'autres couleurs, qui ensuite, se fondant les unes avec les autres, rougeoyaient et se transformaient en feu ; mais ce feu, durant le temps nécessaire à lire sans hâte quarante Kyrie Eleison, ne produit pas de brûlure et ne consume pas, et les candélabres et bougies préparés s'y allument : mais par ailleurs, ajoute l'Archevêque, comment et d'où cela provient, je ne saurais le dire» |
14:11 Publié dans MIRACLE DU FEU SACRE/SAINT FEU | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : miracle, feu sacre, saint feu, jerusalem, israel
28/03/2010
MIRACLE. DANS LE VAL D'OISE, UNE ICÔNE ORTHODOXE «PLEURE» DES LARMES D'HUILE
N SIGNE POUR 2010
A GARGES LES GONESSES
(FRANCE)
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Depuis trois semaines, un phénomène bien étrange se passe sous le toit de la famille ALTINDAGOGLU, dans un pavillon de Garges-les-Gonesses, en région parisienne : une icône offerte par un prêtre libanais s’est mise à suinter de l’huile... provoquant l’engouement de dizaines de pèlerins venus d’un peu partout.
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L'information a été révélée hier par FRANCE INFO. «Cela a commencé le vendredi précédant le Carême, le 12 février lors de sa prière quotidienne, la mère de la famille ALTINDAGOGLU remarque de l'huile sur la surface de l'icône, cadeau d'un prêtre il y a quatre ans. Jusqu'à hier (samedi), la VIERGE n'a pas arrêté de pleurer», a affirmé son propriétaire, ESAT ALTINDAGOGLU. explique qu'un prêtre libanais a offert cette icône à sa femme, SÉVIM, pour son anniversaire en 2006 «C'est pour cela que l'on ne se rend pas compte que l'huile sort des yeux de la VIERGE», précise-t-elle. . «Je vais acheter un cadre vitré pour la protéger», rassure ÉSAT, qui ne s'explique pas «pourquoi DIEU s'est manifesté» chez lui, fils de prêtre turc. «J'ai dit à la VIERGE MARIE que je désirais lui ouvrir mon cœur pour qu'elle me conduise vers DIEU», confie-t-il, ému. Alors que les visites prennent fin, une mère, venue exprès de Marseille, est autorisée à entrer avec ses deux filles dont l'une est malade. «Je pleure, je tremble. La sensation est inexprimable.» Pendant ce temps, ADJA, «musulmane» de 44 ans, attend dans la rue : «Je reviendrai tous les jours jusqu'à ce que je la voie. J'y crois.» |
Des dizaines de personnes, en majorité membres d'églises chrétiennes orientales, se pressent dans une maison de Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise) où, une icône de la VIERGE À L'ENFANT suinte de façon inexplicable de l'huile odorante selon ses propriétaires. Les visiteurs convaincus du «miracle» prient et essuient pieusement des gouttes d'huile avec des morceaux de coton.
Le mot griffonné à la va-vite sur un panneau à l’entrée du pavillon annonce la couleur. En une semaine, la vie quotidienne de la famille ALTINDAGOGLU a été complètement bouleversée. Des centaines de personnes se pressent tous les jours à Garges-lès-Gonesse, dans le petit pavillon de ces chrétiens orthodoxes d’origine turque, pour voir «l’icône de la VIERGE qui suinte de l’huile». «Un miracle» pour la plupart des croyants qui défilent. L’objet de dévotion, une icône en bois offerte par un patriarche grec de l’Église orthodoxe Georges-Bizet à PARIS (XVIe), est toujours accroché au fond d’un couloir sombre qui mène à la chambre de SÉVIM. C’est cette mère de famille, très pieuse, qui a vu pour la première fois «les larmes couler sur la VIERGE» «Une réponse à mes prières»,souffle-t-elle à ceux qui viennent la féliciter. Hier vers midi et demie, la foule a répondu au rendez-vous, comme tous les jours. A l’entrée, SÉVIM, très fatiguée, accueille sans relâche tous les visiteurs venus de la région mais pas seulement. «De Chine, des États-Unis, de Suisse, énumère SÉVIM. Nous avons été obligés de nous organiser car les visites commençaient à 6 heures du matin et certains passaient jusqu’à 2 heures du matin. Demain, à part pour deux personnes qui viennent de très loin, on ferme toute la matinée, c’est catégorique !»A ses côtés, une voisine en doute. «En vérité, ils accueillent tout le monde»,glisse-t-elle. Hier pourtant, pas une goutte ne coulait du tableau. SÉVIM l’assure : «Ce matin, elle pleurait encore.»Malgré une vitrine en plexiglas posée en début de semaine, la très grande majorité des croyants touchent, frottent la VIERGE MARIE avec des chapelets ou du tissu pour emporter avec eux un peu du divin liquide. «J’ai essayé d’en récupérer sur un bout de coton pour faire le signe de croix avec, sur le front de ma fille et de mon mari»,assure JEANNETTE, une jeune maman d’origine assyro-chaldéenne. Cette communauté très croyante et très présente dans l’est du département constitue, avec celle des Antillais, la grande majorité des pèlerins. ANASTHASIE, elle, est catholique d’origine camerounaise. «Ce type de démonstration ne m’étonne pas, raconte la jeune quadra au chômage , venue de Levallois (Hauts-de-Seine). Chez moi, à Nsimalen, on a vu la VIERGE dans un arbre…»Dans le salon, un vieil homme appareillé d’une machine à respirer, une petite fille handicapée ou encore une jeune femme du Val-de-Marne venue avec une photo de son frère malade patientent. «Ouvrir les portes comme fait la famille est un formidable geste qui redonne la foi, assure FRÉDÉRIC, un assyro-chaldéen de Gonesse. Malgré l’agitation que cela leur cause, c’est un plaisir pour eux de faire partager ce bonheur.» LE PARISIEN |
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Une messe devant une icône de la VIERGE «pleurant»des larmes d'huile
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(AFP) – 7 mars 2010
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GARGES-LÈS-GONESSE — Une soixantaine de personnes ont assisté dimanche à une messe improvisée dans un pavillon de la banlieue nord de Paris, devant une icône orthodoxe de la VIERGE MARIE dont les propriétaires jurent qu'elle «pleure» des larmes d'huile.
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Massés dans le salon d'une maison de Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), les dévots prient en écoutant l'homélie et les chants d'un religieux représentant l’Église d'Antioche.
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A l'issue de la cérémonie, à laquelle un journaliste de l'AFP a assisté, les croyants font la queue pour toucher et embrasser la représentation de la VIERGE accrochée dans le couloir du pavillon.
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D'autres photographient l'icône avec leur téléphone portable, puis se signent.
«C'est la deuxième fois que je la vois. La première, j'ai eu un choc», raconte ALAIN SALAS, 69 ans, venu de la commune voisine de Villiers-le-Bel.
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Depuis la mi-février, des curieux ou des dévots se présentent au compte-goutte à la porte du pavillon. Dimanche, une famille a même fait le voyage en voiture depuis Cologne, en Allemagne, espérant assister à un miracle. Mais rien n'est arrivé : la petite icône en bois de la VIERGE, accrochée près d'une fenêtre, ne suinte pas. En surface, on y distingue cependant des traces d'huile.
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Il est pourtant difficile de dire s'il s'agit d'un miracle ou d'une supercherie.
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Le propriétaire, ÉSAT ALTINDAGOGLU, est formel :
«Cela a commencé le vendredi précédant le Carême, le 12 février. Et jusqu'à hier (samedi), la VIERGE n'arrêtait pas de pleurer», assure-t-il.
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L'agent commercial de 46 ans, d'origines turque et libanaise, explique qu'un prêtre libanais avait offert l'icône à sa femme pour son anniversaire en 2006.
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L'épouse, très croyante, jure qu'elle fut la première à avoir vu de l'huile couler.
«C'était un matin. Je priais devant et j'ai remarqué qu'elle pleurait. Je me suis dit que quelque chose n'était pas normal»,raconte SÉVIM ALTINDAGOGLU, les yeux mouillés par l'émotion. «C'est un petit miracle, c'est sûr et certain. C'est un message envoyé par la VIERGE et son FILS», assure son mari.
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Assis dans son canapé, visiblement fatigué, Monsieur ALTINDAGOGLU explique avoir hésité avant de l'annoncer à son entourage.
«Nous avons patienté trois jours. Comme beaucoup de gens n'y croient pas, nous ne voulions pas être pris pour des fous», se justifie-t-il.
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Depuis, les visiteurs affluent dans son salon rempli d'icônes orthodoxes.
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Il affirme accueillir chaque jour une cinquantaine de personnes venues de province, voire d'Allemagne ou de Belgique.
«Hier, une femme de Toulouse m'a appelé pour me dire qu'elle passerait dans la journée», dit Monsieur ALTINDAGOGLU.
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Les visiteurs apportent souvent des morceaux de coton qu'ils imbibent de l'huile répandue sur l'icône, espérant un effet thaumaturgique.
«Une femme est venue à la mi-février en m'expliquant qu'elle ne parvenait pas à avoir d'enfant. Elle a pris un peu d'huile sur un mouchoir qu'elle a placé sur son ventre. Il y a deux jours, elle m'a rappelé pour me dire que, d'après son médecin, elle peut désormais avoir un enfant»,affirme Madame ALTINDAGOGLU |
21:27 Publié dans SIGNE ET MIRACLE POUR 2010 A GARGES LES GONESSES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : 2010, garges-les-gonesses, huile, miracle, vierge-marie, france