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24/01/2011
PROPHÉTIES TÉRÉSA MUSCO
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PROPHÉTIES
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BIOGRAPHIE |
TÉRÉSA MUSCO, stigmatisée italienne, naquit le 7 juillet 1943, à CAIAZZO, dans la province de CASERTE (IALIE du sud), au sein d’une famille pauvre de dix enfants. SALVATORE, son père, était un homme rude et autoritaire. Au contraire, ROSA ZULLO, sa mère, n’était que douceur, toujours soumise et attentive au moindre désir de son époux ; mère pleine de tendresse et d’amour envers tous ses enfants et très généreuse envers les pauvres. Malgré la rudesse de SALVATORE, la foi habitait ce foyer éminemment chrétien. La mère inculqua dans le cœur de ses enfants les premiers rudiments de la foi, et leur apprit à fuir le mal et à pratiquer le bien.
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L'ANGE GARDIEN |
«JÉSUS, MARIE, je vous aime et vous donne ma volonté en échange de toute l'humanité !»
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Il l'invita à prier constamment, à offrir avec joie ses épreuves sans jamais se décourager, pour la délivrance des âmes du purgatoire et le salut des âmes. Puis il disparut, laissant derrière lui un intense parfum. Dès lors, ses visites furent quotidiennes :
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«Tous les matins, l'ANGE venait me rendre visite et me faisait prier avec lui. Après la prière, il disait :
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«TÉRÉSA prie pour les pécheurs et pour le salut des âmes ! Sache que les péchés qui mènent les âmes en enfer sont les péchés d'impureté !».
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MARIE
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La petite TÉRÉSA, avait pour la MADONE une dévotion toute particulière et connu dès sa jeunesse les souffrances de la maladie. Cette période de souffrances fut aussi le commencement des visites de JÉSUS, de MARIE, des ANGES et des Saints, qui n’eurent cesse de l’encourager à tout offrir «pour les pécheurs». Ce fut dès lors que TÉRÉSA devint «très attachée à JÉSUS» et que le désir d’être «crucifiée avec JÉSUS et lui ramener beaucoup d’âmes» germa en son cœur innocent et, cela devint par la suite, le but même de toute sa vie.
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En JANVIER 1948, TÉRÉSA connaît les premières interventions de la MADONE. Par la suite, la présence de MARIE sera toujours aussi vive et opérante, ce qui nous fait dire que sa vie fut profondément mariale.
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Le 17 JANVIER suivant, elle est soignée d’une brûlure par la MADONE ; Le 21 janvier elle était guérie et il ne restait plus aucune trace de la brûlure. Dans la vie de TÉRÉSA, dès son plus jeune âge et jusqu’à sa mort, le mot «oui» sera toujours d’actualité, sera toujours le maître mot que la mènera jusqu’à la donation totale de tout son être, sans aucune réserve, même lors des plus tragiques et douloureux moments, moments ceux-là qui étaient autant d’actes d’amour offerts pour le salut de ses frères pécheurs. Le «oui» ferme à la demande «M’aimes-tu ?» se transforma bientôt en : «faites de moi un chiffon». La préparation à son calvaire allait bientôt commencer.
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Dans son message du 1er MAI 1950, la SAINTE VIERGE donne à TÉRÉSA cet avertissement prémonitoire concernant sa mission de souffrance :.
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«Ma fille, tu auras beaucoup à souffrir : tu iras dans des hôpitaux, tu rencontreras des médecins, mais personne ne comprendra, ni ne saura déceler la maladie que le PÈRE à mise en ton cœur…»
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PROPHÉTIES
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 11 OCTOBRE 1950 (elle a 8 ans)
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«Il faut prier et tout offrir avec beaucoup d’amour. Tu monteras au Calvaire avec JÉSUS. Tu as déjà commencé à cheminer sur des voies bien épineuses. Mais la MAMAN du ciel est auprès de toi. Tu n’as pas à craindre. Tu devras souffrir sans rien dire, comme tu le fais déjà. Je te salue. Nous nous reverrons bientôt».
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 31 JUILLET 1950
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«Feu et fumée envelopperont le monde. L’eau des océans deviendra feu et vapeur. L’écume s’élèvera, couvrira l’Europe, et transformera tout en une lave de feu, et des millions d’hommes et d’enfants périront dans ce feu, et les rares qui en échapperont envieront ceux qui sont morts. Parce que, de quelque côté qu’ils regarderont, ils ne verront que sang, morts et ruines, dans le monde entier»
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L’EUROPE SOUS LES FLOTS
. Je vois ensuite de gros nuages épais s’accumuler sur l’Europe et, juste en dessous, de grandes vagues déferler sur l’EUROPE. Puis je vois la DAME éclairée par une lumière crue. Elle est vêtue de blanc. Elle a les mains grandes ouvertes et il en sort un dense faisceau de rayons lumineux. Une force me commande de tenir ma main en l’air, et j’ai l’impression que ce faisceau la touche. Ça me brûle et ça me picote. La DAME me sourit et, désignant ma main, elle fait oui de la tête. J’ignore ce que cela signifie. Alors, le visage de la DAME s’assombrit et elle a l’air très triste. Portant mon attention sur les gros nuages et les grosses vagues, elle dit :
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«Il va d’abord leur falloir périr par ces flots, et seulement après…» . Ces paroles apparaissent alors sous mes yeux, écrites. Le mot «après» est suivi de plusieurs petits points comme si d’autres paroles devaient suivre qui doivent toutefois rester secrètes. Puis le visage de la DAME s’éclaire, et je vois l’eau s’élever comme de la vapeur. On dirait que le soleil perce brièvement cette vapeur.
La DAME porte de nouveau mon attention sur la Terre et je constate que tout s’est dégagé. Je vois à présent partout des ossements humains, des morceaux de crânes, des parties d’os des bras et des jambes. C’est un spectacle affreux.
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....je vis éclater la foudre et il me sembla que des boules de feu tombaient sur la terre et pénétraient jusque dans ses entrailles, réduisant les rochers en miettes. J'entendis ensuite le flot impétueux des eaux, et une terrible lamentation de deuil monta de la terre.
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... D’un autre côté, il devrait être suffisant pour tous les Chrétiens de retenir ceci fermement : s’il y a un message dans lequel il est dit que les océans inonderont des parties entières de la terre ; que, d’un moment à l’autre des millions de personnes périront… il n’y a plus nécessité aucune à désirer vraiment publier ce message secret (Fatima).
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«Beaucoup d’hommes transpercent le Cœur blessé de mon FILS et s’ils ne prient pas, s’ils ne se repentent pas, DIEU enverra sur le monde un grand châtiment, une grande catastrophe ; Toi, prie et fait pénitence».
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 20 MAI 1951 (elle a 9 ans)
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«TÉRÉSA, fille de mon cœur, je suis ici pour te confier des choses que tu devras garder pour toi seule, jusqu'à ce que je le souhaite. Tu verras beaucoup de changements dans l'église. Les chrétiens qui prient seront peu nombreux. Beaucoup d'âmes marchent vers l'ENFER. Les femmes perdront la pudeur et la honte. Satan prendra leur forme pour en faire tomber beaucoup. Dans le monde il y aura des crises communes. Le gouvernement tombera. Le pape passera des heures d'agonie ; à la fin je serai là pour les conduire au paradis. Une grande guerre aura lieu. Le nombre de morts et blessés sera incalculable. Satan chantera victoire mais sera alors le moment où tous verront apparaître mon FILS sur les nuages et Il jugera tous ceux qui ont dédaigné son sang innocent et divin. Alors mon cœur immaculé triomphera».
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 13 AOUT 1951 (elle a 9 ans)
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«Ma fille, je suis ici pour te dire que le PÈRE enverra une grande punition au genre humain dans la seconde moitié du XXe siècle. Sache ma fille que Satan règne chez ceux qui occupent les plus hauts postes. Quand Satan arrivera en haut de l'Église, il pensera qu’à ce moment-là il sera parvenu à séduire les esprits des grands scientifiques et c’est à ce moment-là qu’ils interviendront avec des armes très puissantes avec lesquelles il est possible de détruire une grande partie de l'humanité»
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 13 SEPTEMBRE 1951
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«Ne pouvant pas le révéler ce que je vois, je recommande seulement aux Prêtres d’être attentifs au moment de la consécration lors de la Messe, parce que JÉSUS est là en personne et prête ses mains, sa bouche, sa langue au Prêtre. Il est tout prêt d’eux et observe sa table et son ministère. Ceci est tout ce que je peux dire»
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 7 OCTOBRE 1951 (elle a 9 ans)
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«Ma fille, les tribulations que le PÈRE a destinées à l'ITALIE sont préparées et seules les âmes qui se sont offertes comme victimes peuvent toucher pleinement le cœur de mon FILS et du PÈRE. À partir de 1972 on entamera le temps de Satan, les cardinaux s'opposeront aux cardinaux et les évêques aux évêques. Tu te trouves au milieu d'une génération très difficile, dans laquelle on prétend tout expliquer par scientifiquement et personne ne pense donner un peu de chaleur, un peu d'amour, compris aux plus pauvres».
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 3 JANVIER 1952 (elle a 10 ans)
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«Je veux te dire que le monde est perverti. Je suis apparue au PORTUGAL où j’ai donné des messages, mais personne ne m’a écoutée ; Je suis apparue à LOURDES, à LA SALETTE, mais bien peu de cœurs durs se sont adoucis. A toi-même je veux dire tant de choses qui affligent mon Cœur. Je veux te parler du troisième secret de FATIMA. Je te recommande de ne pas avec les garçons comme toutes les autres ; Je veux que tu restes à la maison. Maintenant Je vais te parler du troisième secret que j’ai confié à LUCIE, à FATIMA. Je peux te dire qu’il a déjà été lu, mais personne n’en a parlé».
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Alors la MADONE prédit à TÉRÉSA le voyage de PAUL VI à FATIMA, où il invitera tout le monde à la prière et à la pénitence et Elle confie encore que le Pape n’osera point parler du secret, parce que celui-ci est «épouvantable».
«Le monde courre vers une grande ruine… d'affreux châtiments nous menacent. Le peuple se fourvoie de plus en plus…
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Feu et fumée bouleverseront le monde. Les eaux des océans s’enflammeront : feu et vapeur. L’écume s’élèvera, couvrira et mettra sens dessus dessous l’EUROPE, et engloutira tout en une lave de feu, et des millions d’hommes et d’enfants périront dans ce feu, tandis que le petit nombre de ceux qui auront été épargnés environ ceux qui sont morts. Parce que, de quelque côté qu’ils regarderont, ils ne verront que sang, morts et ruines, dans le monde entier. Le monde court vers une grande ruine...» |
MESSAGE DE LA VIERGE, LE 31 AOUT 1953 (elle a 11 ans)
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«Ma fille, combien de péchés dans le monde ! Mille fois et, à chaque instant les hommes crucifient, clouent mon FILS à la CROIX. Le PÈRE en a assez et sa colère est grande de voir son FILS autant piétiné et maltraité par tant d’hommes cruels. Ma fille, prie et fait pénitence car le peuple courre véloce ver un horrible précipice. Parle aux petits comme toi afin qu’ils prient, car la prière des innocents vaut bien plus que celle des adultes. Seule la prière pourra calmer la colère de DIEU. Et toi, par tes peines et tes prières, tu peux changer tellement de cœurs. Prie beaucoup, spécialement pour mes fils de prédilection, les Prêtres, les fils de prédilection de mon FILS. Je veux une vraie ferveur, vive et vraie dans la prière, et non pas une prière apprise par cœur et récitée par habitude, spécialement la prière faite devant JÉSUS au très Saint-Sacrement. Ainsi tu obliges tant et tant de Prêtres à revenir à moi».
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MESSAGE DE LA VIERGE, LE 13 OCTOBRE 1973
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«Une nouvelle guerre est sur le point de commencer là où est né le Sauveur et elle ne s’arrêtera pas. Il semblera qu’ils fassent la paix, mais cela n’est pas vrai, parce que de là naîtra la grande guerre ; de la vient le châtiment du ciel et de la terre»
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MESSAGE DE LA VIERGE, FIN OCTOBRE 1975
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«Une guerre viendra qui commencera au VIETNAM et s’étendra à l’EUROPE et l’ITALIE»
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Je veux que l'union qui existe entre les deux petites fleurs (de FRANCE et du VIETNAM) soit le symbole de l'union que je veux voir régner entre la FRANCE et le VIETNAM....Mon enfant, souviens-toi que c'est avec la FRANCE, que ton pays le Vietnam parviendra à consolider le Règne de mon Amour. Prie pour que les deux pays ne fassent plus qu'un ensemble....
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MESSAGE DE LA VIERGE, FÉVRIER 1976
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L'année de sa mort, la SAINTE VIERGE lui confie :.
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«Tu verras une grande révolution dans ma maison à ROME ; les communistes au pouvoir. Alors le sang innocent coulera.
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Au VATICAN, les communistes sont déjà au pouvoir ; ils attendent le jour et l’heure» |
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«Hampes de drapeaux (battant le pavillon rouge sur la coupole de Saint-Pierre et ailleurs), l’anéantissement et la séduction sont sortis des loges de ces sinistres brutes. Ces athées crient jamais : nous ne voudrons que DIEU règne sur nous ; nous voulons que Satan soit notre maître !»
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15:35 Publié dans PROPHETIES TERESA MUSCO | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : propheties, teresa musco
20/01/2011
STIGMATISÉS ET STIGMATES
8 Tu me garrottes... c'est un témoignage contre moi!... ma maigreur se lève contre moi, en face elle m'accuse.
9 Sa colère me déchire et me poursuit, il grince des dents contre moi ; mon ennemi darde sur moi ses regards. 10 Ils ouvrent leur bouche pour me dévorer, ils me frappent la joue avec outrage, ils se liguent tous ensemble pour me perdre. 11 Dieu m'a livré au pervers, il m'a jeté entre les mains des méchants. 12 J'étais en paix, et il m'a secoué, il m'a saisi par la nuque, et il m'a brisé. Il m'a posé en but à ses traits, 13 ses flèches volent autour de moi; il perce mes flancs sans pitié, il répand mes entrailles sur la terre; 14 il me fait brèche sur brèche, il fond sur moi comme un géant. 15 J'ai cousu un sac sur ma peau, et j'ai roulé mon front dans la poussière. 16 Mon visage est tout rouge de larmes, et l'ombre de la mort s'étend sur mes paupières, |
12 Tous ceux qui veulent gagner les bonnes grâces des hommes, ce sont ceux-là qui vous contraignent à vous faire circoncire, à l'unique fin de n'être pas persécutés pour la croix du Christ.
13 Car ces circoncis, n'observent pas eux-mêmes la Loi ; mais ils veulent que vous receviez la circoncision, afin de se glorifier en votre chair. 14 — Pour moi, Dieu me garde de me glorifier, si ce n'est dans la croix de Notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde ! 15 Car (en Jésus-Christ)la circoncision n'est rien, l'incirconcision n'est rien ; ce qui est, tout, c'est d'être une nouvelle créature. 16 Paix et miséricorde sur tous ceux qui suivront cette règle, et sur l'Israël de Dieu ! 17 Au reste, que personne désormais ne me suscite plus d'embarras ; car je porte sur mon corps les stigmates de Jésus.
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18 En effet, la doctrine de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une force divine.
19 Car il est écrit : «Je détruirai la sagesse des sages, et j'anéantirai la science des savants» 20 Où est le sage ? où est le docteur ? où est le disputeur de ce siècle ? Dieu n'a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde ? 21 Car le monde, avec sa sagesse, n'ayant pas connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication. 22 Les Juifs exigent des miracles, et les Grecs cherchent la sagesse ; 23 nous, nous prêchons un Christ crucifié, scandale pour les Juifs et folie pour les Gentils, 24 mais pour ceux qui sont appelés, soit Juifs, soit Grecs, puissance de Dieu et sagesse de Dieu. 25 Car ce qui serait folie de Dieu est plus sage que la sagesse des hommes, et ce qui serait faiblesse de Dieu est plus fort que la force des hommes. |
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«VIVE FLAMME D'AMOUR» SAINT JEAN DE LA CROIX
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PREMIER VERS.
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O cautère agréable !
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Moïse dit, dans le Deutéronome, que Dieu est un feu consumant. C'est en effet un feu d'amour, mais un feu d'une vertu et d'une force infinie, qui peut consumer tout ce qu'il touche et le changer en lui-même.
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Toutefois, quand il s'attache aux hommes, il les brûle autant que chacun y est disposé et qu'il en est capable ; il brûle les uns plus, les autres moins, autant qu'il lui plaît, de la manière et dans le temps qu'il le trouve bon. Ce feu d'amour est infiniment grand ; il fait quelquefois
de plus violentes, quelquefois de plus douces impressions sur l'âme. Mais après tout, l'ardeur qui la brûle est si excessive, qu'elle croit qu'on n'en peut sentir de plus embrasée dans tout l'univers.
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C'est pourquoi elle appelle cautère l'action de ce feu, parce qu'il la pénètre intérieurement, et qu'il fait en elle un effet plus véhément que tous les corps enflammés n'en peuvent produire. Or, lorsque ce feu divin a transformé l'âme en lui même, non-seulement l'âme sent la brûlure, elle est encore elle-même toute feu et toute brûlure.
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Mais c'est une chose étonnante que ce feu céleste, pouvant plus facilement réduire à rien mille mondes que le feu élémentaire ne pourrait détruire une feuille, ne consume pas néanmoins les esprits qu'il brûle ; mais il les embrase selon la mesure de leurs forces et de leur ardeur, et il les transforme en Dieu. C'est ce qui arriva aux apôtres, comme il est rapporté dans l'Écriture. (Act., II, 3.) Car lorsque ce feu descendit impétueusement du ciel, ils en furent intérieurement enflammés, selon la remarque de saint Grégoire. Ces communications n'ayant point d'autre fin que d'élever l'âme, cette ardeur ne l'incommode et ne la resserre pas, mais elle la dilate; elle ne l'afflige pas, mais elle l'éclairé, elle la réjouit, elle l'enrichit : c'est pourquoi l'âme dit qu'elle lui est fort douce et fort agréable.
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Ainsi, lorsqu'une âme est assez heureuse pour recevoir les impressions de ce sacré cautère, elle connaît tout, elle goûte tout avec plaisir, elle fait avec succès tout ce qu'elle veut; rien n'a l'avantage sur elle ; rien ne peut lui donner aucune atteinte.
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C'est elle dont l'apôtre dit que l’homme spirituel juge de toutes choses, et qu'il ne peut être jugé de personne ; et qu'il n'y a rien de si caché qu'il ne sonde, jusqu'aux plus profonds secrets de Dieu (Ibid., 10).
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O âmes, qui avez mérité de ressentir les flammes de ce feu divin, que votre gloire est grande ! Il pouvait vous consumer et vous anéantir ; mais il se contente de vous élever au comble du plus grand honneur qu'une créature puisse recevoir. Il ne faut pas cependant être surpris de ce que Dieu conduit des âmes à cet éminent degré de gloire : il est le seul qui peut faire des choses si étonnantes. Mais comment comprendra-t-on les joies infinies de l'âme que ce feu sacré dévore si agréablement sans la détruire ? Elle voudrait bien les exprimer, mais ne le pouvant faire, elle en marque seulement la grandeur par cette exclamation : O délicieuse plaie !
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DEUXIÈME VERS.
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O délicieuse plaie !
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Celui qui fait la plaie, la guérit lui-même, et il la guérit lorsqu'il la fait. Il est en quelque façon semblable à un fer tout rouge de feu; quand on l'applique sur une plaie, il l'augmente, et il en fait une plaie de feu ; et si on continue de l'appliquer, la plaie s'élargit et s'approfondit de telle sorte, qu'elle détruit enfin le corps qui l'a reçue. De même le cautère de l'amour divin guérit la plaie d'amour qu'il a faite à l'âme, et il l'augmente toutes les foi qu'on l'applique. Car le remède que l'amour emploie pour guérir l'âme qu'il a blessée, est de la blesser davantage, et de multiplier ses blessures, jusques à ce que l'âme ne soit plus qu'une plaie universelle. De cette manière l'âme n'étant plus qu'une plaie d'amour, et par ce moyen étant toute changée en plaie et en amour, elle est guérie. Car c'est la nature de cette divine maladie, que celui qui est le plus blessé est le plus sain, et celui qui est tout couvert et tout pénétré de plaies, est sain en toutes ses parties. Cela n'empêche pas que ce divin cautère n'exerce sa vertu sur l'âme toute blessée et toute guérie ; car il adoucit ses plaies, il la réjouit en sa guérison, de la manière que nous l'avons expliqué. C'est pourquoi elle s'écrie : O plaie délicieuse !
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Aussi est-elle d'autant plus douce et plus délicieuse, qu'elle vient d'un feu d'amour plus sublime et plus émirent. C'est le Saint-Esprit qui en est l'auteur, qui la fait, afin que l'âme soit abîmée dans une mer de délices. O heureuse plaie, puisque la même main qui te fait te guérit ! O plaie agréable, puisque tu ne causes à l'âme que des plaisirs inconcevables ! Tu es extrêmement grande, parce que celui qui te fait est infini ; les joies que tu répands dans l'âme sont sans bornes, parce que le feu de l'amour divin est sans limites. Donc, ô plaie délicate, et d'autant plus excellemment délicate, que tu descends plus profondément dans le centre de l'âme, afin que ce feu sacré remplisse d'ardeur et de plaisir toute sa substance et toutes ses puissances ! On peut dire après cela que ce cautère et cette plaie sont le plus haut degré d'amour où l'on puisse monter en cet état. Il y en a néanmoins
plusieurs autres, qui n'ont rien de si relevé ni de semblable à celui-ci. Car c'est Dieu même qui s'écoule dans l'âme et qui la touche, sans user des fantômes que l'imagination peut former.
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Il y a encore une autre manière très-sublime d'enflammer l’âme : c'est lorsqu'un amour très ardent et tout séraphique la transperce d'une flèche de fou, ou la brûle d'un charbon allumé, ou, pour mieux dire, lui applique ce cautère et cette flamme si noble et si excellente. Alors, comme la flamme d'une fournaise s'élève en haut et le feu devient plus ardent, lorsqu'on remue le bois qui l'entretient ; de même quand l'âme est ainsi pénétrée, la flamme de cet amour sort et monte en haut avec impétuosité, et l'âme sent sa plaie avec un plaisir qui surpasse nos pensées et nos expressions.
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Car elle est tout émue avec un agrément admirable. Ces mouvements vifs et délicieux passent jusqu'au centre le plus profond de l'âme, et lui causent une joie inexplicable, qui va toujours se répandant avec de nouveaux accroissements, comme un feu qui s'est pris à une forêt va toujours s'étendant jusqu'à ce qu'il ait brûlé tout le bois qu'il rencontre. Je puis ajouter que ce que l'âme expérimente alors se peut comparer, comme le royaume du ciel, au sénevé dont le Fils de Dieu parle dans l'Évangile :
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Le royaume du ciel, dit-il, est semblable au grain de sénevé qu'un homme a semé dans son champ. Il n'y a point de grain si petit que celui-là ; néanmoins quand il est crû, il est plus grand que tous les légumes, et il devient un arbre, de sorte que les oiseaux se viennent loger sur ses branches ( Matth., XIII, 31, 32).
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En effet, l'âme s'aperçoit que ce feu croit sans cesse, et devient enfin si grand, qu'elle n'est plus elle-même qu'un vaste feu d'amour et qu'un embrasement universel. Quoique peu de personnes en viennent là, toutefois quelques-uns y sont arrivés, surtout ceux que Dieu a choisis pour être des pères spirituels de plusieurs enfants, auxquels ils doivent laisser en partage leurs vertus et leur esprit. Il leur donne, comme chefs, toutes les richesses divines qui doivent passer comme leur succession dans leur famille et dans leur postérité.
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Mais pour revenir à l'opération de ce Séraphin, je dis qu'elle consiste à percer l'âme et à lui faire des plaies. De sorte que si Dieu permet quelquefois que quelques-uns de ses effets paraissent dans les sens corporels, la plaie s'ouvre extérieurement à proportion de la blessure que ce Séraphin a faite intérieurement. Ainsi le Séraphin qui avait blessé des flèches de l'amour divin saint François d’Assise, lui marqua de plaies extérieures les pieds, les mains et le cœur.
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Car jamais Dieu n'accorde ces dons au corps, qu'il ne les ait faits auparavant à l'âme.
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Alors plus la délectation et la violence de l'amour qui blesse l'âme sont grandes, plus la douleur qui naît des plaies extérieures est aiguë et véhémente, celle-ci croissant à mesure que les autres s'augmentent.
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La raison en est que, quand l'âme est purifiée et devenue plus forte pour soutenir l'impression de Dieu, son esprit, qui est aussi et plus fort et plus sain, met toute sa consolation dans la force et dans la douceur de l'esprit de Dieu ; mais en même temps ces deux esprits, le divin et l'humain, causent une excessive douleur à la chair, parce qu'elle est faible et sujette à la corruption.
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Si bien que c'est une chose merveilleuse de voit naître la douleur du plaisir, et de trouver l'amertume de l'une dans la douceur de l'autre.
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Job a connu ce miracle par sa propre expérience, lorsque, tout couvert d'ulcères, il disait à Dieu :
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C'est en effet un grand prodige, et une chose digne de la libéralité de Dieu, et de la douceur qu'il réserve à ceux qui le craignent ( Psal., XXX, 20.).
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Car plus les douleurs sont vives, plus les délices intérieures sont tendres. O grandeur immense de mon Dieu, qui fait paraître sa puissance incompréhensible ! Car enfin, Seigneur, qui peut, sinon vous, tirer la douceur de l'amertume, et le plaisir des souffrances ?
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Donc, ô plaie délicieuse ! puisque tu donnes d'autant plus de plaisir que tu croîs davantage.
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Mais lorsque la plaie est dans l'âme seule et ne paraît point au dehors, elle est plus violente et plus profonde. Car la chair empêche l'esprit d'agir et éteint la vivacité de ses opérations, suivant le sentiment du Sage :
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Le corps qui se corrompt, dit-il, appesantit l'âme, et l'usage de la vie corporelle étouffe l'esprit, quand il s'efforce de comprendre plusieurs choses ( Sag., IX, 15).
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Si bien que celui qui s'attache trop à ses sens extérieurs et intérieurs, ne deviendra jamais fort spirituel. Je dis ceci pour les personnes qui s'imaginent qu'elles acquerront les forces et la sublimité de l'esprit par les opérations et les efforts d'un sens si vil, si bas et si faible. On ne va pas à ce terme, et on n'entre pas dans l'intérieur, lorsque les sens se mêlent dans cet ouvrage. Il faut les exclure et les tenir à la porte, sans leur donner entrée.
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Ce n'est pas en effet la même chose que si l'esprit faisait rejaillir ses affections et ses opérations sur les sens. Car alors l'esprit exerce sa force sur l corps, comme on le voit en saint Paul, qui sentit dans la chair même les douleurs de Jésus souffrant :
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C'est pourquoi la main est douce comme la plaie qu'elle fait ; et celui qui fait un attouchement si délicieux est très-agréable.
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LES ENTRAILLES DE LA MISÉRICORDE
Dans la même ligne que ZACHARIE un pas de plus est fait pas le prophète DANIEL quand la figure Céleste du Fils de l'homme commence déjà à se distinguer, au sein même de la sphère divine du ciel, de Celui qui est l'Ancien des jours, le Père.
Nous sommes déjà dans la préfiguration la plus immédiate du Mystère du Fils revêtu du dessein concernant l'homme :
«Je contemplais dans les visions de la nuit, voici donnant sur du ciel comme un Fils d'homme. Il s'avança jusqu'à l'Ancien des jours et il fut conduit en sa présence. À lui fut conféré empire, honneur et royaume et tous peuples, nations et langues le servirent. Son empire est un empire éternel qui ne passera pas et son royaume ne sera point détruit» DANIEL 7, 13-14
Cette forme humaine que le Fils d'homme porte au cœur même de DIEU indique à quel point l'homme est lié au Nom même de DIEU. DIEU a engagé son mystère le plus personnel, son Nom, à son dessein d'amour pour l'homme.
Cela nous donne une idée de la vulnérabilité de l'amour de DIEU dans ce dessein.
Cette vulnérabilité est déjà exprimée dans l'Ancien testament d'une manière très belle en coupe de passage particulièrement émouvant :
«SION avait dit : le Seigneur m'a abandonnée, le Seigneur m'a oubliée. Une femme oublie-t-elle son petit enfant, est-elle sans pitié pour le fils de ses entrailles ? Même si les femmes oubliaient, moi je ne t'oublierai pas. Vois, je t'ai gravée sur les paumes de mes mains» ISAÏE 49, 14-16
JE T'AI GRAVÉE SUR LES PAUMES DE MES MAINS :
c'est une image que les Pères de l'Église ont employée pour les stigmates du CHRIST, pour les trous des clous dans sa chair. Je t'ai gravée sur les paumes de mes mains cela a été vrai jusqu'à sa concrétisation extrême de la CROIX. Cette expression sémitique veut dire que ce que l'on porte gravé sur la paume de la main vous touche personnellement. La fiancée du CANTIQUE DES CANTIQUES dit aussi :
L'aimée est portée gravée dans ce qui est infiniment vulnérable, la paume de la main. Ici aussi se dévoile déjà le Mystère de l'Agneau.
JEAN-MICHEL GARRIGUES, théologien
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13ème SIÈCLE
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SAINT FRANÇOIS D'ASSISE, fondateur, franciscain, plaies mains, pieds et côté droit, +1226
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Bienheureux DODON DE HASKE (DODON DE HASCHA), ermite prémontré, plaies pieds, mains et côté droit +1231
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Frère BOLAND, prieur des dominicains de Strasbourg +1237
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MARTYR DE CANTIMPRE, plaie au côté
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STIGMATISÉE DU BRABANT, plaie au côté
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Bienheureuse MARGUERITE D'YPRES, tertiaire dominicaine, +1237
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FRÈRE ALLEMAND, dominicain
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ÉLISABETH DE SPALBECK D'HERKENRODE, cistercienne, plaies mains, pieds, côté, couronne d'épines et larmes de sang, +1250
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Bienheureuse JUTTA DE SANGERHAUSEN, recluse, larmes de sang, +1260
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WALTHER, prêtre dominicain, stigmates, +1264
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BÉATRIX DE NAZARETH, cisterciennne, plaies mains, pieds et côté, née en +1268
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CATHERINE PÉREZ DE CARVALHO, cistercienne, plaies aux pieds, côté
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Bienheureuse ILONA DE HONGRIE, dominicaine, +1270
CORPS INCORROMPU
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Bienheureuse INGRID ELOFSDOTTER (CHRISTINE DE STUMBELE), dominicaine, plaies mains, pieds, couronne d'épines, côté, +1282
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Bienheureuse MARGUERITE COLONNA, clarisse, plaie côté, +1284
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HÉLÈNE BRUSMIN, dominicaine, +1285
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GERTRUDE DE BRUCH, dominicaine
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AGNÈS DE BLOTZENHEIM, dominicaine
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HÉLÈNE BRUMIN, dominicaine, +1285
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GRUNBURG DE KASTELBERG, dominicaine, plaies mains, pieds et côté
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LUGGI LÖRSCHERIN, dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté, - ?
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AGNÈS DE NORDERA, dominicaine, douleurs stigmatiques
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ADELAÏDE DE BREISACH, dominicaine, douleurs stigmatiques
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GÜTE TUSCHELINN, dominicaine, douleurs stigmatiques
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GERTRUDE KÜCHLIN, dominicaine, douleurs stigmatiques
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CORPS INCORROMPUen 1371
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Bienheureuse BENVENUTA BOJANIS, dominicaine, larmes de sang,
+1292
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sainte MARGUERITE DE CORTONE, tertiaire franciscaine, stigmates, +1297
CORPS INCORROMPU
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Sainte MECHTILDE DE STANZ, dominicaine, plaie côté +1298
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Sainte MECHTILDE DE HACKEBORN, bénédictine, +1298
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14ème SIÈCLE
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Bienheureuse IDA DE LOUVAIN, cistercienne, traces mains, pieds et plaies côté et couronne d'épines +1300
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Sainte GERTRUDE D'HELFTA, bénédictine, +1302
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Bienheureuse JEANNE D'ORVIETO, tertiaire dominicaine, plaie côté post mortem +1306
CORPS INCORROMPU
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Bienheureuse ANGÈLE DE FOLIGNO, franciscaine, +1309
INÉDIQUE
AGRYPNIE
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Bienheureuse LUKARDIS VON OBERWEIMAR,cistercienne, plaies mains, pieds, côté gauche, couronne d'épines, flagellation +1309
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Bienheureuse CHRISTINE DE STUMBELE, plaies mains, pieds et côté, couronne d'épine, sueur de sang, +1312
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ANNE DE MUNZNGEN, dominicaine, +1318
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Bienheureuse MARGUERITE DE CITTA DI CASTELLO ou DE TIFERNE, tertiaire dominicaine +1320 CORPS INCORRROMPU
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ÉLISABETH D'EYCKEN, dominicaine, stigmate cœur et couronnement d'épines
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Saint ROCH, plaie au côté, +1327 ?
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Bienheureuse MARGUERITE DE FAENZA, vallombreuse, stigmates mains et pieds, +1330
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Bienheureuse FLORE DE MAURS (CORBIE), ordre Saint Jean de Jérusalem, plaies pieds, côté, +1347
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SOPHIE DE KLINGNAU, dominicaine, +1350
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Bienheureuse MARGUERITE EBNER, dominicaine, stigmates, +1351
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AGNÈS DE BAVIÈRE, clarisse, plaies mains et pieds, +1351
CORPS INCORROMPU
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Bienheureuse MICHELINE MITELLI DE PESARO, tertiaire franciscaine, plaies mains, pieds, côté, +1356
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Bienheureuse GERTRUDE VAN OOSTEN, béguine, plaies mains, pieds, côté, +1358
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CORPS INCORRROMPU
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PHILIPPE D'AIX, franciscain, plaies mains, pieds, côté, +1369
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Sainte CATHERINE DE SIENNE, dominicaine, docteur de l’Église, stigmates post mortem+1380
AGRYPNIE :elle n'aurait dormi qu'une demi-heure tous les trois jours.
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BRIGIDE DE HOLLANDE, dominicaine, plaies mains et aux pieds, +1390
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GIOVANNADA VERCELLI, dominicaine, plaies mains, pieds, côté, +1390
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Bienheureuse DOROTHÉA VON MONTAU recluse, plaies mains, pieds, côté, +1394
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NICOLA DA RAVENNA, prêtre dominicain stigmates apparus post mortem, +1398
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15ème SIÈCLE
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Bienheureuse ÉLISABETH ACHLER (ÉLISABETH BONA DE REUTE) «LA BONNE BETHA», recluse tertiaire franciscaine, plaies mains, pieds, côté, couronne d'épines, flagellation, +1420
CORPS INCORROMPU
AGRYPNIE
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LUCIE DE NORCIE, tertiaire franciscaine, plaie côté, +1430
CORPS INCORROMPU
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Bienheureux ROBERTO MALATESTA, laïque, plaies mains, pieds et côté, +1432
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Sainte LYDWINE DE SCHIEDAM, plaies mains, pieds, cœur, couronne d'épines, +1433
INÉDIQUE
AGRYPNIE :n'aurait dormi que quelques heures en trente ans
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Bienheureuse JULIENNE DE BOLOGNE, plaie côté, +1435
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SainteFRANÇOISE ROMAINE, fondatrice des Oblates de Saint Benoît, plaie côté ?, aux mains et aux pieds ?+1440
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MARIA DI MASSA, clarisse, couronne d'épines, +1440
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STIVA DE HAM, stigmates
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Sainte COLETTE DE CORBIE, , BOYLET ou BOËLET, recluse, +1447
INÉDIQUE
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Sainte RITA DE CASCIA, augustinienne, plaie au front (couronne d'épines), +1457
CORPS INCORROMPU
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MAGDALENA BEÜTTLER, clarisse, plaies mains et pieds, +1458
INÉDIQUE
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LUC DE PONTECORVO, dominicain, plaie au côté post mortem +1460
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STIGMATISE ANONYME +1462
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CHRISTOPHE CRIVELLI, franciscain, +1467 CORPS INCORROMPU
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FRANÇOISE DE PÉROUSE, clarisse, +1468
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CHRISTINE (STIVA) VON HAMM, clarisse, stigmates, 1468
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Bienheureux MATTHIEU CARRERI, dominicain, plaie au côté, +1470
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Bienheureux UGOLIN DE MANTOUE, augustinien, plaie au côté post mortem , +1471
CORPS INCORROMPU
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PIERONEHERGOD, recluse, tertiaire franciscaine, marques aux mains, +1472
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GABRIELLA DE PIZZOLI, clarisse, plaie au côté, +1472
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CORPS INCORROMPU
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MARIE DO AÏOFRIN, moniale hiéronymite, plaie aux mains et aux pieds +1489
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Sainte VÉRONIQUE DE BINASCO, augustine +1497
INÉDIQUE
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16ème SIÈCLE
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Bienheureuse MADDALENA DE PANATTIERI dite de TRINO, tertiaire dominicaine, plaies mains, pieds, côté, flagellation, couronne d'épines, larmes de sang, +1503 |
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Bienheureuse OSANNA ANDREASI DE MANTOUE, tertiaire dominicaine, plaies mains, pieds, côté, couronne d'épines +1505 CORPS INCORROMPU |
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JEANNE RODRIGUEZ, clarisse, stigmates +1505 |
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MARIE DE TOLÈDE, clarisse +1507 |
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Bienheureuse CÉCILE DE FERRARE, dominicaine, stigmates +1507 |
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MARGARETHE BRUCH D'EINDRINHEN, tertiaire franciscaine, stigmates +1507 |
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ISABEL DE SANTIAGO, franciscaine, plaie au côté +1510 |
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ÉLISABETH DE SAINT-JACQUES, franciscaine, plaie côté +1510 |
Sainte CATHERINE DE GÊNES (CATERINA FIESCHI ADORNO), tertiaire franciscaine +1510
CORPS INCORROMPU
INÉDIQUE |
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CHIARA BUGNI, clarisse, plaies aux mains, pieds et côté +1514 |
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MARIE DE SAINT-DOMINIQUE, stigmates +1515 |
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VINCENCE FERRER, tertiaire dominicaine, couronnement d'épines +1515 |
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COLUMBA ROCAZANI, tertiaire dominicaine, stigmates plaies aux mains, pieds et côté +1517 |
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FRANÇOISE GEREA, franciscaine +1520 |
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FRANÇOISE GARGANI, dominicaine +1521 |
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MARIA DE SAN DOMINGO, tertiaire dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté +1524 |
Bienheureuse BATTISTA VARANI, clarisse +1524 |
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ARCANGELA PANIGALORA, augustine, plaies aux mains, pieds et côté +1525 |
CATERINA BRUGORA, bénédictine, plaies aux mains, pieds et côté gauche,couronne d'épines +1529 |
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Bienheureuse STEFANA QUINZANI, tertiaire dominicaine, plaies aux mains et aux pieds, couronne d'épines, pleurs et sueurs de sang +1530
INÉDIQUE |
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JUANA DE LA CRUZ (JUANA VASQUEZ GUTIERREZ), franciscaine, plaies aux mains et aux pieds +1534
CORPS INCORROMPU |
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INFA SCOLARO, bénédictine, plaies aux mains et aux pieds, côté +1540 |
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LUCIDA ROMAINE, franciscaine +1542 |
Bienheureuse CHRISTINE D'AQUILA (CRISTINA CICARELLI), augustine, plaies couronne d'épine +1543
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Bienheureuse LUCIA DE NARNI (BROCADELLI), dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté, dominicaine +1547
CORPS INCORROMPU |
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bienheureuse PHILIPPA DE GUELDRE, clarisse +1547 |
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Bienheureuse CATHERINE DE RACCONIGI (CATHERINE DE MATHOEIS), tertiaire dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté, couronne d'épines, +1547
CORPS INCORROMPU
INÉDIQUE |
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SAINT GAETANO DE THIENNE, fondateur des clercs réguliers théatins, stigmate côté +1547
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Saint JEAN DE DIEU, stigmates couronne d'épines +1550
CORPS INCORROMPU |
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DOMINICA DAL PARADISO (DOMINICA NARDUCCI), tertiaire dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté, stigmates couronne d'épines +1553 CORPS INCORROMPU INÉDIQUE
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MARGHERITA, religieuse à Spolète, plaies aux mains, pieds et côté, +1556 |
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MAGDALENA DE LA CRUZ, franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1560 |
Bienheureux JEAN MARINON, clerc régulier, +1562
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APOLLONIE PIGHINESI, clarisse +1563 |
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MARIE DE LA COURONNE (BLANCHE GUSMANN ), dominicaine +1564 |
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ANNE DE VARGAS, dominicaine , stigmates mains, pieds et côté +? |
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ISABELLE RODRIGUEZ, dominicaine +? |
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ISABELLE DE MORAES, dominicaine +? |
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MARIE DE SAINT GEORGES, dominicaine, +1570 |
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ANONYME DE BOLOGNE, dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté +1572 |
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Vénérable MARIE DE MENDOZA, dominicaine +1575 |
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Vénérable GUIOMAR DE SOUZA, dominicain +1578 |
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GASPAR DE LOARTE, jésuite +1578 |
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JEAN GRAY, franciscain, plaies aux pieds +1579 |
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MADELEINE-ANGELE-RAPHAËL DE LORCA, tertiaire dominicaine +1580 |
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ANTONIA DE SAN JUAN (ANA DE MEDINA), augustine, couronne d'épines +1580 CORPS INCORROMPU |
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ANNE DE CHAGAS, clarisse +1580 |
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Sainte THERESE DE JÉSUS D'AVILA carmélite, Docteur de l’Église, plaie aux pieds, côté +1582 |
Bienheureux NICOLAS FACTOR, prêtre franciscain +1583 |
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FRANÇOISE DE SAINT DOMINIQUE, dominicaine +1583 |
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NYMPHIA SCHOLARA, minimes +1584 |
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JÉRONYMA CARVALHO, dominicaine, plaies mains, pieds, côté +1585 |
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CATHERINE DE JÉSUS, carmélite déchaussée, couronne d'épines +1586 |
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RANIERO DU BORGO-SAN-SEPOLCRO (RANIERO SFALDELLI), laïc capucin +1589 |
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BRIOLANGA DE SAINTE-CLAIRE, franciscaine +1590 |
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LUC DE METHYMNE DE CAMPO, franciscain +1590 |
Sainte CATHERINE DE RICCI, dominicaine, plaies mains, pieds, côté, couronne d'épines, flagellation, plaie à l'épaule +1591
CORPS INCORROMPU |
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Saint ALFONSO DE OROZCO, prêtre augustin, marques aux pieds découvertes post mortem +1591 |
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Saint JEAN DE LA CROIX, carme, Docteur de l’Église +1591
CORPS INCORROMPU |
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JEANNE DE JÉSUS, franciscaine +1591 |
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DOMITILLA DI PIERO COPPINI, dominicaine +1591 |
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FÉLIPE DE BARCELONA, franciscain, marque aux mains et aux pieds +1591 |
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CATHERINE ARIAS, dominicaine +1595 |
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Vénérable JEAN CHARLES DE PAS (Frère ANGE), franciscain +1596 |
SAINT ALPHONSE RODRIGUEZ, Compagnie de Jésus +1597 |
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ARCHANGÈLA TARDERA, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1598 CORPS INCORROMPU |
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JEAN DE SANCTIS, franciscain +1599 |
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ISABELLE BARILIS, théatine +? |
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CHÉRUBIN D'AVILIANA, augustinien, Plaie côté +? |
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MELCHIOR D'ARAZIL, Plaie côté +? |
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MARIA RAGGI, tertiaire dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté, couronne d'épines, +1600 CORPS INCORROMPU |
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FRANÇOISE DE SERRONE, tertiaire franciscaine, plaie côté +1600 INÉDIQUE |
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ANNE DE L'ASSOMPTION, clarisse, +1600 |
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ISABELLE DE LA PIÉTÉ, dominicaine, +1600 |
MARGARITA AGULLONA, séculière, plaie au côté, +1600
CORPS INCORROMPU
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MARIA DE LA VISITACION, dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté, couronne d'épines +1600 |
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17ème SIECLE
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MELCHOR DE ARAZIL, augustin, plaie au côté post mortem +1601
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BÉNÉDETTO DA REGGIO, capucin, couronnement d'épines +1602
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FRANCISCO DE CASTRO, ermite de Saint augustin réformé, marques de la flagellation +1603
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BÉATRIZ DE ROVELLEDO, tertiaire franciscaine, couronne d'épines ? +1605
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MARIE-MADELEINE DES URSINS, dominicaine +1605
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ALFONSINA RISPOLI, tertiaire franciscaine, plaies aux mains et aux pieds, flagellation et couronne d'épines +1606 ?
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FRANÇOISE DE JÉSUS, carmélite, épaules +1607
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FRANÇOISE DE SERRONE (MADDALENA DEL TRIGLIO), tertiaire franciscaine +1607
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Sainte MARIE-MADELEINE DE PAZZI, carmélite, couronne d'épines +1607
CORPS INCORROMPU
INÉDIQUE
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Vénérable PRUDENTIENNE ZAGNONI, tertiaire franciscaine +1608
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ISABELLE DE SAN-MIGUEL, franciscaine +1608
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DIOMIRA BINI, tertiaire franciscaine +1608
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Sœur ARCHANGÈLE, tertiaire franciscaine, plaies mains, pieds et côté +1608
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URSULA AGUIR (DE VALENCE), tertiaire dominicaine, plaies aux mains et aux pieds et côté +1608
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BONAVENTURA SCIASCIA, franciscain, larmes de sang +1608
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LÉONA ZAGNONI, tertiaire franciscaine, plaies aux mains et aux pieds, couronne d'épines +1609
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MARIANA DE CORDOBA, augustine, plaies aux mains, pieds et côté +1609
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MARIA D’AZEVEDO, bénédictine, plaie au côté +1610
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MARIE DE SAINT FRANÇOIS, dominicaine +1611
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JEANNE DE CESPÉDES, dominicaine,
LOUISE DE CARVAJAL +1614 |
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Bienheureuse Mère PASSIDÉE DE SIENNE (PASSITEA CROGI), capucine, plaies aux mains, pieds et côté, couronne d'épines +1615
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MADELEINE CARAFFA, dominicaine +1615
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MARIA DA SMA TRINIDAD, augustine, plaie au coté +1616/17 ?
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ANTOINE DE LA PARRA, dominicain +1617
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ANNE FAULHABERIN, tertiaire +1617
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Bienheureuse MARIE DE l'INCARNATION AVRILLOT (Madame ACARIE), carmélite, mains, pieds, côté, couronne d'épines +1618
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Bienheureuse URSOLA BENINCASA, fondatrice des Sœurs Téatines de l'Immaculée Conception de la Vierge Marie, plaies aux mains, +1618
CORPS INCORROMPU
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CATHERINE CIAULINA, tertiaire franciscaine +1619
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PAOLO RETTIGNI, prêtre dominicain, larmes de sang +1618/1620 ?
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PRUDENCE RASCONI, dominicaine, plaie au côté +1620
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CATHERINE GENTILE, dominicaine +1620
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INÈS DE JÉSUS DE CASANATE, carmélite déchaussée, couronne d'épines +1620
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MARIANA DE JÉSUS TAPIES, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté +1620
CORPS INCORROMPU
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LÉONARD DE LETTERÉ, dominicain, plaie au coté +1621
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GIOVANNI LÉONARDO PUSCO, dominicain, plaie au coeur post mortem
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AGUÉDA DE LA CRUZ, tertiaire dominicaine, plaies aux mains et aux pieds, couronne d'épines +1621
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ANA DE JÉSUS DE LOBERA, carmélite déchaussée, marques aux mains, larmes de sang +1621
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FRANÇOISE ANTONIA MASCONI, tertiaire franciscaine, plaie au côté +1621
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BÉATRIZ DEL SANTISIMO SACRAMENTO, clarisse, plaie au côté +1622
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JUANA GODOY, tertiaire franciscaine, plaies aux mains et aux pieds +1622
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Vénérable FRANCISCA-DOROTÉA DE VILLADA, dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté +1623
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HIPPOLITA DE JÉSUS (ISABEL DALMAU DE ROCABERTI), dominicaine, couronne d'épines +1624
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THÉODORE DE BERGAME, prêtre capucin, plaies aux mains et aux pieds +1625
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Bienheureuse ANNE DE SAINT-BARTHÉLÉMY, carmélite, +1626
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MARIE-CLÉMENCE DE MOURADE, visitandine, marques de la flagellation +1627
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LOUISE DE JÉSUS, carmélite déchaussée, marques couronne d'épines +1628
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CATHERINE DE GAUMER, ursuline, côté +1628
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FRANCISCA DEL SACRAMENTO DE BINUESA, carmélite déchaussée, stigmates ? +1629
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DIANA MAGIACCO, séculière, plaies mains, pieds, côté +1629
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FRANÇOISE FÉDERICI, tertiaire franciscaine +1630
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MARIA DE JÉSUS MARTIN, augustine déchaussée, marques de la couronne d'épines +1631
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LOUISE BOURGEAT, dominicaine +1631
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MARIA DO LADO DO RÉGO, franciscaine, plaie au côté, marques des liens aux mains, pieds et cou, couronne d'épines, apparus post mortem +1632
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ANA MARIA DE SAN JOSÉ, clarisse, plaies aux mains et aux pieds +1632
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SUZANNE DE RICHON, ursuline, stigmates aux mains et aux pieds apparus post mortem +1633
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MARINA DE ESCOBAR, recluse, plaies aux mains, pieds et côté +1633
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CATALINA DE JÉSUS, augustine déchaussée, plaies aux mains, pieds et côté +1634
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PAOLA DE SAN-TOMMASO, tertiaire dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté +1634
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BienheureuseAGNÈS DE JESUS GALAND (AGNÈS DE JÉSUS DE LANGEAC) , dominicaine, plaies aux mains, pieds et côtés,couronne d'épines +1634
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MARIA DE LA FÉMANRIQUE DE LARA, augustine récollette, plaie au côté +1635
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JAQUETTE DE BACHELIER, tertiaire franciscaine, stigmates +1635
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MARIE DE BLONDEAU, tertiaire dominicaine, stigmate +1635
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MARTINA DE LOS ANGELÈS, dominicaine, plaies mains, pieds, côté +1635
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MARIE GRANGER, bénédictine, soulèvement des côtes, plaie au côté ? Couronne d'épines +1636
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ISABEL DE MÉDINA, tertiaire franciscaine, couronne d'épines +1636
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LOUISA DE LA ASCENSION COLMENARES (MONJA DE CARRION), clarisse, plaies aux mains, pieds et côtés +1636
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FELICITA SALVATI, vierge séculière, plaies aux mains, pieds et côtés,couronne d'épines +1637
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JACQUELINE DU SAINT-ESPRIT, dominicaine, plaies mains, pieds, côté, flagellation et couronne d'épines +1638
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MARIANA DE MANZANEDO HERRERA (MARIANA DE SAINT JOSEPH), augustin +1638
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HUMBLE DE PETRALIA SOPRANA , franciscain, mains, pieds, yeux et couronne d'épines +1639
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ONOFRIO DE FIAMENGA, franciscain, plaie au côté post mortem, +1639
CORPS INCORROMPU
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Sainte HYACINTHE DE MARISCOTTIS, clarisse, +1640
CORPS INCORROMPU
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JOANA DA SANTISIMA, augustine, plaie au côté +1640
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ASIA LA MAURESSE, séculière, stigmates +1640
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Bienheureuse MARIA DI GESU (LOPEZ DE RIVAS), carmélite, plaies mains, pieds, côté et couronne d'épines +1640
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LODOVICA PLAZZA, tertiaire franciscaine, plaie au côté +1641
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DÉLICIA DI GIOVANNI, dominicaine, plaies aux mains, pieds et côtés, couronne d'épines, marques de la flagellation +1642
CORPS INCORROMPU
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CHARLOTTE DE LA MÈRE DE DIEU, ursuline, couronne d'épines +1642
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MARIA LUISA DEL SALVADOR, augustine récollette, couronne d'épines, larmes de sang +1642
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TÉRÉSA DE JÉSUS CISTERNES, augustine déchaussée, couronne d'épines +1642
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ANA DE SAN JOSÉ(ISABEL DE TORRES), carmélite déchaussée, plaies aux mains, pieds, côté, couronne d'épines +1643
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DOMINGO DA CUNHA, coadjuteur jésuite, marques aux mains +1644
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CATERINA PALUZZI, dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté +1645
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MARIA BÉNÉDETTA ROSSI, moniale service de Marie, plaies aux mains, pieds et côtés + 1645
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CATHERINE DE SAINT-LUC, dominicaine, plaie au pied post mortem +1647
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Vénérable MARGUERITE PARIGOT (MARGUERITE DU SAINT-SACREMENT) , carmélite déchaussée, couronne d'épines, marques des liens +1648
INÉDIQUE
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ISABEL DE JÉSUS JIMMENEZ, augustine récollette, plaies à l'épaule et aux genoux +1648
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CATHERINE DE SAINT PIERRE MARTYR (LUCIE GONZALES), mains, pieds, côté, couronne d'épines +1648
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Mère GERMAINE THIERCELIN DE LA NATIVITE +1949
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JOANA DA SANTÉSIMA TRINIDADE, augustine, plaie au côté +1648/1649
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MARIE DE SAINTE-BARBE, ursuline, +1649
ÉTIENNETTE GUYOT, ursuline +1649 |
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CHRISTINE-MARIE DE LA CROIX, tertiaire franciscaine +1650
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JUANA DE JÉSUS MARIA (RODRIGUEZ), clarisse, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines +1650
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MARIA ANA DE SAN MIGUEL (ANA TINOCO DE BOLANOS), augustine, couronne d'épines +1651
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INÈS DE LA CRUZ, augustine, plaie au côté +1651
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FRANÇOISE-CLAIRE DE SAINT LIVINO (LYDWINE SANDERS), pénitente récollette, saignements aux mains et aux pieds +1652
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THÉRÈSEDE JÉSUS (ANNA MARIA MARCHOCKA), carmélite déchaussée, plaies aux mains et aux pieds +1652
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MARIE-AMICE PICARD, séculière, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines +1652
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ÉLÉONORE THÉPAUT, laïque, couronned'épines +1652
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CATHERINE DE CHASTELARD, ursuline +1652
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Soeur BARBE N., bénédictine, plaie au côté +1652/53
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ANNE-MARIE DE GOULAINE, calvairienne, plaies aux mains, pieds et côté +1653
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FRANÇOISEDE MARSILLAT, ursuline. Mains, pieds, côté +1653
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FÉLICE SCRIGNANO, tertiaire dominicaine, plaie au côté +1655
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COLOMBA (VIRGINIATOFANONI), tertiaire franciscaine, mains, pieds, couronne d'épines +1655
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RAYMOND ROCCO, dominicain +1655
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CÉCILE NOBILI, converse clarisse, marques aux pieds, blessure au coeur, découvertes post mortem +1655
CORPS INCORROMPU
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ANTOINETTE DE SAINT IGNACE (ANTOINETTE MIET), ursuline, couronne d'épines +1657
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Vénérable PAOLA DI SANTA TÉRÉSA, dominicaine +1657
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Vénérable JEAN-JACQUES OLLIER, prêtre, Fondateur de l'ordre des Sulpiciens +1657
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MARIE-MARGUERITE DES ANGES, carmélite déchaussée, plaies aux pieds +1658
CORPS INCORROMPU |
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MARIE-BÉNIGNE PEPE, dominicaine +1658
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MARIA VITTORIA ANGÉLINI, servite de Marie, plaie au côté +1659
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MARIA DE LA SANTISIMA TRINIDAD, tertiaire dominicaine, couronne d'épines, +1660
CORPS INCORROMPU
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BÉNÉDETTA CARLINI, théatine, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines +1661
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MARIE-MARGUERITE CLÉMENT, visitandine +1661
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ANGÉLA DELLA PACE, tertiaire dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté +1662
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PRUDENZIA ZAGNONI, clarisse, plaie à l'épaule, marques aux mains +1662
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JULIEN DE LA CROIX, prêtre carme déchaux, marques aux pieds et au côté +1663
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ROSANNA BATTISTA, clarisse, plaie au côté +1663
CORPS INCORROMPU
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MARIA-ANGIOLA GINI, clarisse, plaie au côté +1664
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JEAN-JOSEPH SURIN, prêtre Compagie de Jésus +1665 | |
URSULA DE LA SANTÉSIMA TRINIDAD, augustine, plaie au côté +1666
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THÉRÈSE DE LA MÈRE DE DIEU (THÉRÈSEMONTGOLFIER), ursuline +1666
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JEANNE BRUNEL, ursuline +1667
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CATHERINE DANIELOU, laïque, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines +1667
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AGATHE-MARIE DU SAINT-SACREMENT, Institut du Saint Sacrement +1668
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JEANNE DES ANGES (JEANNE BRUNEL), ursuline +1669
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FILIPA DE SAO TOME, dominicaine, plaies aux mains, pieds, côté et marques de la couronne d'épines apparues post-mortem +1669
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Saint CHARLES DE SEZE(CARLO MELCHIORI), laïc franciscain, plaie au côté +1670 CORPS INCORROMPU
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Bienheureuse GIOVANNA MARIA BONOMO, bénédictine, plaies aux mains, pieds, côté et marques de la flagellation +1670 | |
Vénérable MARIA VILLANI, dominicaine, plaie au côté +1670 INÉDIQUE
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FRANCESCA MARIA FURIA, tertiaire dominicaine, couronne d'épines +1670
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MARIA DOMITILLA GALLUZZI (SEVERETTA GALLUZZI), capucine, plaies aux mains, pieds, côté, couronne d'épines, et marques de la flagellation +1671
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ARMELLE NICOLAS, laïque, larmes de sang +1671
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GIOVANNA MARIA DELLA CROCE (BERNARDINA FLORIANI), clarisse, plaie au côté, couronne d'épines, marques à une main et un pied +1673
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THÉRÈSEDE LA CROIX, dominicaine
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MARIE PARET, tertaire dominicaine +1674
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MARIE DE LA PURIFICATION, ursuline, marques aux mains et aux pieds +1675
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JEANNE-MARIE PINCZON DE CACE (JEANNE DU HOUX), veuve agrégée à la visitation, couronne d'épines +1677
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Vénérable MARIA MARGHERITA DEL VERBO INCARNATO (DIOMIRA ALLEGRI), augustine, plaies aux mains, pieds et côté +1677 |
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MARIE DE LA CROIX (MARIE DE ROSSET) +1679
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Bienheureuse BRIGIDA DI GÉSU MORELLO, ursuline, effusions sanguines au côté +1679 | |
MARIE DE SAINTE ANNE, dominicaine +1681
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MARIA DE JÉSUS, augustine, plaies aux mains, pieds et côté apparues post mortem +1683
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DANIÈLE ANGÉLO CONTI, dominicain, plaies aux mains, pieds et côté +1683
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ANNE-SÉRAPHINE BOULIER, visitandine, plaies mains, pieds, côté post mortem +1683
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DANIEL SICHTEN, prêtre jésuite, marque au côté post mortem +1684
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MARIE OCK, tertiaire carmélite, plaies aux mains, pieds, côté, marques de la flagellation et de la couronne d'épine +1684
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Mère MARIE ANGÉLIQUE DE LA PROVIDENCE, carmélite, trace côté +1685 ANGES |
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MARIE DE SAINT JACQUES, dominicaine +1688
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MARIA DI SANTIAGO, tertiaire dominicaine +1688
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MARIE ANGÉLIQUE DE LA GRAVE, visitandine +1689
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JEANNE HERMON DE PEUPRAT +1690
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MARIA DE LA SANTISIMA TRINIDAD, augustine, plaies aux mains, pieds et côté +1690
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Sainte MARGUERITE-MARIE ALACOQUE, visitandine +1690
CORPS INCORROMPU
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MARIA ISABEL DE JÉSUS, augustine, plaies aux mains, pieds et côté +1691
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ROSA DEL SPIRITO SANCTO (BEATRICE CARACCIOLO), augustine, plaies aux mains et aux pieds +1691
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CATERNA SAVELLI, laïque, plaies aux mains, pieds et côté apparues post mortem +1691
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JEANNE BÉNIGNE GOJOS, visitandine +1692
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JOSÉDE CARABANTES, prêtre capucin, plaie au côté +1694
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ANTONIO CARDOZZO, prêtre jésuite, plaie au côté +1695
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ANNE DE TORREZ, laïque, plaies aux mains, pieds et côté +1698
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Vénérable SÉRAFINA DE DIEU (PRUDENZA PISA), carmélite, fondatrice des Moniales du Très Saint Sauveur, plaies aux mains, pieds et côté +1699
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M. CROCIFISSA DELLA CONCEZIONE (DOMÉNICA TOMASI), couronne d'épines, plaie au côté +1699
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18ème SIÈCLE
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BÉATRIZ MARIA DE JÉSUS DE ENCISO NAVARRETE Y TORRES, clarisse, plaies aux mains, pieds et côté, +1702
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ANGÉLA MELLINI, ursuline, plaie au côté, +1707
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ANNA-JOSEPHA BINTEMER, tertiaire capucine
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ANNE-CATHERINE GRASSI, tertiaire franciscaine, flagellation, couronne d'épines, +1708
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MARCELLINE PAUPER, sœurde la charité, marques aux mains et aux pieds, +1708 CORPS INCORROMPU |
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ANTONIA JOSÉFA DE SANTA CLARA, clarisse, stigmates, +1710
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STIGMATISÉE ANONYME DE MILAN, visitandine, plaies mains, pieds, côté
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MARIE-MADELEINE RIALP, sœurde Saint Jérome, plaies mains, pieds et côté, +1710
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MARIE-ANNE CORDIER , visitandine, +1711
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MARIA ARCANGÉLA BIONDINI, servite de Marie, plaie au côté+1712
CORPS INCORROMPU
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JEAN-BAPTISTE DE MASTENA, franciscain, couronne d'épines, +1713
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ÉLISABETH ALBANO, franciscaine, +1713
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CLAUDIA DE ANGÉLIS (CLAUDIA DE LA CROIX), tertiaire dominicaine fondatrice des Sœurs Cisterciennes de la Charité, plaies mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1715 | |
INÈS FRANCESCA DE LA VISITACION DE FONSEC, augustine récollette, plaies mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1715
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JUANA DE LA ENCARNATION MONTIJO, augustine récollette, larmes et sueur de sang, +1715
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MARIANNE DE JÉSUS (ANNE LE BIGOT), tertiaire dominicaine, plaie au côté, stigmates, +1715
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JOSÉFA BERRIDO, tertiaire dominicaine, plaie au côté découverte post mortem, +1717
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FIALETTA-ROSA FIALETTI, tertiaire dominicaine, +1717
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Bienheureuse MARIE DES ANGES, MARIE-ANNE FONTANELLA, carmélite déchaussée, +1717 | |
Vénérable BENOITE RENCUREL, tertiaire dominicaine, stigmatisée +1718
CORPS INCORROMPU
INÉDIQUE
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GIROLAMA LOBET, laïque, +1718
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MARIA CATÉRINA BRONDI, laïque, marque aux mains et aux pieds, +1719
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CATHERINE DE LA VOLONTÉDE DIEU, tertiaire dominicaine, +1722
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GERTRUDE-ÉLISABETH D’ORIGNY, visitandine +1724
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SUZANNE-MARIE DE RIANTS DEVILLEREY, visitandine, marque au côté découverte post mortem, +1724
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JEAN-BAPTISTE DE BOURGOGNE CLAUDE-FRANÇOIS DUTRONCHET), prêtre de Saint Bonaventure, +1726
CORPS INCORROMPU
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Vénérable ROSA MARIA SERIO, carmélite, plaies aux mains, pieds et côté, +1726
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SCOLASTICA MURATORI (MARIA GAETANA), bénédictine, plaie à la main droite et au côté, +1726
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Vénérable ANTONIO MARGIL ROS (ANTONIO DE JÉSUS), prêtre franciscain, saignements de la couronne d'épines, +1726
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MARIA ANNA LINDMAYR (JOSÉFA VON JESUS) , carmélite déchaussée, marques de la couronne d'épines apparues post mortem, +1726
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Sainte VÉRONIQUE GIULIANI, capucine, plaies aux mains, pieds et côté, marques de la couronne d'épines, de la fllagellation, du portement de croix, +1727
INÉDIQUE
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CATHERINE-FRANÇOISE ALAIN, visitandine, couronne d'épines +1728
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SŒUR DE LA VOLONTÉDIVINE (JEANNE NEUMAYR), franciscaine +1729
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MARIA COLOMBA TONDI, dominicaine, marque au côté découverte post mortem, +1731
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MARIA COSTANTE CASTRECA, capucine, plaies aux mains, pieds et côté, +1736
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CORPS INCORROMPU
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PARFAIT HUEBER, franciscain, couronnement d'épines +1741
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Vénérable MARIA ROSA GIANNINI, dominicaine, plaie au côté, +1741
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CAMILLA ROSA GRIMALDI, tertiaire camillienne, stigmates, +1741
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Vénérable MARGHERITA BERNARDI, tertiaire franciscaine, marques aux mains et aux pieds apparues post mortem, +1743
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Bienheureuse ANNA HÖSS (MARIA CRESCENTIA), franciscaine, plaies aux mains,+1744
CORPS INCORROMPU
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CHIARA ISABELLA FORNARI, franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1744
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Bienheureuse ÉLISABETTA MARIA CROCIFISSA SATELLICO (MARIE CRUCIFIÉE), clarisse, stigmates, +1745
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ANA MARIA DE LA CONCEPCION, cistercienne, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1746
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GELTRUDE DE LA PASSION (MARIA OLORIZ Y ARBIOL), dominicaine, plaies aux mains et aux pieds, +1747
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Vénérable MARIE-GERTRUDE (FRANÇOISE-EUPHRASIE SALANDRI), dominicaine, fondatrice, stigmates, +1748
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MARIA EUFEMIA DORER, ursuline, stigmates, +1752
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MARIA ÉLETTA SANI, clarisse, plaie au côté, +1754
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Saint GÉRARD MAJELLA, rédemptoriste, +1755 MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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ANGÉLICA COSPARI, tertiaire dominicaine, stigmates, +1757
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Vénérable GIOVANNA BATTISTA SOLIMANI (MARIA ANTONIA SOLIMANI), Fondatrice Sœurs Romite de Saint-Jean-Baptiste, plaies aux mains, pieds et côté, +1758 | |
Vénérable ANTONIO ALONSO BERMEJO, tertiaire franciscain, plaies aux mains, pieds et côté, +1758
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BIENHEUREUSE MARIE-LOUISE DE JÉSUS (MARIE-LOUISE TRICHET, est la co-fondatrice des Filles de la Sagesse +1759 | |
MARIA FÉLIZITAS BELLON, laïque, stigmates, +1762
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Vénérable MARIA CÉCILIA BAIJ, bénédictine, marques aux mains, +1766 | |
Bienheureuse FLORIDA CEVOLI, capucine, plaie au côté, couronnne d'épines, +1767
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Bienheureuse DOLORÈS PENAILLILO, plaies aux mains, couronne d'épines,+1767
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Vénérable MARIA DIOMIRA DEL VERBO INCARNATO (MARIA TÉRÉSA SERRI), capucine, plaies aux mains et aux pieds appaues post mortem, +1768
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MAGDELEINE MORICE COLUMBA SCHONATH, laïque, plaies aux mains, pieds, côté, sueur de sang, +1769
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Vénérable ANNA MARIA FÉLICE BERTARELLI (LILIA MARIA DU CRUCIFIÉ), tertiaire franciscaine, marques aux mains et aux pieds appaues post mortem, +1773
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Vénérable MICAELA AGUIRRE, dominicaine, plaies aux mains et aux pieds, +1779
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MARIA COLUMBA WEIGL, dominicaine, plaie au côté, marques aux mains et aux pieds, +1783
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MARIANNE SCHONATH (MARIA COLUMBA), dominicaine, plaies aux mains, pieds, couronne d'épines, +1787
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SainteMARIA-FRANCESCA DELLE CINQUE PIAGHE, ANNA MARIA GALLO, tertiaire franciscaine, plaies mains, pieds et côté, +1791
MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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MARIANA DE SAN DOMINGO RIOSOTTO, dominicaine, plaies aux mains et aux pieds, +1794
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HENDYLA AJEMI, fondatrice, stigmates, +1798
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MARIA CAÉTANA AGNÉSI, laïque, stigmates,+1799
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MARIA TÉRÉSA DE SANTA GELTRUDE, mercédaire déchaussée, plaies aux mains, +1799
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Vénérable ANGIOLA MARIA GHERZI (CHIARA ISABELLA), clarisse, plaie au côté, +1800
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19ème SIÈCLE
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HÉLÈNEWALRAFF, laïque, plaies aux mains et aux pieds, +1801
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ROSA SERRA, capucine, plaies aux mains, pieds, côté, marques de la flagellation, couronne d'épines, +1801
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MAGDALÉNA LORGER (alias PLEUTGEN) de HADAMAR, dominicaine, plaies aux mains, pieds, côté, marques de la flagellation, couronne d'épines, +1806
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Vénérable MARIA LUISA BIAGINI, clarisse, plaies aux mains, pieds, côté, +1811
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MARIA CROCIFISSA VÉRACI, camaldule, plaies aux mains, pieds, côté, couronne d'épines, +1822
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Bienheureuse ANNE CATHERINE EMMERICK,augustine, plaies aux mains, pieds, côté, marques de la couronne d'épines, +1824
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APOLLONIA FILZINGER, laïque, plaies aux mains, pieds et côté, +1827
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MARIE-CLAIRE PLANSON, laïque, fondatrice des purificandines, stigmates, +1832
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CATÉRINA GIULIANA BLANDINI, tertiaire servite de Marie, plaies aux mains, pieds et côté, +1841
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DOROTHÉE VISSER, plaies mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1844
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BERNARDINE LEDERGERBER, capucine, plaies aux mains, pieds et côté, +1847
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Soeur SAINT BERNARD DE LA CROIX (ANGÉLIQUE HUGUENEL), religieuse de Marie-Thérèse, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1847
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Vénérable GERTRUDE PROSPÉRI (MARIA LUISA), bénédictine, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1847
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Vénérable ANTOINE PENNACCHI, prêtre séculier (mort en 1848).
CORPS INCORROMPU
Cadavre incorrompu, souple et répandant du sang 18 jours après le décès ; faits sub secreto depuis lors (cas probable de stigmatisation, avec plaie du côté apparente). |
AGRYPNIE
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ROSA MARIA ANDRIANI, franciscaine, plaies aux mains, pieds, côté, couronne d'épines et larmes de sang, +1848
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MARGARETHE STOFFEL, religieuse cloitrée ?, plaies aux mains, pieds et côté, +1849
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MARIE-BERTINE BOUQUILLON, hospitalière dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté et couronne d'épines +1850
ANGES |
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JULIANE WEISSKIRCHER, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1851
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GIULIA NAPOLÉONI, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1851
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FIRMIN HEIGNY, coadjuteur, tertiaire franciscaine, marques aux mains, et aux pieds , +1851
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Bienheureuse KRESZENTIA NIERKLUTSCH, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines +1855
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Mère SCOLASTIQUE DUPLAT, religieuse de Marie-Thérèse, +1856
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MARIA GIULIANA DU SAINT-SACREMENT ((ANGÉLA ARENARE), servite de Marie tertiaire, plaies aux mains, pieds et côté, +1857
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URSULA MOHR, laïque, stigmates, +1860
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ANONYME DE RONSBERG, laïque, plaies aux mains, pieds et côté, +1855/60
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ANONYME DE JENESIEN, laïque, stigmates, +1855/60
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Vénérable CÁNDIDA CORDOVA POZUELO (MARÍA CÁNDIDA DE SAINT AUGUSTIN), augustine, plaies à l'épaule et au genou, +1861
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Vénérable MARIA AGNÈS CLAIRE DU SACRÉ CÔTÉ DE JÉSUS (THÉRÈSECHIARA STEINER)clarisse, marques aux mains, +1862
CORPS INCORROMPU
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Vénérable ANNE ROSE JOSÈPHE DU BOURG (MÈRE MARIE DE JÉSUS), Fondatrice des Soeurs du Sauveur et de la Sainte-Vierge, +1862
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MARIA VON MÖRL, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1868
INÉDIQUE
AGRYPNIE : vingt-cinq ans sans dormir
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Bienheureuse PAULINE DE NICOLAY, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1868
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HIERONYMA STROBL, tertiaire franciscaine, stigmates, +1868/69
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MAGDALÉNA GSCHIRR, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1869
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GAÉTANA PARLAVECCHIA, tertiaire franciscaine, stigmates, 1869/70
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JEANNE BOISSEAU, laïque, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1871
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MARIA CONCETTA SARACENI (MARIA CHÉRUBINA CHIARA OF SAINT FRANCIS), clarisse, +1871
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BARBARA DE SANTO DOMINGO JURADO Y ANTUNEZ, dominicaine, plaies aux mains, pieds, côté et couronne dépines +1872 CORPS INCORROMPU
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BERTHA VON POSCH, laïque, marques aux mains, 1872
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ROSA TÉRÉSA BRENTI, dominicaine, fondatrice des dominicaines du Très Saint Sacrement, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1872
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ANONYME DE TOURNAI, carmélite déchaussée, stigmates, +1873/74
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VÉRONICA DE SAINT ALEXIS (MARIA VÉRONICA CAMPION), servite de Maria GésuMaria, plaies aux mains, pieds , côté et couronne d'épines, +1874
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MARIE DE SAINT AUGUSTIN (MARIE-CATHERINE RUEL), fondatrice des religieuses des Saints noms de Jésus et Marie), stigmates, +1874
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ISABELLE HENDRICKX, laïque, plaies aux mains, pieds, côté, couronne d'épines, +1874
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Vénérable MARIE-LOUISE DE JÉSUS, dominicaine, fondatrice de Maria santissima Addolorata e di santa Filomena, 1875
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ANA DE JÉSUS MARIA JOSÉ MAGALHÃES, bergère laïque, plaies aux mains et pieds, +1875, appelée communément «la Sainte d'Arrifana»
INÉDIQUE
AGRYPNIE : 30 ANS
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MARIA SÉRAFINA DELLA CROCE (ANCILLA GHEZZI), Adoratrices Perpétuelles du Saint-Sacrement, plaies aux mains, pieds ,côté, couronne d'épines, +1876
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DORA VISTER, laïque, plaies aux mains, pieds ,côté, couronne d'épines, +1876
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THÉRÈSE JOSEPHINE CARTIER (Mme MIOLLIS), laïque, plaies aux mains, pieds ,côté, couronne d'épines, +1877
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HÉLÈNEDE BOLAWATTA (de Ceylan), laïque, plaies aux mains, pieds ,côté, marques de la flagellation, plaie à l'épaule, blessure aux genoux, traces des liens aux poignets et couronne d'épines, +1877
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FRANCOISE BARTHEL D'ANDLAU laïque, plaies aux mains, pieds ,côté, marques de la flagellation et couronne d'épines, +1878
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Bienheureuse MARIAM DE JÉSUS CRUCIFIÉ BAOUARDY carmélite plaies aux mains, pieds ,côté, flagellation et couronne d'épines +1878
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Bienheureuse MARGUERITE BAYS,séculière franciscaine, marques aux mains, pieds, +1879
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FLORENCIA DEL SACRAMENTO (MARIA FLORENCIA TRINIDAD), mercédaire, plaies aux mains, pieds et côté, +1879
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MARIE JALHAY-MUNZBACH, laïque, plaies aux mains, pieds et côté, +1881
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Vénérable ANNE LOUISE LATEAU, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds ,côté, plaie à l'épaule, +1883
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VICTOIRE COURTIER épouse CLAIRE, laïque, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épine +1883
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SœurMARIA LUCIA, soeur du Très Saint Sauveur, plaie au côté, couronne d'épines, +1885
LÉVITATION
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SœurMARIE-CATHERINE (THÉRÈSE PUTIGNY), visitandine, traces mains, pieds et sueur de sang, +1885
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MARIE BROGNIER, plaies aux mains et aux pieds +1885 ?
AGRYPNIE : vingt-cinq ans sans dormir
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ANONYME DE MALTE, novice jésuite, plaies aux mains, pieds , côté, +1886
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CAROLINE CLÉMENT, laïque, marques aux mains, plaie au côté, 1887
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BÉATRIX SCHUMANN, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, +1887
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Bienheureuse ANGÉLA MOLARI (MARIE MADELEINE DE LA SAINTE TRINITÉ) tertiaire franciscaine, fondatrice des Soeurs de l'Immaculée, plaies aux mains, pieds et côté, +1887
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PALMA MARIA MATARELLI, tertiaire franciscaine, plaies aux mains, pieds et côté, couronne d'épines, +1888
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VICTORIA HECHT, laïque, plaies aux mains, pieds et côté, couronne d'épines, +1890
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MARIA ROSA CARAFA, ancelle du Sacré-Coeur, stigmates, +1890
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MARIA DOLORÈS PATROCINO QUIROGA, conceptioniste, plaies aux mains, pieds et côté, couronne d'épines, +1891
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MAGDALENA GORNIK (Slovénie), plaies au côté, mains, pieds, couronne d'épines, flagellation, +1896
LÉVITATION INÉDIQUE ANGES |
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GIUSEPPINA COMOGLIO, laïque, +1899
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20ème SIÈCLE
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Bienheureuse ROSA MARIA BENEDETTA GATTORNO CUSTO (ANNA ROSA), tertiaire franciscaine, fondatrice des filles de Saint Anne, +1900
CORPS INCORROMPU
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CORPS INCORROMPU
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CATHERINE-AURELIE DU PRECIEUX-SANG, CATHERINE-AURELIE CAOUETTE, tertiaire dominicaine, fondatrice des «Religieuses Adoratrices du Précieux-Sang, filles de Marie Immaculée», +1905
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Bienheureuse THÉRESE-MARIE DE LA CROIX MANETTI, fondatrice des Carmélites de Sainte-Thérèse +1910
CORPS INCORROMPU
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CORPS INCORROMPU
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Bienheureuse MARIE DE LA PASSION TARALLO (MARIA GRAZIA TARALLO) , crucifiées Adoratrices de l’Eucharistie, Cofondatrice des Servantes de Marie Immaculée +1912
CORPS INCORROMPU
LÉVITATION
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ROSINA FERRO, tertiaire dominicaine, +1912
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MARIA BENEDETTA FREY, cistercienne, +1913
CORPS INCORROMPU
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Mère MARIA ROSA ZANGARA, tertiaire franciscaine, fondatrice des Filles de la Miséricorde et de la Croix +1914
CORPS INCORROMPU
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ANTOINE CROZIER, Prêtre +1916
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ROSALIE PÜT+1919
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JOSEFA MENEDEZ, religieuses du Sacré-Cœur de Jésus Feuillantes, mains, pieds, côté, couronne d'épines, plaie à l'épaule, +1923
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Bienheureuse MARIE BERNARD DU TRES SAINT COEUR DE MARIE MARIA BERNARDA (VERENE BÜTLER), franciscaine, fondatrice des Sœurs Missionnaires franciscaines de Marie Auxiliatrice des pécheurs +1924
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Bienheureuse THERESIA MARIAM MANKIDIYAN CHIRAMEL, carmélite, fondatrice de Congrégation de la Sainte Famille +1926
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Bienheureuse DINA BELANGER, Congrégation des Religieuses de Jésus-Marie, +1929
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CORPS INCORROMPU
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MARIE-THÉRÈSE DE JÉSUS CORTIMILIA, fondatrice des soeurs de Sainte-Claire, +1934
CORPS INCORROMPU
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CORPS INCORROMPU
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MARIE-JULIE JAHENNY, tertiaire franciscaine, plaies mains, pieds et côté, couronne d'épines, marques des cordes aux poignets, flagellation, +1941
INÉDIQUE
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ANNA MARIA GOEBEL+1941
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TOMMAZINA POZZI +1944
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Vénérable LUCIA MANGANO, ursuline +1946
INÉDIQUE
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LUISA PICCARRETA, tertiaire dominicaine, couronne d'épines, +1947 Absence de nourriture pendant 64 ans
INÉDIQUE
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ANNA HENLE séculière, 1950
CORPS INCORROMPU
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YVONNE-AIMEE DE JESUS DE MALESTROIT, YVONNE BEAUVAIS, augustine, +1951
CORPS INCORROMPU
AGRYPNIE: le plus souvent un quart d'heure
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Vénérable HEDWIGE CARBONI, +1952
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bienheureuse ALEXANDRINA MARIA DA COSTA, laïque, +1955
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AGRYPNIE : de 1934 jusqu'à sa mort, que quelques heures de sommeil par semaine
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ADRIENNE VON SPEYR, laïque, +1967
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Saint PADRE PIO DE PIETRELCINA, FRANCESCO FORGIONE, capucin, +1968 CORPS INCORROMPU
AGRYPNIE : trois heures de sommeil quotidien
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MARIE DU CHRIST (RAYMONDE BONNENFANT) +1973
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CARMELA CARABELLI NEGRI , +1978
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MARTHE ROBIN, laïque, fonde les foyers de charité, plaies mains, pieds et couronne d'épines, larmes de sang, +1981
AGRYPNIE : Marthe ne dormit plus du tout, de novembre 1931 à sa mort en février 1981, c'est-à-dire pendant 50 ans.
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SYMPHOROSE CHOPIN, tertiaire Carmelitaine, †1983
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GRETA GANSEFORTH, Heede, +1996
ANGES
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NATUZZA EVOLO, fondatrice des Cénacles de prière, plaies aux mains, pieds, épaule, couronne d'épines,+2009
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BETTINA IAMUNDO née en 1906, stigmatisée en 1977
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GLADYS QUIROGA MOTTA, née en 1937
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19/01/2011
MIRACLE DES CORPS INCORRUPTIBLES
1 CORINTHIENS 15 35/57 |
35 Mais, dira quelqu'un : Comment les morts ressuscitent-ils ? Avec quel corps reviennent-ils ?
36 Insensé ! ce que tu sèmes ne reprend pas vie, s'il ne meurt auparavant. 37 Et ce que tu sèmes, ce n'est pas le corps qui sera un jour ; c'est un simple grain, soit de blé, soit de quelque autre semence : 38 mais Dieu lui donne un corps comme il l'a voulu, et à chaque semence il donne le corps qui lui est propre. 39 Toute chair n'est pas la même chair ; autre est la chair des hommes, autre celle des quadrupèdes, autre celle des oiseaux, autre celle des poissons.
40 Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres ; mais l'éclat des corps célestes est d'une autre nature que celui des corps terrestres : 41 autre est l'éclat du soleil, autre l'éclat de la lune, et autre l'éclat des étoiles ; même une étoile diffère en éclat d'une autre étoile. 42 Ainsi en est-il pour la résurrection des morts. Semé dans la corruption, le corps ressuscite, incorruptible ; 43 semé dans l'ignominie, il ressuscite glorieux ; semé dans la faiblesse, il ressuscite plein de force ; 44 semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps animal, il y aussi un corps spirituel. 45 C'est en ce sens qu'il est écrit : «Le premier homme, Adam, a été fait âme vivante» ; le dernier Adam a été fait esprit vivifiant. 46 Mais ce n'est pas ce qui est spirituel qui a été fait d'abord, c'est ce qui est animal ; ce qui est spirituel vient ensuite. 47 Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre ; le second vient du ciel. 48 Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres ; et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes. 49 Et de même que nous avons porté l'image du terrestre, nous porterons aussi l'image du céleste. 50 Ce que j'affirme, frères, c'est que ni la chair ni le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n'héritera pas l'incorruptibilité. 51 Voici un mystère que je vous révèle : Nous ne nous endormirons pas tous, mais tous nous serons changés,
54 Lors que ce corps corruptible aura revêtu l'incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l'immortalité, alors s'accomplira la parole qui est écrite : «La mort a été engloutie pour la victoire» 52 en un instant, en un clin d'œil, au son de la dernière trompette, car la trompette retentira et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. 53 Car il faut que ce corps corruptible revête l'incorruptibilité, et que ce corps mortel revête l'immortalité. 55 «O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ?» 56 Or l'aiguillon de la mort, c'est le péché et la puissance du péché, c'est la loi. 57 Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous a donné la victoire par Notre-Seigneur Jésus-Christ ! |
27 parce que vous n'abandonnerez pas mon âme dans le séjour des morts, et vous ne permettrez pas que votre Saint voie la décomposition.
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35 C'est pourquoi il dit encore ailleurs : Tu ne permettras pas que ton Saint voie la décomposition.
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9 Aussi mon coeur est dans la joie, mon âme dans l'allégresse, mon corps lui-même repose en sécurité.
10 Car tu ne livreras pas mon âme au schéol, tu ne permettras pas que celui qui t'aime voie la corruption. |
22 Ignorant les desseins secrets de Dieu, ils n'espèrent pas de rémunération pour la sainteté, et ils ne croient pas à la récompense des âmes pures.
23 Car Dieu a créé l'homme pour l'immortalité, et il l'a fait à l'image de sa propre nature. 24 C'est par l'envie du diable que la mort est venue dans le monde, 25 ils en feront l'expérience, ceux qui lui appartiennent. |
CORPS INCORRUPTIBLES
(Liste incomplète)
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1. | Saint NAZAIRE DE MILAN, martyr (mort en 68/70). Incorrompu en 396 (plus de 300 ans), traces de sang encore frais. | ||
2. | Saints GERVAIS ET PROTAIS, martyrs (morts vers 160). Incorrumpus vers 390 (plus de 200 ans), écoulement de sang des cadavres. | ||
3. | Sainte CÉCILE, martyre (mort en 230). Son corps incorruptible a été retrouvé longtemps après sa mort. Le crâne de Sainte CÉCILE est conservé comme une relique dans la cathédrale de TORCELLO. | ||
4. | Sainte AGATHE DE CATANE, martyr (morts en 251). | ||
5.
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Saints MARCELLIN ET PIERRE, martyrs (morts vers 295). Incorrompus vers 800 (plus de 500 ans), écoulement de sang des dépouilles. | ||
6. | Saint SYLVAIN, Évêque de Gaza, martyr, mort en 311 | ||
7. | Saint SÉVERIN DE NORIQUE, évêque (mort en 482/483). Incorrompu en 489 (6 ans), parfum suave se dégageant du corps. | ||
8. | Sainte PATRICIA DE NAPLES, religieuse (morte en 665). Son sang se liquéfie périodiquement | ||
9. | Sainte ÉTHELDREDA D'ÉLY, reine de Northumberland, veuve et moniale OSB (morte en 679). Incorrompue plusieurs années après sa mort. | ||
10. | Saint CUTHBERT, o.s.b., évêque de Lindisfarne (mort en 687). Incorrompu et souple en 698 (11 ans), encore intact au XIe siècle. | ||
11. | Sainte WERBURG DE MERCIE, abbesse OSB de Trentham (morte en 703/4). En l'an 708, son frère CENRED avait succédé comme roi de MERCIE décide de déplacer le corps de sa sœur dans l’Église de Hanbury. Son corps est retrouvé miraculeusement intact. Considéré comme un signe de la faveur divine, sa tombe est donc devenue un objet de vénération et d'un centre de pélerinage | ||
12. | Saint WILLIBRORD, moine OSB et évêque, apôtre de la Frise (mort en 739). Incorrompu plusieurs années après sa mort. | ||
13. | Sainte WIHTBURH, abesse (mort en 743). Corps découvert incorrompuu 55 ans après sa mort | ||
14. | Saint WUNIBALD, évêque bénédictin (mort en 781). Corps découvert incorrompuu 18 ans après sa mort | ||
15. | Saint ELPHÈGE DE CANTERBURY (mort en 1012). Incorrompu plusieurs années après sa mort. | ||
16. | Saint COLMAN DE STOCKERAU, moine martyr(mort en 1012). Dix-huit mois durant, le corps de Coloman resta pendu sur le gibet, incorrompu et laissé intact par les oiseaux et les bêtes. Du fait du grand nombre de miracles qui furent accomplis à travers son corps incorrompu, une vénération populaire naquit. Son corps fut déposé dans l'abbaye de Melk. | ||
17. | Saint ÉDOUARD LE CONFESSEUR, roi des Angles (mort en 1066). Incorrompu plusieurs années après sa mort. | ||
18. | Saint ISIDORE LE LABOUREUR, (mort en 1130)Se procurer l'élévation et la translation de son corps. Quand on l'eut retiré de terre, il fut trouvé aussi frais et aussi sain que s'il venait de mourir; un parfum de délicieuse odeur embauma les airs, et toutes le saint Isidore mourut avant sa femme, en 1170, et on l'enterra sous une gouttière, dans le cimetière de Saint-André, où il fut oublié quarante ans. Alors le Saint apparut à une dame vertueuse pour la presser d cloches sonnèrent d'elles-mêmes. L'église de Saint-André fut choisie pour recevoir ses saintes reliques; on y vit un grand concours de peuple; de nombreux miracles s'opérèrent et firent croître et grandir la dévotion à saint Isidore. | ||
19. | Saint WILLIAM FITZHERBERT, archevêque d'York (mort en 1154). Incorrompu plusieurs années après sa mort, cadavre exsudant de l'huile. | ||
20. | Saint WALTHEOF DE MELROSE, Cistercien (mort en 1159). En 1171 Corps incorrompu et vêtements sacerdotaux intacts | ||
21. | Saint IDESBALD DES DUNES, Chanoine (mort en 1167). En 1223 le cercueil de plomb avec le corps intact d’IDESBALD est découvert sous les décombres de la salle capitulaire de l’abbaye. Cette découverte est à l’origine de la dévotion à Saint IDESBALD qui se développa dans la région. Depuis 1831, les reliques de Saint IDESBALD se trouvent à BRUGES. | ||
22.
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Saint HUGUES, évêque de Lincoln (mort en 1200). Incorrompu en 1280 (80 ans), émission d'huile. |
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23. | Robert GROSSETESTE, évêque de Lincoln (mort en 1224/25 ?).? Incorrompu en 1278 (plus de 60 ans), émission d'huile. | ||
24. | Saint BERTRAND DE GARRIGUES, prêtre dominicain (mort en 1230). Corps trouvé «entier et sans corruption aucune» en 1253, encore intact en 1398 lors de son transfert à Orange, et en 1561 (331 ans), lorsqu'il fut brûlé par les huguenots. | ||
25. | Sainte ROSE DE VITTERBE, (morte en 1252)Son corps, qui exhalait un parfum agréable, fut inhumé à Santa Maria. Depuis sa mort, son corps intact a fait l'objet de pèlerinages constants. En 1357 eu lieu à Viterbo un grand miracle : réduite en cendres, la chapelle où étaient conservées ses reliques brula ainsi que la boîte qui les contenait. Le corps sacré changea seulement un peu de couleur. | ||
26. | Sainte CLAIRE D'ASSISE, fondatrice de l'ordre des Clarisses, (morte en 1253) MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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27. | Saint JEAN DE BEVERLEY, moine OSB (mort en 12...?) Incorrompu plusieurs années après sa mort, émission d'huile. | ||
28. | Saint EDMOND RICH, archevêque de Canterbury (mort en 1240). Incorrompu plusieurs années après sa mort | ||
29.
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JEAN «LE BON», en réalité DE BUONO ou DE BUONIS, religieux augustin (mort en 1249). Incorrompu en 1251 (2 ans), toujours intact en 1798 (5e reconnaissance canonique) |
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30. | Sainte ROSE DE VITERBE, tertiaire franciscaine (morte en 1258) Incorrompue et souple durant de nombreuses années, actuellement le corps est desséché et noirci (momification) |
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31. | Bienheureuse HÉLÈNE DE HONGRIE, moniale dominicaine (morte en 1270). Incorrompue quelque temps après sa mort, lors de l'exhumation: parfum émanant du cadavre et émission de sang frais. STIGMATISÉE |
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32.
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Sainte ZITA (morte en 1272)Le cercueil contenant le corps du saint a été ouverte en 1446, 1581 et 1652 et il a été, à chaque fois jugé intact. La peau est maintenant sombre et sec, mais le corps est encore en entier, sauf un seul doigt. Le doigt est censé avoir été donné à l'église du village de Eagle, dans le Lincolnshire, en Angleterre au moyen âge |
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33. | Saint ALBERT LE GRAND, dominicain, évêque, docteur de l’Église(mort en 1280) Corps réduit à un squelette en 1483 mais tête et yeux intacts | ||
34. | Bienheureux CONRAD D'ASCOLI, prêtre franciscain (mort en 1289). Incorrompu plusieurs mois après sa mort. STIGMATISÉ |
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35. | Sainte MARIE DU SECOURS DE CERVELLON, moniale mercédaire (morte en 1290). Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1380 (90 ans), toujours intact, mais desséché et bruni, en 1991 (exposé dans une urne de cristal). | ||
36. | Sainte MARGUERITE DE CORTONE, tertiaire franciscaine (morte en 1297). Incorrompue en 1715 (418 ans), le corps répandant une odeur suave. A présent, corps toujours intact, desséché STIGMATISÉE |
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37. |
Sainte MECHTILDE DE HACKEBORN, bénédictine,(morte en1298)
STIGMATISÉE |
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38. | Bienheureux JAMES DE BLANCONIBUS BEVAGNA, Dominicain(mort en 1301). A part le pied gauche volé comme relique, l'ensemble du corps est incorruptible particulier le visage, les mains et les pieds en très bon état. Le corps du bienheureux est conservé dans l'église de Bevagna en Italie | ||
39. | Saint NICOLAS DE TOLENTINO, Moine de l'ordre des ermites de Saint Augustin (mort en 1305). |
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40. | Bienheureuse JEANNE D'ORVIETO, tertiaire dominicaine (morte en 1306). Incorrompue, mais desséchée, en 1755 (449 ans). STIGMATISÉE |
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41. | Bienheureux ANGE SCARPETTI, prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (mort en 1306). Corps incorrompu au XVIe siècle (reconnaissance canonique). | ||
42.
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Sainte CLAIRE DE LA CROIX DE MONTEFALCO, moniale augustinienne(morte en 1308). Incorrompue encore en 1881 (573 ans), et à l'heure actuelle légèrement momifiée. STIGMATISÉE MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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43.
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Bienheureuse ANGÈLE DE FOLIGNO, tertiaire franciscaine(morte en 1309). Incorrompue plusieurs années après la mort STIGMATISÉE INÉDIE MIRACLE EUCHARISTIQUE AGRYPNIE
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44. | Sainte CHRISTIANE MENABUOI DE SAINTE-CROIX, moniale augustinienne (morte en 1310) Corps demeuré incorrompu, flexible et frais durant 18 jours après sa mort. | ||
45.
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Bienheureuse UMILTA DA FAENZA, vallombreuse, larmes de sang, (morte en1310) STIGMATISEE
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46. | Sainte AGNÈS SEGNI DE MONTEPULCIANO, moniale dominicaine (morte en 1317). Corps intact en 1362 (45 ans), distillant un liquide huileux parfumé. Intact, mais desséché, en 1991. | ||
47. | Bienheureuse MATTIA NAZZAREI DE MATELICA, Clarisse (morte en 1319). Corps incorruptible en 1320, 1536, 1758 |
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48. |
Bienheureuse MARGUERITE DE CITTA DI CASTELLO, tertiaire dominicaine(morte en 1320).Incorrompue en 1678 et 1743, souple et exhalant une odeur suave (423 ans). STIGMATISÉE |
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49. | Bienheureux PIERRE GHIGENZI DE GUBBIO, Augustinien (mort en 1306/22 ?). | ||
50. | Sainte ROSELINE DE VILLENEUVE, moniale chartreuse (morte en 1329). Corps frais et souple en 1334 (5 ans), puis en 1614, 1644, 1657, 1835 (506 ans), les yeux frais ; corps un peu desséché, noirci, en 1929 (600 ans) et en 1951 (622 ans), traces de moisissures. |
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51. |
MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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52. |
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53. | Saint PHLIPPE BENIZI, Moine des Serviteurs de Marie (mort en 1345). | ||
54. |
AGNÈS DE BAVIÈRE, clarisse, plaies mains et pieds, (morte en 1352)
STIGMATISÉE
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55. | Bienheureuse VILLANA DE BOTTIS, tertiaire dominicaine (morte en 1361). Incorrompue durant un mois, corps exhalant des parfums suaves STIGMATISÉE |
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56. | Bienheureuse SIBYLLINE BISCOSSI, Dominicaine (mort en 1367). Son corps incorruptible se trouve à Pavie |
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57. | Sainte CATHERINE DE SIENNE, mantellate dominicaine (morte en 1380). Incorrompue au moins jusqu'au début du XIe siècle. STIGMATISÉE
MIRACLE EUCHARISTIQUE INÉDIQUE AGRYPNIE
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58. | Bienheureux ANDRÉ FRANCHI, Évêque dominicain (morte en 1401). | ||
59. | Bienheureuse ÉLISABETH ACHLER (ÉLISABETH BONA DE REUTE) “LA BONNE BETHA”, recluse tertiaire franciscaine(morte en 1420). Partiellement incorrompue en 1623, squelette intact en 1991. STIGMATISÉE
AGRYPNIE
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60. | LUCIE DE NORCIA, tertiaire franciscaine (morte en 1430). Incorrompue et souple en 1599 (169 ans). STIGMATISÉE
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61. | Bienheureuse ANGELINE DE MARSCIANO, moniale franciscaine (morte en 1435) Corps retrouvé incorrompu et souple en 1492, lors de la translation (57 ans), toujours incorrompu, mais desséché et noirci, en 1991. | ||
62. | Sainte FRANÇOISE ROMAINE, veuve et oblate olivétaine (morte en 1440).Corps incorrompu, souple et suavement odorant quatre mois après la mort, squelette intact exhalant une odeur suave en 1638. STIGMATISÉE
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63. | MARGUERITE DE FOLIGNO moniale franciscaine (morte en 1442). Corps trouvé incorrompu et exhalant un parfum suave, en 1492 (50 ans) ; réduit en cendres en 1588. | ||
64. | Saint BERNARDIN DE SIENNE, prêtre franciscain (mort en 1444). Cadavre intact en 1472 (28 ans), puis au XVIIe siècle | ||
65. | Bienheureux ANTOINE MIGLIORATI D'AMANDOLA, prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (mort en 1450) Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1460, dans le même état en 1464 (translation canonique des restes) ; actuellement intact, mais noirci et desséché. | ||
66. | Saint LAURENT JUSTINIEN, patriarche de Venise (mort en 1455). Cadavre intact, souple et parfumé pendant 67 jours. | ||
67. | Saint JEAN DE CAPISTRAN, prêtre franciscain (mort en 1456). Incorrompu durant un certain temps, jusqu'en 1765 | ||
68. | Sainte RITA DE CASCIA, veuve, moniale augustinienne(morte en 1456). Corps parfaitement intact en 1626 (170 ans), mouvements (1628 notamment), cadavre actuellement intact, mais desséché et noirci STIGMATISÉE
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69. | Saint ANTONIN, dominicain, archevêque de Florence (mort en 1459). Flexible et répandant une odeur suave durant huit jours, incorrompu et souple en 1589 (130 ans), actuellement desséché et noirci. | ||
70. | Bienheureux ANTONIO VICI, (mort en 1461) Corps incorruptible, parfumé et souple en1461, 1599, 1649 et 1809 | ||
71. | Saint DIDACE, frère laïc franciscain (mort en 1463). Cadavre incorrompu, souple et parfumé durant six mois, parfaitement intact en 1582 (119 ans). | ||
72. | Sainte CATHERINE DE BOLOGNE Clarisse(morte en 1463). Quand elle mourut à l'âge de 48 ans, Catherine fut enterrée et après dix-huit jours des miracles auprès de sa tombe, son corps incorruptible exhumé fut transféré à la chapelle des Clarisses à Bologne | ||
73. | CHRISTOPHE CRIVELLI, franciscain (mort en 1467). Corps «longtemps incorrompu avec exhalaison de parfums célestes» STIGMATISÉ
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74. | Bienheureuse ÉLISABETH DE PICCENARDI, tertiaire Servite de Marie (morte en 1468). Cadavre retrouvé incorrompu et frais en 1506 (38 ans), toujours intact, mais noirci et desséché, en 1991. |
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75. | Bienheureux EUSTOCHIA BELLINI DE PADOUE, (mort en 1469). Son corps incorruptible repose à Padoue | ||
76. | Bienheureux HUGOLIN DE MANTOUE, moine augustinien (mort en 1471). Corps intact en 1540 (69 ans), plaie du côté répandant du sang. Encore incorrompu au XIXe siècle. STIGMATISÉ
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77. | Saint JEAN DE KENTY, prêtre (mort en 1473). Incorrompu en 1539 (66 ans, preuves peu convaincantes), cendres odorantes en 1603. |
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78. | Bienheureux ANTHONY BONFADINI, Prêtre franciscain (mort en 1482). Corps trouvé intact en 1902 et préservé en 1945 | ||
79. |
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80. | Bienheureuse FRANÇOISE D'AMBOISE, fondatrice des carmélites en France (morte en 1485). Corps retrouvé intact en 1492 (7 ans) | ||
81. | Bienheureux JACQUES VARINGEZ DE BITECTO, frère laïc franciscain (mort en 1486). Cadavre retrouvé incorrompu, souple et le teint coloré, en 1505 ; toujours intact, mais desséché et bruni, en 1913 (reconnaissance canonique), exposé depuis lors dans une urne de cristal. | ||
82. | Bienheureux BERNARD SCAMMACCA, Prêtre dominicain (mort en 1486). Corps incorruptible et parfumé découvert 15 ans après | ||
83. | Bienheureuse JEANNE SCOPELLO, religieuse carmélite (morte en 1491). Cadavre incorrompu et exhalant une odeur suave 6 mois après la mort, toujours incorrompu en 1493 (2 ans). | ||
84. | Bienheureux BERNARDIN TOMITANO DE FELTRE, franciscain (mort en 1494). Corps trouvé parfaitement intact et répandant un parfum exquis, lors de la translation en 1630, toujours très bien conservé en 1811, en 1837 (on coupa le bras et l'avant-bras gauche), et en 1894, desséché mais «plein» (400 ans), à présent exposé dans une urne de cristal. | ||
85. | Bienheureuse ARCANGELA GIRLANI, Carmélite (mort en 1494). Son corps incorruptible est vénéré dans l'église de l'Hôpital de San Lorenzo à Turin. | ||
86. | Bienheureux JACQUES DE PESARO, prêtre de l'Ordre de Saint-Augustin (mort en 1496). Corps retrouvé incorrompu, mais raide et bruni, en 1847 (351 ans), toujours intact et comme momifié, en 1991. | ||
87. | Sainte JEANNE DE VALOIS, fondatrice des Annonciades (morte en 1505). Corps encore intact en 1562, quand il fut brûlé par les huguenots. | ||
88. | Bienheureuse OSANNA ANDREASI DE MANTOUE, tertiaire dominicaine(morte en 1505). Corps incorrompu et frais en 1508, un peu desséché en 1602 (97 ans), en 1686 (183 ans) et en 1699 (196 ans). Corps desséché et noirci en 1991. STIGMATISÉE
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89. | Saint FRANÇOIS DE PAULE, fondateur des Minimes (mort en 1507). Corps souple et parfumé durant une semaine, incorrompu en 1562 (55 ans) et brûlé par les huguenots. | ||
90. | Sainte CATHERINE DE GÊNES (CATERINA FIESCHI ADORNO), tertiaire veuve (morte en 1510). Corps intact et souple en 1512 (18 mois), incorrompu, noirci et desséché en 1991. STIGMATISÉE
INÉDIE |
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91.
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PAUL RENDACE DE PATERNO, prêtre Minime (mort en 1511). Corps intact et flexible, exhalant de suaves parfums pendant 40 jours, toujours incorrompu en 1594, mais desséché et noirci (83 ans). | ||
92.
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Bienheureuse MARGUERITE DE LORRAINE, Clarisse (mort en 1521). Son corps incorruptible, conservé dans le monastère des Clarisses, a été transféré lorsqu'il a été supprimé en l'église de Saint-Germain d'Argentan, mais en 1793 il a été profané et jeté dans la fosse commune. | ||
93. |
MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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94. | JEANNE DE LA CROIX VASQUEZ GUTIEREZ, religieuse franciscaine (morte en 1534). Corps incorrompu et suavement parfumé en 1552 (18 ans). STIGMATISÉE |
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95. |
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96. | Saint ANTOINE-MARIE ZACCARIA, fondateur des Barnabites (mort en 1539). Corps incorrompu en 1566 (27 ans), réduit à l'état de squelette en 1664. | ||
97. |
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98. | Vénérable MARIE-LAURENCE LONGO, fondatrice des Capucines (morte en 1542). Cadavre incorrompu et souple, dégageant une suave odeur de violette, en 1543, et mouvement du bras ; début d'incorruption dans les mois suivants. |
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99. | Bienheureuse LUCIE BROCCADELLI DE NARNI, dominicaine (morte en 1544) Corps intact, souple et parfumé en 1710 (166 ans), plaie du côté humide de sang. STIGMATISÉE
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100. | Bienheureuse CATHERINE DE RACCONIGI (CATHERINE DE MATHEIS), tertiaire dominicaine (morte en 1547). Corps intact, souple et suavement parfumé en 1548 (6 mois). STIGMATISÉE INÉDIE |
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101. | Saint JEAN DE DIEU CIUDAD, fondateur des Hospitaliers (mort en 1550). Corps entier et odorant en 1570 (20 ans), sauf le bout du nez. | ||
102. |
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103. | Vénérable DOMINICA DAL PARADISO (DOMINICA NARDUCCI), tertiaire dominicaine, dominicaine(morte en 1553). Corps incorrompu, souple et frais, parfum suave, en 1748 (195 ans). STIGMATISÉE INÉDIE |
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104. | Saint THOMAS DE VILLENEUVE, o.s.a., archevêque de Valence (mort en 1555). Corps incorrompu en 1582 (27 ans), cendres odorantes quelques années plus tard. | ||
105. | Saint PIERRE D'ALCANTARA, réformateur franciscain (mort en 1562). Corps incorrompu et odorant en 1566 (4 ans), squelette parfumé en 1616. | ||
106. | Saint SALVADOR VON HORTA, franciscain (mort en 1567). |
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107. | Saint STANISLAS KOSTKA, Jésuite (mort en 1568). Corps incorrompu deux après. Il en sortait même quelquefois une odeur si douce, que toute la chapelle en était remplie MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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108. | COSME MUNOZ DE VALLADOLID, prêtre Minime (mort en 1573). Corps incorrompu, répandant un parfum suave, jusqu'en 1612. | ||
109. | Sainte CATHERINE THOMAS, religieuse augustinienne (morte en 1574). Corps parfaitement incorrompu et souple en 1577, toujours intact en 1815 (241 ans). | ||
110. | Bienheureuse MARIE BARTHOLOMÉE BAGNESI, dominicaine (morte en 1577). Son corps incorruptible est vénéré au Carmel Santa Maria degli Angeli (Careggi) de Florence | ||
111. | Sainte THÉRÈSE DE JÉSUS D'AVILA, réformatrice du Carmel(morte en 1582). Corps incorrompu, très odorant, souple, exhalant une huile parfumée en 1583 (8 mois) ; mêmes constatations en 1585, 1586, 1592 (l'émission de baume odorant a cessé), et jusqu'en 1760 (178 ans) ; toujours intact en 1982. STIGMATISÉE MIRACLE EUCHARISTIQUE LÉVITATION |
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112. | Saint BÉNÉZET (mort en 1582). Corps intact en 1669 | ||
113. | Saint CHARLES BORROMÉE, archevêque de Milan (mort en 1584). Corps (embaumé) en grande partie indemne en 1606 (22 ans) et en 1880 (296 ans). | ||
114.
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Sainte CATHERINE DE RICCI, moniale dominicaine(morte en 158..). En partie incorrompue en 1733 (144 ans). STIGMATISÉE |
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115. |
Saint BENOÎT LE MORE, franciscain(mort en 1589). son corps a été retrouvé intact lors de l'exhumation quelques années après sa cannonisation en 1807 |
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116. | MARTIN DE JÉSUS MARIE CROZAT, carme déchaux (mort en 1590). Corps retrouvé incorrompu et parfaitement flexible en 1597 (7 ans). | ||
117. | Saint JEAN DE LA CROIX, réformateur du Carmel (mort en 1591). Corps intact, exhalant une odeur suave, sang coulant d'une plaie, en 1592. Toujours intact en 1859, bien que recouvert de chaux vive (268 ans). | ||
118. | Bienheureux ALPHONSE DE OROZCO, Prêtre Augustinien (mort en 1591). | ||
119. | Saint PASCAL BAYLON, frère laïc franciscain(mort en 1592). Corps intact et répandant une odeur suave, bien qu'inhumé dans la chaux vive; en 1593, puis en 1611 (19 ans). Le jour de l'enterrement de masse pascal Saint, un merveilleux miracle a eu lieu.Pascal ouvrit les yeux, et regarda l'hostie et le calice pendant l'élévation de la messe Il adorait Dieu publiquement, même si il était mort. | ||
120. | Vénérable CATHERINE DU CHRIST BALMASEDA Y SAN MARTIN, carmélite (morte en 1594). Cadavre parfaitement souple et incorrompu en 1597, exhalant une odeur suave et distillant une substance huileuse; même état en 1655, peau brunie ; incorrompu et flexible en 1927 (331 ans), cadavre «cartonné et noirci» en 1981 (387), mais toujours intact, préservation considérée comme dépassant les lois de la nature, parce qu'il n'y a eu ni saponification, ni momification. | ||
121. | Saint PHILIPPE NÉRI fondateur de l'Oratoire (mort en 1594). Corps éviscéré retrouvé intact en 1599, 1602 et 1639 (44 ans). | ||
122. | AUGUSTIN DES ROIS CARRASCO, carme déchaux (mort en 1596). Cadavre retrouvé incorrompu, souple et répandant une odeur suave en 1598, toujours incorrompu mais un peu raidi et la peau brunie, en 1689 (93 ans). | ||
123. | ARCANGELA TARDERA, tertiaire franciscaine (morte en 1599). Corps souple et incorrompu, très odorant, durant 12 jours. STIGMATISÉE |
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124. | MARIA RAGGI, veuve, tertiaire dominicaine (morte en 1600). Incorrompue et exhalant une odeur suave cn 1601 (1 an). STIGMATISÉE |
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125. |
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126.
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STIGMATISÉE
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127. | Sainte GERMAINE COUSIN, bergère (morte en 1601). Corps souple et incorrompu en 1644, en 1661, en 1700 (99 ans), chairs consumées en 1801 après que les révolutionnaires eurent plongé le corps dans la chaux vive. MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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128. | Saint SÉRAPHIN DE NICOLA DE MONTEGRANO, frère laïc capucin (mort en 1604). Corps conservé intact en 1618 (14 ans), réduit à quelques ossements en 1940. | ||
129. | Saint TURIBIO DE MOGROVEJO, archevêque de Lima (mort en 1606). Corps incorrompu et souple en 1607 (1 an), puis en 1622 (16 ans), répandant une odeur suave. | ||
130. | Bienheureux CÉSAR DE BUS, fondateur des Doctxinaires (mort en 1607). Parfaitement souple et incorrompu en 1608 (1 an), intact mais raidi en 1617 (10 ans). | ||
131. | Sainte MARIE-MADELEINE DE PAZZI, moniale carmélite(morte en 1607) Corps souple et intact, répandant un liquide huileux, en 1608 (1 an), toujours incorrompu et souple en 1663 (56 ans). STIGMATISÉE INÉDIE |
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132. | Saint FRANÇOIS CARACCIOLO, fondateur des Clercs Réguliers Minimes (mort en 1608). Corps embaumé, partiellement préservé en 1628 (20 ans). | ||
133. | Saint ANDRÉ AVELLINO, prêtre théatin (mort en 1608) Corps incorrompu et souple en 1609, sang resté fluide (1 an). | ||
134. | ANGÈLE-MARIE-SÉRAPHINE PRAT, réformatrice des Capucines (morte en 1608). Cadavre retrouvé intact et. flexible en 1609, puis en 1615 (7 ans). | ||
135. | Vénérable MARC CRISTOFORI D'AVIANO, prêtre capucin (mort en 1609). Corps retrouvé parfaitement intact et flexible, mais les téguments brunis, en 1703. | ||
136. | Saint CAMILLE DE LELLIS, fondateur des Camilliens. (mort en 1614). Les eaux en crue du Tibre bien qu'ayant réduit son corps à l'état de squelette, son cœur et son pied droit préservés de la corruption son conservés. | ||
137. | Saint BERNARDIN REALINO, prêtre jésuite (mort en 1616). Corps intact, mais desséché, en 24 (8 ans); on détacha les chairs du squelette et on les plaça dans des vases de cristal ; en 1711 (95 ans), lors de la translation des restes, les chairs étaient intactes et baignaient dans du sang frais. | ||
138. |
Sainte ROSE DE LIMA, tertiaire dominicaine (morte en 1617). Corps intact et flexible, répandant une odeur suave, 18 mois après la mort ; incorrompu, mais desséché, et toujours très odorant, en 1630 (13 ans).
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139. | Bienheureuse VICTOIRE FORNARI, fondatrice des Annonciades Célestes (morte en 1617) . Inhumé dans la chaux vive, le corps fut retrouvé parfaitement intact, souple et frais en 1622 ; dans le même état et exhalant un parfum suave en 1632 et 1636; toujours incorrompu et souple en 1829 et 1870 (253 ans). |
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140. | Vénérable MARIA VELA, Cisterciene (morte en 1617) | ||
141. | Vénérable URSULE BENINCASA, fondatrice des religieuses théatines (morte en 1618). Incorrompue, selon IG, mais aucune trace dans les documents officiels, non plus d'ailleurs que des «stigmates». | ||
142. | Vénérable VÉRONIQUE LAPARELLI, moniale cistercienne (morte en 1620). Corps retrouvé parfaitement incorrompu, flexible et frais, les lèvres souples et fermes, le visage très beau, en 1630. | ||
143. | MARIANNE DE JÉSUS, tertiaire franciscaine (morte en 1620). Corps incorrompu en 1624. STIGMATISÉE |
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144. | Saint FRANÇOIS DE SALES, évêque, fondateur de la Visitation (mort en 1622). Corps embaumé, retrouvé intact en 1632 (10 ans), décomposé en 1656. | ||
145. | Saint JOSÉPHAT KUNCIEWICZ, basilien, archevêque de Plock (mort en 1623). Martyrisé, corps jeté à l'eau, intact une semaine plus tard, puis incorrompu en 1637 et 1674 (51 ans). | ||
146. | Bienheureuse MARIE-ANNE DE JÉSUS NAVARRO DE GUEVARA, mercédaire (morte en 1624). Corps parfaitement incorrompu, souple, suavement parfumé, exhalant une essence balsamique d'odeur exquise, en 1731 (107 ans), corps assombri et durci en 1766. | ||
147. | Vénérable ANNE DE SAINT AUGUSTIN DE PEDRUJA, moniale carmélite (morte en 1624). Cadavre retrouvé parfaitement incorrompu et souple, exhalant une odeur suave, en 1628 ; corps toujours intact, mais desséché et bruni, en 1926 (302 ans). | ||
148. | BONAVENTURE GUONA, prêtre Minime (mort en 1630). Cadavre retrouvé incorrompu et souple Il mois après la mort, avec émission de sang frais par les narines et odeur suave; encore incorrompu en 1648. | ||
149. | MADELEINE MORTESKA (morte en 1632), fondatrice des Bénédictines de Culm (Chelmno, Pologne) : Visage intact, corps bien conservé. | ||
150. | Vénérable AGNÈS DE JÉSUS GALAND (AGNÈS DE JÉSUS DE LANGEAC) dominicaine (morte en 1634). Corps intact et suavement parfumé en 1653 (19 ans), corruption progressive des parties découvertes (visage et mains, due sans doute à l'humidité), mais le reste du corps encore intact, desséché, en 1857. STIGMATISÉE INÉDIE |
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151. | Vénérable JEANNE-CHARLOTTE DE BRÉCHARD, visitandine (morte en 1634). Corps intact et souple en 1644, 1645, avec odeur suave, toujours souple et répandant une substance huileuse en 1708 (74 ans), réduit en poussière en 1805. | ||
152. |
Vénérable MÈRE MARIANA DE JÉSUS TORRES , (morte en 1635) En 1906, lors de la rénovation du couvent, le sarcophage dans lequel elle avait été enterré en 1635 a été ouverte et son corps a été découvert, incorrompu. Aujourd'hui, il est conservé dans le niveau inférieur du couvent cloîtré.
LIRE ICI |
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153. | Bienheureux DENYS DE LA NATIVITÉ BERTHELOT, carme martyr à Goa (mort en 1638). Cadavre resté intact, souple et frais durant 7 mois, malgré immersion dans la mer et abandon sur le sable (pour provoquer la corruption), environné durant les premiers jours de lumières éclatantes. | ||
154. | Saint MARTIN DE PORRÈS, dominicain (mort en 1639) Lorsque son corps fut exposé il dégagea effectivement une odeur céleste qui pénétrait les âmes de joie spirituelle |
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155. | ONOFRIO DE FIAMENGA, frère laïc franciscain,, (mort en 1639). Corps souple et incorrompu, plaie du côté encore fraîche, en 1653 (14 ans). STIGMATISÉ
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156. | Sainte JACINTHE MARESCOTTI, tertiaire franciscaine régulière (morte en 1640). Corps incorrompu, exposé à la vénération des fidèles dans une châsse vitrée, dès 1726 (béatification), toujours intact, mais desséché et noirci. STIGMATISÉE
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157. | Sainte JEANNE DE LESTONNAC, religieuse ignatienne (morte en 1640). | ||
158. | Sainte JEANNE-FRANÇOISE DE CHANTAL, fondatrice de la Visitation (morte en 1641). | ||
159. | DELIZIA DE GIOVANNI dominicaine, (morte en 1642). Corps intact, souple et suavement parfumé en 1643 (1 an). STIGMATISÉE |
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160. | Saint JOSEPH CALASANZ, fondateur des Scolopes (mort en 1648) Cœur et langue conservés souples et frais durant plusieurs années après la mort. | ||
161. | FRANÇOIS DE LA CONCEPTION DE BAEZA, carme déchaux (mort en 1649). Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1663 (14 ans). | ||
162. | Bienheureuse VIRGINIE CENTURIONE, fondatrice des Filles de Notre-Dame au Calvaire (morte en 1651). Corps retrouvé parfaitement intact, souple et flexible, en 1801 (150 ans), puis en 1803 (on peut le mouvoir et le laver plusieurs fois), toujours intact, mais raidi, en 1910 (259 ans). | ||
163. | Vénérable MARIE-FRANÇOISE FARNÈSE, clarisse (morte en 1651) Corps incorrompu en 1653, mais décomposé quelques années plus tard. | ||
164. | MARIE CHIALLI, tertiaire Servite de Marie (morte en 1651). Cadavre retrouvé intact et flexible en 1654, lors de la translation canonique. | ||
165. | Saint PIERRE CLAVER, prêtre jésuite (mort en 1654). Corps flexible et incorrompu, parfumé, durant dix jours, intact en 1657 (3 ans). | ||
166. | Vénérable CÉCILE NOBILI, clarisse (morte en 1655). Corps intact et souple en 1665, toujours intact mais desséché en 1712, 1825 et 1946 (ultime reconnaissance canonique). STIGMATISÉE |
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167. | Saint ANDRÉ BOBOLA, prêtre jésuite martyr (mort en 1657). Corps parfaitement incorrompu et souple, plaies encore humides de sang, en 1701, puis en 1730 (73 ans). | ||
168. | MARGUERITE-MARIE DES ANGES VAN VALKENISSEN, carmélite (morte en 1658). Corps incorrompu et desséché en 1663, suintant depuis la mort une substance huileuse. STIGMATISÉE
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169. | Sainte LOUISE DE MARILLAC, Fonde les Filles de la Charité (morte en 1660) |
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170. | MARIE DE LA SAINTE TRINITÉ, moniale dominicaine (morte en 1660) Corps incorrompu et souple en 1662 (2 ans). STIGMATISÉE |
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171. | Saint VINCENT DE PAUL, fondateur des Lazaristes (mort en 1660). Corps intact, sauf les yeux et le nez, en 1712 (42 ans), squelette seul en 1737, chair réduite en cendres odorantes. |
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172. | ROSANNA BATTISTA DE GROTTAGLIA, clarisse (morte en 1663). Corps incorrompu et flexible quelques années après la mort. STIGMATISÉE
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173. | SAINT JOSEPH DE CUPERTINO, prêtre franciscain (mort en 1663) LÉVITATION |
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174. |
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175.
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Bienheureuse MARIE-ANGÈLE ASTORCH, moniale capucine (morte en 1665). Corps conservé intact, les yeux pleins et brillants, en 1683 et en 1725, corps toujours incorrompu en 1867, mais desséché (202 ans), profané en 1936 durant la guerre civile espagnole. |
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176.
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Saint CHARLES DE SEZZE MACCHIONE, franciscain (mort en 1670) STIGMATISÉ |
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177.
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178.
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Sainte MARGUERITE-MARIE ALACOQUE, Religeuse, morte en 1690 |
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179.
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Mère URSULA-MICAELA MORATA GARIBALDO, franciscaine (morte en 1703) |
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180.
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MARCELLINE PAUPER, religieuse de Saint-Gildard de Nevers (morte en 1708). Corps incorrompu en 1709 (1 an). STIGMATISÉE
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181.
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Bienheureux BONAVENTURE LANVANGA DE POTENZA, franciscain conventuel (mort en 1711). Corps retrouvé parfaitement intact et souple, répandant une odeur suave, en 1740. |
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182.
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MARIE ARCANGELA BIONDINI, moniale Serviteur de Marie (morte en 1712). Cadavre retrouvé frais et incorrompu en 1725. STIGMATISÉE
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183. | Saint JOSEPH MARIE TOMASI prêtre de l'Ordre des Clercs Réguliers Théatins et cardinal (mort en 1713). | ||
184. | Vénérable BENOÎTE RENCUREL, tertiaire dominicaine, voyante du Laus (morte en 1718). Corps intact et frais en 1788 (70 ans), saignant à partir d'une blessure accidentelle ; toujours intact en 1819, mais «affaissé», décomposé en 1854. STIGMATES
INEDIE
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185. | Vénérable ANTONIA MARIA BELLONI, religieuse franciscaine (morte en 1719). Corps retrouvé intact en 1738 (19 ans), état de décomposition avancée en 1743. | ||
186. | JEAN-BAPTISTE DE LAVEYNE, o.s.b., fondateur des Sœurs de Nevers (mort en 1719). Corps intact lors de l'exhumation canonique, «peu avant la Révolution», squelette seul en 1870. |
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187. | Saint PACIFIQUE DIVINI DE SAN SEVERINO, franciscain (mort en 1721). Corps parfaitement incorrompu et souple, répandant une odeur suave, répandant du sang frais d'une blessure faite accidentellement, en 1725 (4 ans). | ||
188.
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FRANÇOIS DUTRONCHET, prêtre de Saint Bonaventure, (mort en 1726) STIGMATISE
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189. |
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190. |
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191. | Sainte LUCIE FILLIPINI, fondatrice des Maîtresses Pies (morte en 1732). Corps souple et intact en 1748 (16 ans), toujours incorrompu, mais desséché en 1991. MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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192. | RAYMOND RECROSIO BARNABITE, évêque de Nice (mort en 1732). Cadavre intact et parfaitement flexible en 1633, lors de la translation des restes. | ||
193. |
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194. | Bienheureux PIERRE VIGNE, prêtre fondateur des Sœurs du Saint Sacrement (mort en 1740). Cadavre resté parfaitement intact et souple, frais, le teint vermeil, répandant une odeur exquise, durant quatre jours après la mort, malgré des conditions atmosphériques néfastes (canicule orageuse) et le transfert du corps du lieu de la mort au lieu de sépulture (plusieurs dizaines de kilomètres). |
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195. | Bienheureuse CRESCENCE HOSS, moniale franciscaine(morte en 1744). Corps retrouvé parfaitement souple et intact, le teint frais, 6 mois après la mort. STIGMATISÉE
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196. | EUSTACHE ENTRERI, évêque de Nicastro (mort en 1745) Corps retrouvé parfaitement incorrompu en 1748 (3 ans). | ||
197. | Vénérable CÉSAR SPORTELLI, prêtre rédemptoriste (mort en 1750). Cadavre parfaitement intact et souple en 1753 (3 ans). | ||
198. | Saint LÉONARD DE PORT MAURICE, prêtre franciscain (mort en 1751). Corps incorrompu quelque temps après la mort (?). | ||
199. | Vénérable DOMINIQUE BLASUCCI, clerc rédemptoriste (mort en 1752). Corps parfaitement incorrompu et souple, répandant un sang vif, 20 jours après la mort. | ||
200. | Vénérable MARIE-CÉLESTE CROSTAROSA, fondatrice des Rédemptoristines (morte en 1755). Corps parfaitement intact et souple, avec émissions de sang en 1785, 1788, légères traces de moisissure en 1830 et brunissement de la peau (185 ans). |
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201. | Sainte THÉRÈSE MARGUERITE DU SACRÉ-CŒUR, Carmélite (morte en 1770) Son corps repose dans le monastère de Florence |
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202. | Saint IGNACIO SAN LACONI, Capucin (mort en 1781) |
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203. |
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204. |
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205. | Sainte JULIE BILLIART, fondatrice des Sœurs de Notre-Dame de Namur (morte en 1816) Corps incorrompu et flexible, suintement d'un liquide huileux en 1817 (15 mois), squelette seul subsistant en 1842. | ||
206. |
Bienheureuse ANNE-CATHERINE EMMERICK, moniale augustinienne (morte en 1824). Intacte, souple et fraîche cinq semaines après la mort, premiers signes de putréfaction six semaines après la mort, squelette toujours parfaitement intact en 1974.
STIGMATISÉE
INEDIE
AGRYPNIE
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207. | ÉLISABETH CANORI-MORA, séculière, tertiaire trinitaire (morte en 1825). Corps incorrompu et souple, «joues un peu flétries», sang vif jaillissant de la bouche en 1834 (9 ans). STIGMATISÉE
LIRE ICI |
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208. | Vénérable MARIE-CHRISTINE DE SAVOIE, reine des Deux-Siciles (morte en 1836). Corps parfaitement intact en 1853, puis 1859 (23 ans) | ||
209. |
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210. |
Bienheureux STEFANO BELLESINI, Prêtre (morte en 1840). Son corps incorrompu se trouve au Sanctuaire Genazzano |
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211. | Vénérable LIBRADA (Libérate) Ferrarons, tertiaire du Carmel (morte en 1842). Corps retrouvé incorrompu, souple et exhalant une odeur suave, en 1847. | ||
212. | VICTOIRE-FRANÇOISE BRIELLE, jeune fille laïque (morte en 1847). Cadavre parfaitement intact et souple en 1865. | ||
213. | BLAISE MARMOITON, religieux de la Société de Marie, martyr (mort en 1847).Corps et tête (séparés) intacts et répandant une odeur suave, malgré immersion dans l'eau durant plusieurs jours. | ||
214. | Sainte VINCENTE GEROSA, cofondatrice des Sœurs de Charité de Lovere (morte en 1847). Corps retrouvé incorrompu, souple et frais en 1858, puis en 1871 (24 ans). | ||
215. | Vénérable ANTOINE PENNACCHI, prêtre séculier STIGMATISÉ (mort en 1848). Cadavre incorrompu, souple et répandant du sang 18 jours après le décès; faits sub secreto depuis lors (cas probable de stigmatisation, avec plaie du côté apparente). | ||
216. | Bienheureux DOMINIQUE DE LA MÈRE DE DIEU, né DOMINIQUE BARBERI Prêtre passioniste (Mort en 1849) | ||
217. |
Saint VINCENT PALLOTTI, prêtre fondateur de l'Apostolat Catholique (mort en 1850). Corps intact et souple en 1857, noirci et momifié en 1950. LÉVITATION |
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218. | Bienheureuse ANNE-MARIE JAVOUHEY, fondatrice des Sœurs de Saint-Joseph de Cluny (morte en 1851). Corps incorrompu et flexible en 1911 (60 ans). | ||
219. |
Sainte ROSE PHILIPPINE DUCHESNE, religieuse Société du Sacré-Coeur (morte en 1852). Le corps intact de ROSE PHILIPPINE DUCHESNE repose dans la chapelle de l'académie Périer à Saint Charles (Missouri). |
||
220. | Sainte JOAQUINA DE VEDRUNA, fondatrice des Carmélites de la Charité (morte en 1854). Cadavre intact et souple en 1923 (69 ans). | ||
221. |
Sainte MARIE CRUCIFIÉE DE ROSE, Fonde la Congrégation des Ancelles de la Charité (morte en 1855) |
||
222. | Bienheureux LAURENT DE SAINT-FRANÇOIS-XAVIER SALVI, prêtre, passionniste (mort en 1856). Cadavre intact et souple, peau flexible, teint coloré, 10 mois après la mort. Réduit à l'état de squelette en 1892. | ||
223. | PAUL PACKENHAM, prêtre passionniste (mort en 1857). Corps parfaitement incorrompu en 1894 (37 ans). | ||
224. |
Saint JEAN-MARIE VIANNEY, curé d'Ars (mort en 1857). Corps incorrompu, légèrement desséché, teint bruni, en 1904 (47 ans). LIRE ICI |
||
225. | Vénérable NIMATULLAH AL-HARDINY, prêtre de l'Ordre Maronite du Liban (mort en 1858). Corps retrouvé parfaitement intact en 1914, 1923, 1924, 1927, se desséchant peu à peu. | ||
226. | Saint JOHN NÉPOMUCÈNE NEUMANN, Prêtre Rédemptoriste, Evêque, mort en 1860 |
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227. | ANNE-MARIE FIORELLI-LAPINI, fondatrice des Sœurs des Saints-Stigmates (morte en 1860). Corps intact et souple en 1863 (3 ans). | ||
228.
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Vénérable MARIA AGNÈS CLAIRE DU SACRÉ CÔTÉ DE JÉSUS (THÉRÈSE CHIARA STEINER) clarisse, marques aux mains, (morte en 1862) STIGMATISÉE LIRE ICI |
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229. | FRANÇOIS-MARIE GIUSTI DE COLLODI, franciscain (mort en 1863). Corps conservé intact, souple et frais, exhalant des parfums suaves durant 18 jours après sa mort. | ||
230. | Vénérable PHILOMÈNE-JEANNE GÉNOVÈSE, tertiaire franciscaine (morte en 1864). Cadavre intact, flexible et frais durant un mois après le décès, retrouvé incorrompu et souple en 1885 (21 ans), réinhumé, actuellement les faits restent sub secreto. | ||
231. |
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232. | Sainte MARIE DE SAINTE-EUPHRASIE PELLETTIER, fondatrice du Bon-Pasteur (morte en 1868). Corps intact en 1903, suite à un processus de saponification (35 ans). | ||
233. |
Saint PIERRE-JULIEN EYMARD, fondateur des prêtres du Très Saint Sacrement (mort en 1868). Corps intact, mais desséché et noirci, en 1876 (8 ans). |
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234. | PAULINE DE NICOLAY, tertiaire franciscaine(morte en 1868). STIGMATISÉE
Corps parfaitement intact, souple et frais lors de l'exhumation, six mois après la mort.
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235. | Vénérable PHILOMÈNE FERRER DE SAINTE-COLOMBE, religieuse Minime (morte en 1868). Corps retrouvé intact, souple et frais, en 1869, 1879 et 1880 (12 ans). |
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236. | MARIE-DOMINIQUE BRUN BARBANTINI, fondatrice des Sœurs Ministres des Infirmes (morte en 1868). Corps retrouvé parfaitement intact et souple en 1898 (30 ans), toujours intact, mais desséché en 1928 (60 ans), totalement corrompu en 1979. | ||
237. |
Sainte NARCISA DE JÉSUS MARTILLO MORAN, séculière (morte en 1869). Corps resté intact, souple et frais, exhalant une odeur suave durant plus d'une semaine après la mort, retrouvé dans le même état en 1916 (37 ans). |
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238. | JOSÉPHINE FARO, jeune fille séculière (morte en 1871). Cadavre retrouvé incorrompu et souple en 1872, toujours intact, légèrement raidi mais exhalant des parfums suaves en 1896 (25 ans). | ||
239.
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BARBARA DE SANTO DOMINGO JURADO Y ANTUNEZ, dominicaine, plaies aux mains, pieds, côté et couronne dépines, (morte en 1872) STIGMATISÉE | ||
240. |
Sainte CATHERINE LABOURÉ, Fille de la Charité (morte en 1876). Corps parfaitement intact et souple en 1933 (56 ans). MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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241. | Sainte BERNADETTE SOUBIROUS, religieuse de Saint-Gildard de Nevers (morte en 1879). Corps parfaitement intact, visage légèrement assombri en 1909 (30 ans). MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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242. | Sainte MARIE-JOSEPHE ROSSSELLO, fondatrice des Filles de Notre-Dame de la Miséricorde (morte en 1880). Corps retrouvé intact en 1917 (37 ans). | ||
243. |
Sainte MARIE-DOMINIQUE MAZZARELLO, Fondatrice des filles de Marie Auxiliatrice (morte en 1881). |
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244. |
Bienheureuse PAULA FRASSINETTI, Fondatrice de la congrégation Sainte Dorotée (morte en 1882). Corps a été retrouvé incorrruptible à en 1906 |
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245. | Bienheureuse MERCÉDÈS DE JÉSUS MOLINA, fondatrice des Sœurs de la Bienheureuse Marianne de Jésus (morte en 1883).Corps retrouvé souple et intact en 1884, resta exposé en cet état sans changement jusqu'en 1904, puis fut réinhumé canoniquement. Réduit à l'état de squelette en 1948. | ||
246.
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Vénérable LOUISE LATEAU, tertiaire franciscaine, +1883 STIGMATES
INÉDIE |
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247. |
Bienheureuse MARIE DE JESUS DELUIL MARTINY , Fondatrice de la Congrégation des Filles du Cœur de Jésus (morte en 1884) Son corps incorrompu est conservé dans dans une chasse de verre, dans la Basilique du Sacré-Cœur à Berchem |
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248. | MARIA ANTONIA DE SAINT-PIERRE PARIS, fondatrice des religieuses clarétines (morte en 1885). Restée intacte et souple durant un mois après le décès, corps retrouvé intact, mais noirci et desséché en 1920 (35 ans). | ||
249. | Sainte MARIE SOLEDAD TORRÈS ACOSTA, fondatrice des Servantes de Marie Ministres des Infirmes (morte en 1887). Corps intact et souple en 1893 et en 1901 (14 ans). |
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250. |
Saint JEAN BOSCO, (né Giovanni Melchior Bosco), Prêtre, fonde la Congrégation des Saléiens, mort en 1888 MIRACLE EUCHARISTIQUE LIRE ICI |
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251. | Bienheureux FRANÇOIS FAA DI BRUNO- prêtre fondateur des Sœurs de Sainte-Zita (mort en 1888). Corps intact en 1900, réduit à l'état de squelette en 1925. | ||
252. | Sainte VINCENTE LOPEZ VICUNA, fondatrice des Filles de Marie Immaculée (morte en 1890). Corps intact et souple en 1893, toujours intact, mais raidi, en 1898 (18 ans). |
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253. | Bienheureux INNOCENT SCALVINONI DE BENO, capucin (mort en 1890) Cadavre retrouvé parfaitement intact et souple, le visage légèrement bruni, 6 mois après | ||
254. | Bienheureuse MARIE-ANNE SALA,religieuse des «Marcellines» (morte en 1891). Corps retrouvé incorrompu et frais en 1920 (29 ans). | ||
255. | Bienheureux JOSEPH-BENOÎT DUSMET, archevêque o.s.b. de Catane, cardinal (mort en 1894) Corps retrouvé parfaitement incorrompu et souple en 1904. | ||
256. |
Vénérable PÈRE PAUL DE MOLL, prêtre bénédictain (mort en 1896). Le corps du vénérable Paul de Moll a été exhumé en 1899, 3 ans après sa mort, et jugés dans un état parfait de conservation. |
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257. | Vénérable GALILEO NICOLINI, novice passionniste (mort en 1897). Cadavre retrouvé intact et souple en 1899 (2 ans). | ||
258. |
Saint CHARBEL MAKHLOUF, prêtre de l'Ordre Maronite libanais (mort en 1898). Corps intact et souple répandant un liquide séreux, en 1899, toujours intact et suintant en 1950 et 1952 (54 ans). |
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259. | Bienheureuse ROSA MARIA BENEDETTA GATTORNO CUSTO (ANNA ROSA), fondatrice des Filles de Sainte-Anne(morte en 1900). Corps parfaitement intact et souple, frais et moite, en 1932 (32 ans). STIGMATISÉE
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260. | RAPHAËL PETRUCELLI DE SANT'ELIA A PIASINI, prêtre capucin (mort en 1901).Cadavre retrouvé intact, mais bruni et desséché, répandant une odeur suave, en 1936 (35 ans). | ||
261. |
Sainte MARIA GORETTI, martyr, morte en 1902 |
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262. | Bienheureuse GERTRUDE COMENSOLI, fondatrice des Sacramentines (morte en 1903). Corps parfaitement incorrompu et souple en 1908 (5 ans). |
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263. | MARIE-CRUCIFIÉE CAPUTO, co fondatrice des religieuses Baptistines (morte en 1903) Corps parfaitement intact et souple en 1939 (36 ans). | ||
264. |
MÉLANIE CALVAT (morte en 1904) : la voyante de la Salette,. Corps incorrompu et souple à l'exhumation, en 1905.
STIGMATISÉE
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265. | Bienheureuse MARIE ASSUNTA PALLOTTA, franciscaine missionnaire de Marie (morte en 1905). Corps intact et souple en 1913 (8 ans). |
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266. | Vénérable VALENTIN PAQUAY, prêtre franciscain (mort en 1905). Cadavre retrouvé en grande partie intact en 1926, avec amorce d'un processus de momification. | ||
267. | CARL MARIE SCHILLING, prêtre barnabite (mort en 1907) Corps retrouvé intact en 1924, la barbe ayant un peu poussé. | ||
268. | GASPARD GOGGI, prêtre de la Divine Providence (DON GRIONE), (mort en 1908). Corps retrouvé parfaitement intact en 1925 et en 1960 (52 ans). | ||
269. | Bienheureux ARNOLD JANSSEN, fondateur des Missionnaires du Saint-Esprit (mort en 1909). Cadavre intact en 1945, avec amorce d'un processus de momification. | ||
270. | Bienheureuse MARIE SCHININA, fondatrice des Sœurs du Sacré-Cœur (morte en 1910).Corps parfaitement intact et souple en 1913, toujours intact, mais bruni et raidi en 1977 (début d'un processus de momification?). | ||
271. | Bienheureuse THÉRÈSE-MARIE DE LA CROIX MANETTI, fondatrice des Carmélites de Sainte-Thérèse (morte en 1910). Corps retrouvé intact et exhalant un parfum suave, en 1912 (2 ans). LÉVITATION STIGMATISÉE |
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272. | MARIE-LOUISE NERBOLLIERS,«la visionnaire de Diémoz» (morte en 1910). Corps retrouvé parfaitement intact, souple et exhalant une odeur suave, en 1939. STIGMATISÉE |
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273. | Bienheureux BERNARD-MARIE DE JÉSUS SILVESTRELLI, prêtre passionniste (mort en 1911). Corps retrouvé parfaitement incorrompu et flexible en 1931 (20 ans). | ||
274. | Vénérable MARIE DU COEUR DE JÉSUS SANCHO DE GUERRA,fondatrice des Servantes de Jésus (morte en 1912) Corps retrouvé tout à fait intact en 1926, bien qu'ayant été inhumé dans la chaux vive. | ||
275. | JACQUES VIALE, franciscain, curé de Bordighera (mort en 1912). Corps intact, mais en voie de momification, en 1925 (13 ans). | ||
276. | Bienheureuse MARIE DE LA PASSION TARALLO (MARIA GRAZIA TARALLO)religieuse descrucifiées Adoratrices de l’Eucharistie, Cofondatrice des Servantes de Marie Immaculée (morte en 1912) Corps retrouvé intact, mais raidi, exhalant une odeur suave, en 1919. STIGMATISÉE INÉDIE |
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277. | FRANÇOIS SPINELLI, prêtre fondateur des Adoratrices Sacramentouvé parines (mort en 1913). Corps retrfaitement intact et souple en 1924 (11 ans). |
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278. | MARIA BENEDETTA FREY, moniale cistercienne (morte en 1913). Cadavre retrouvé intact, mais desséché et bruni, en 1968 (55 ans). STIGMATISÉE |
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279. | ANDRÉ PRÉVOST, prêtre de la Congrégation du Sacré-Cœur de Jésus (mort en 1913). Corps retrouvé intact et souple en 1936 (23 ans). | ||
280. |
Saint PIE X, Pape, mort en 1914
LIRE ICI |
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281. | Vénérable ADOLPHE PETIT, prêtre jésuite (mort en 1914). Corps retrouvé intact, mais durci et bruni, en 1938 (momification ?). | ||
282. | MARIA ROSA ZANGARA, fondatrice des Filles de la Miséricorde(morte en 1914). Corps parfaitement intact, souple et frais, émettant du sang vif, en 1927 ; dans le même état et avec les mêmes phénomènes en 1964 (50 ans), désormais sub secreto. STIGMATISÉE |
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283. | Sainte FRANÇOISE DE SALLES née LEONIA AVIAT, Sœur Oblate de Saint François de Sales (morte en 1914) Le 11 avril 1961, son corps a été transféré à Troyes, où elle a été enterrée dans la crypte de Saint-Gilles dans la maison mère. À la surprise générale, le corps était entièrement conservé. | ||
284. | FÉMORONATI(morte en 1915), religieuse des Adoratrices Ancelles de la Charité et du Saint-Sacrement Corps toujours incorrompu en 1991. | ||
285. | MARIE-CLAIRE-SÉRAPHINE DE JÉSUS FAROLFI, fondatrice des Clarisses Missionnaires du Très Saint-Sacrement (morte en 1917). Corps retrouvé parfaitement intact et souple en 1936 (19 ans). | ||
286. | Sainte FRANÇOISE-XAVIÈRE CABRINI, fondatrice des soeurs missionnaires du Sacré-Coeur. (morte en 1917). Son corps transporté à New-York, dans la chapelle de l'école qui porte son nom. ses restes sont encore vénérés. |
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287. |
Corps retrouvé parfaitement intact répandant une odeur suave, en 1935 et 1950. MIRACLE EUCHARISTIQUE |
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288. |
Bienheureuse MARIA MARGARET CAIANI, Fondatrice de la Congrégation du Coeur-Sacré faible (morte en 1921). |
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289. | Sainte BERTILLE BOSCARDIN, religieuse des Sœurs de Sainte-Dorothée (morte en 1922). Corps intact et souple, frais et morbide en 1937 (15 ans), décomposé en 1952. | ||
290. | ADRIEN OSMOLOWSKI, prêtre franciscain (mort en 1924). Cadavre retrouvé intact lors de la translation en 1950. | ||
291. |
Bienheureux PIER GIORGIO FRASSATI, laïc (mort en 1925). Corps parfaitement intact, souple et répandant une odeur suave, en 1981 (56 ans). |
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292. | Vénérable MARGARET DES CINQ PLAIES DE JÉSUS SINCLAIR, clarisse (morte en 1925). Corps retrouvé intact et flexible en 1927. | ||
293. |
Saint ANNIBALE MARIA DI FRANCIA, Prêtre fondateur de la congrégation des Rogationistes du Coeur de Jésus et des filles du divin zèle (mort en 1927). |
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294. | MARIE DE JÉSUS LANDI, tertiaire franciscaine (morte en 1931). Cadavre toujours intact, souple et répandant une odeur suave, en 1932 ; les faits ultérieurs sont tenus sub secreto. STIGMATISÉE |
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295. | CAROLINE BELTRAMI, fondatrice des religieuses Immaculatines (morte en 1932). Corps retrouvé intact en 1944 (12 ans). | ||
296. |
Sainte ANGÈLE DE LA CROIX, Carmélite, fondatrice de l'Institut des Soeurs de la Compagnie de la Croix, morte en 1932 |
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297. |
Vénerable MARIA CRESCENCIA PEREZ Religieuse Notre Dame du Jardin (morte en 1932). Corps retrouvé incorrompu en 1983. |
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298. | ANFROSINA BERARDI, fillette décédée à 13 ans (morte en 1933). Corps retrouvé intact, flexible et suavement parfumé en 1950. INÉDIE |
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299. | MARIE-THÉRÈSE DE JÉSUS CORTIMILIA, fondatrice des Sœurs de Sainte-Claire (morte en 1934) Corps retrouvé intact en 1949 (15 ans) ; faits ultérieurs sub secreto. STIGMATISÉE |
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300. | ANDRÉ-HYACINTHE LONGHIN, capucin, évêque de Trevi (mort en 1936). Corps retrouvé intact en 1984 (48 ans), mais en partie momifié. | ||
301. | IGNACE CASANOVAS PERAMONS, religieux scolope martyr (mort en 1936). Cadavre retrouvé parfaitement intact, les blessures encore humides de sang en 1948. | ||
302. | MARIE-ROSE FERRON, séculière(morte en 1936). Retrouvée parfaitement incorrompue, souple et exhalant une odeur suave, en 1947. Le fait a été démenti et a donné lieu à une vrolente polémique, mais les témoignages semblent inattaquables. STIGMATISÉE INÉDIE |
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303. | Vénérable ESTER MORICONI, Augustine des l'Oblats de Sainte-Marie,(morte en 1937) STIGMATISÉE |
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304. | Vénérable MARIE CONCEPTION CABRERA ARMIDA, veuve, fondatrice (morte en 1937). Corps en partie intact en 1962 ; les faits ultérieurs sont sub secreto. LIRE ICI |
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305. | Bienheureux STEPHEN NEHME,maronite (mort en 1938). Son corps incorruptible se trouve dans le monastère des Saints. Cyprian and Justina. | ||
306. |
Saint RAPHAËL GUIZAR VALENCIA, Evêque de Veracruz au Mexique(morte en 1938) L'exhumation du corps en 1950 le trouve incorruptible. Il est tranféré à Capilla de Santa Teodora en la Catedral de Xalapa. |
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307. | Sainte URSULA LEDOCHOWSKA, Fondatrice de la Congrégation des Ursulines du Coeur de Jésus Agonisant(morte en 1939) Son corps incorruptible a été transféré à la Maison-Mère de Pniewy en Pologne | ||
308. | Bienheureuse MARIE GABRIELLA SAGGHEDDU, moniale trappistine (morte en 1939). Corps intact et souple en 1957, décomposé en 1975, sauf les avant-bras et les mains jointes dans l'attitude de la prière. | ||
309. | Mère THÉRÈSE DE JÉSUS LINDENBERG (morte en 1939) | ||
310. | JEAN NADIANI, religieux du Très Saint-Sacrement (mort en 1940). Corps parfaitement conservé, mais desséché, en 1988. | ||
311. |
Saint LUIGI ORIONE, Prêtre fondateur des Ermites de la Divine Providence (mort en 1940) Corps, retrouvé intact lors de la première exhumation en 1965, a été mis en honneur dans le sanctuaire de Notre-Dame de la Garde de Tortona |
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312. | Bienheureuse MÈRE MARIA ALVARADO DE SAN JOSÉ, Fonde la congrégation des Augustins Récollets (morte en 1940) lors de l'exhumation de 1994, le corps a été découvert intactau milieu du cercueil de bois totalement détruit par l'humidité du sous-sol, ainsi que son habit religieux et la croix de bois en parfait état. Les feuilles du bouquet de lys étaient encore vertes. | ||
313. | MARIE AMPARO DU SACRÉ-COEUR DELGADO, clarisse (morte en 1941).Corps retrouvé intact en 1946 ; les faits sont sub secreto. | ||
314. | Saint LÉOPOLD MANDIC DE CASTELNUOVO, prêtre capucin (mort en 1942). Corps retrouvé incorrompu et légèrement momifié, en 1963 (21 ans). | ||
315. | Bienheureuse NAZARIA IGNATIA MARCH ESA, Fondatrice des missionnairesde l'Eglise (morte en 1943) En 1972. son corps incorruptible a été transféré à Oruro | ||
316. | MARIE-JOSEPHE GIACCOBINI, moniale dominicaine (morte en 1944). Corps intact et souple lors de la translation des restes, en 1961 (17 ans) ; les faits sont à présent sub secreto. | ||
317. | Vénérable FRANÇOIS CHIESA, prêtre séculier (mort en 1946). Corps intact lors de la translation des restes, en 1960 (14 ans) ; les faits sont à présent sub secreto. | ||
318. | Vénérable ALBERTO MARVELLI, jeune homme séculier (mort en 1946) Corps retrouvé parfaitement intact et souple lors de la translation des restes, en 1974 (28 ans). | ||
319. |
Vénérable JOSÉPHINE BAKHITA, religieuse canossienne d'origine soudanaise (morte en 1947). Corps intact, souple et frais, lors de la translation des restes en 1967 (20 ans). |
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320. |
Bienheureuse MARIE-JOSÉPHINE DE JÉSUS-CRUCIFIÉ CATANEA, carmélite (morte en 1948). Corps resté intact, souple et suavement parfumé durant plus d'un mois, retrouvé incorrompu quelques années plus tard ; les faits sont désormais sub secreto. LÉVITATION |
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321. | JOACHIM-MARIE STEVAN, professe Serviteur de Marie (mort en 1949) Corps retrouvé parfaitement incorrompu en 1959, puis en 1961 lors de la recognition canonique des restes (12 ans). | ||
322. | LÉONIEVAN DEN DIJCK, mère de famille, visionnaire d'Onkerzele (morte en 1949). Corps retrouvé intact lors de l'exhumation en 1972 (23 ans). | ||
323. | ANNA HENLE, séculière (morte en 1950). Corps retrouvé incorrompu et flexible en 1977 ; les faits sont sub secreta. |
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324. | JOSÉFA CAMPOS TALAMANTES, fondatrice des Catéchistes de Notre-Dame des Douleurs (morte en 1950). Corps retrouvé parfaitement intact en 1955 | ||
325. |
YVONNE-AIMÉE DE MALESTROIT, augustine hospitalière, résistante décorée par de Gaulle (morte le 3 février 1951). STIGMATISÉE
AGRYPNIE : le plus souvent un quart d'heure
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326. | Bienheureux ALFRED ILDEPHONSE SCHUSTER, archevêque o.s.b. de Milan et cardinal (mort en 1954). Corps retrouvé parfaitement incorrompu en 1985 lors de l'exhumation canonique ; soumis à un traitement conservateur après la mort, mais le fait a été retenu comme exceptionnel. Son corps, ayant débuté son processus de décomposition avant son inhumation, fut retrouvé parfaitement intact en 1957. |
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327. | Vénérable ITALA MELA, oblate bénédictine (morte en 1957). Corps retrouvé parfaitement intact en 1983, processus de saponification. | ||
328. | Vénérable SOLANUS CASEY, prêtre francicain (mort en 1957). Lors de son exhumation en 1987 (30 ans après sa mort) les frères de son ordre présents constatent l'incorruptibilité de son corps et disent que la couleur de ses yeux pouvait être vue | ||
329. |
Bienheureux ALOÏS STEPINAC, Prêtre, (mort en 1960), Corps incorrompu, conservé et vénéré en la Cathédrale de Zagreb |
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330. |
Saint GEORGES PRECA, né Francis Anthony Postillo , Prêtre, tiers ordre carmélitain Fondateur de la Société de la Doctrine chrétienne, mort en 1962 |
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331. |
Saint GAÉTANO CATANOSO, Prêtre fondateur de la Congrégation des Soeurs véronique de la Sainte Face (mort en 1963) |
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332. | Bienheureuse JOSAPHATA MYKHAILYNA HORDASHEVSKA, Fondatrice uktainienne greco-catholique de l'ordre Basilien (morte en 1963) Corps conservé et transféré en 1982 à la Mère des Sœurs Servantesde Rome | ||
333. | Vénérable MONICA DE JÉSUS CORNAGO ZAPATER, moniale augustine récolette (morte en 1964). Corps retrouvé intact, mais desséché et bruni, en 1967 (momification ?). | ||
334. | Bienheureuse MARIA ALVARADO DE SAN JOSÉ, Augustine Récollet , (morte en 1967), L'exhumation en 1994 trouver son corps incorrompu, au milieu de la destruction presque totale de l'urne en bois et l'humidité du sous-sol. Son corps intact, son habit religieux en parfait état, de même la croix de bois et le bouquet de lys dont les feuilles sont encore vertes. | ||
335. |
Saint PADRE PIO, prêtre capucin (mort en 1968), retrouvé intact en 2008. STIGMATISÉ INÉDIE AGRYPNIE : trois heures de sommeil quotidien
LIRE ICI |
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336. | Bienheureux VASYL VELYCHKOVSKY, évêque (mort en 1973. En 2001, on exhuma son corps, qui apparut intact, sans trace de corruption, et fut installé dans l’église SAINT-JOSEPH DE WINNIPEG (Canada) LIRE ICI |
LA MORT BIOLOGIQUE
[...]Enfin arrive la mort biologique qui suit avec l'explosion des cellules et des tissus, la liquéfaction, la putréfaction avec émission de méthane et d'odeurs nauséabondes, enfin les chairs qui se détachent des os. Mais ceci ne se produit pas toujours et ne résout pas encore les problèmes des corps incorruptibles, myroblytes, des cadavres parfumés, etc. Ils ont été étudiés en particulier par le Dr. Larcher dans La mémoire du soleil (Désiris, 1990).
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Docteur en Médecine et Licencié en philosophie, Il était l'un des plus fameux chercheurs en parapsychologie du moment et (entre autre) un des fondateurs de la Société de Thanatologie en 1966 (1).
De sa soutenance de doctorat en 1951 à propos de l' «Introduction à l'étude de l'adaptation à la mort fonctionnelle», Hubert LARCHER publia en 1957 un ouvrage intitulé «Le sang peut-il vaincre la mort ?» aux Editions Gallimard réédité en 1990 sous le titre «La mémoire du soleil, aux frontières de la mort» ( Editions Désiris).
Directeur de l'Institut Métapsychique International (IMI) de 1977 à 1995, il contribua de par ses connaissances multiples dans des domaines aussi variés que complexes tels que la métapsychique, la théologie ou encore la psychologie, au développement de l'Institut à travers le monde.
La communication la plus surprenante qu'il fit et qui intéressa le thanatopracteur un peu curieux sur le devenir de certains corps est relatée dans la Revue Métapshychique de Mars-Avril 1954 sur trois cas extraordinaires d'incorruption de la chair.
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LE CAS SAINTE THERESE D'AVILA DE AHUMADA
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L'illustre Médecin relate le cas de Thérèse d'Avila De Ahumada inhumée en 1515 en odeur de sainteté, entendez par là que son corps exhalait des odeurs «suaves» de lys, de jasmin et de violette.
En 1598, on avait érigé un monument de pierre sur l'emplacement de la sépulture primitive, le corps fut déposé dans une châsse splendide donnée par la Duchesse d'Albe et l'on grava sur la pierre une inscription où l'on pouvait lire «...Sous ce marbre repose, non sa cendre, mais sa chair flexible, incorruptible dont le parfum très suave est le signe merveilleux de sa gloire».
Exhumée par onze fois dans le but de constater son état de conservation entre 1515 et octobre 1952 , on constatat que le temps n'avait eu aucune emprise sur son corps.
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Elle mourut dans la nuit du 4 au 15 octobre 1582, quand l'Espagne et le monde catholique basculèrent du calendrier julien au calendrier grégorien. Sa dépouille fut enterrée dans le couvent de l'Annonciation de la ville, une main ayant été sectionnée et conservée dans un reliquaire d'Avila (le père Gracián en coupa le petit doigt).
Les bollandistes et ses historiens en témoignent : «L'odeur que l'on avait déjà remarquée à diverses reprises durant sa vie, beaucoup plus pénétrante pendant sa dernière maladie, le devint encore davantage après sa mort, si bien que les religieuses durent laisser la nuit entière la porte et la fenêtre ouvertes malgré la saison. Le lis, le jasmin, la violette, semblaient avoir uni leurs plus suaves senteurs dans cet arôme auquel rien ne pourrait être comparé. ». La foule remarqua tout de suite le parfum merveilleux qui émanait de Thérèse pendant le transport du corps sur un brancard. Le corps fut déposé sans être embaumé dans un cercueil de bois. Il fut descendu dans une fosse très profonde recouverte d'une grande quantité de pierres, de chaux, de terre humide et d'une pierre sépulcrale. Pendant les neuf mois qui suivirent les obsèques, le parfum, traversant l'épaisse couche de pierres et de terre sous laquelle reposait le corps.
Le 1er janvier 1586, les religieuse se rendîrent au monastère des Carmélites et ouvrirent la châsse ... Elles considératent la sainte très attentivement. Son corps était entier, intact, et d'une odeur céleste. Les os étaient si bien joints, les nerfs si bien liés les uns avec les autres, qu'il se tenait debout à l'aide du moindre appui. La chair était si souple, si tendre, si flexible, qu'elle s'abaissait quand on y mettait le doigt, puis se relevait comme si la sainte Mère eût été en vie ; et, bien qu'elle eût conservé son embonpoint, le poids du corps était léger comme celui d'un enfant de deux ans. » Les historiens de la sainte insistent tous sur la suavité de l'odeur que répand son cadavre, sur la fraîcheur des chairs qui semblent encore en vie. En 1598, un monument de pierre fut érigé sur l'emplacement de la sépulture primitive. Le corps de sainte Thérèse fut transféré dans une somptueuse châsse offerte par la duchesse d'Albe. A son exhumation le 25 novembre 1585, découverte incorrompue alors que les vêtements avaient pourri, on y laissa un bras et le reste du corps fut envoyé à Avila, dans la salle du chapitre du couvent de Saint-Joseph. Le transfert se fit un samedi du mois de novembre de 1585, presque en secret. Les religieuses du couvent d'Alba de Tormes demandèrent à conserver un bras comme relique. Quand le duc d'Alba se rendit compte du transfert, il se plaignit à Rome et entama des négociations pour le récupérer. Le corps fut renvoyé à nouveau à Alba de Tormes, par ordre papal (1586). En 1598, un sépulcre fut édifié. On y transféra son corps, toujours intact, dans une nouvelle chapelle en 1616, puis en 1670, dans une chasse d'argent. Après ces événements, on ne fit plus d'autres atteintes à ses restes. Ils sont désormais dans plusieurs endroits :
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Deuxième cas d'incorruption de la chair et autre époque, le cas du Moine Maronite Youssef Makhlouf décédé le 24 décembre 1898 dans un ermitage du Monastère de Saint Maron à Anaya au Liban et qui fut placé dans une tombe recouverte d'une pierre «dans laquelle se déversait l'eau de pluie pénétrant de la terrasse et qui fit de la tombe du moine un véritable bourbier».
A l'ouverture du tombeau il fut permis de constater que le corps du Père Charbel Youssef Maklouf, «débarrassé de la moisissure qui le recouvrait se trouvait intact dans tous ses membres, la peau gardait sa fraîcheur et dont un sang bien rouge mêlé d'eau coula de son côté» et ce près de 52 ans après son décès.
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Nous n'évoquerons pas ici le cas, célèbre, et étudié en détail par le Dr Larcher en son ouvrage «Le sang vaincra-t-il la mort ?» De sainte Thérèse d'Avila, dont le corps imputrescible exhale une pénétrante odeur de violette, d'iris et de lys ; mais nous aborderons maintenant un fait que nous pourrions assimiler à la préservation du corps de saint Amadour, nous voulons parler du cas de Youssel Makhlouf, en religion le Père Charbel, moine maronite né en 1828, à Bika Kafra dans le nord du Liban. Il mourut le 24 décembre 1898, dans le nord du Liban, dans un ermitage dépendant du monastère de Saint-Maron, à Annaya, il avait soixante-dix-huit ans.
Son corps fut déposé dans une tombe touchant l'église. Cette dernière avait une sorte de marche élevée de vingt-cinq centimètres. C'est là que le moine dormit de son dernier sommeil.
La tombe étant située plus bas que le niveau du sol, l'eau y pénétrait lors des pluies violentes qui s'abattaient sur la région. Elle fut fermée par une grosse pierre que l'on recouvrit de terre.
Or la nuit suivante, puis quarante-cinq nuits durant, des phénomènes lumineux, visibles à des centaines de mètres à la ronde se manifestèrent au-dessus de cette sépulture.
Ces manifestations insolites poussèrent les moines à ouvrir la tombe du moine, le 15 avril 1899. Cette dernière était alors un véritable bourbier. Le corps du Père Charbel flottait sur cette boue. Débarrassé de la moisissure qui le recouvrait, on découvrit avec stupeur que ce dernier était intact. Les membres toujours flexibles prouvaient que les muscles avaient gardé leur souplesse. La peau gardait sa fraicheur, pas un poil de sa barbe, pas un seul cheveu de sa tête n'était tombé ; la trace de la chaîne de fer, dont l'ermite s'entourait les hanches, était encore bien visible.
Lorsque l'on essuya la moisissure qui avait recouvert ses mains, posées sur sa poitrine, et son visage, un sang bien rouge coula, mêlé d'eau.
Préservé de la corruption, les vêtements du mort furent changés, et la dépouille déposée dans un cercueil vitré, placé dans un oratoire ; le suintement persista.
En 1900, afin de dessécher le corps, on l'exposa sur la terrasse de l'église pendant six mois. En vain ! Vingt-sept ans durant, le liquide composé de sang et d'eau continua de suinter hors du cadavre.
Les plus hautes autorités médicales admettent aujourd'hui que la définition de la mort légale, reposant sur un arrêt absolu du cœur et de la respiration, était à revoir.
Une question se pose alors. Tout organisme puisant sa survie dans le milieu ambiant, ne demeure-t-il pas une activité psychique et instinctive. Ne se trouve-t-on pas alors devant un dédoublement qualifié de miraculeux, capable d'agir sur son environnement. Si cette hypothèse est exacte : Saint Amadour aurait agit sur l'âme de centaines de milliers de pèlerins, imprégnant les lieux mêmes du célèbre sanctuaire de sa puissante foi.
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Troisième et dernier cas révélé par le Docteur LARCHER dans la Revue Métapsychique, celui de Roseline De Villeneuve qui s'éteint le 17 janvier 1329 à l'âge de 66 ans et dont le corps garda toute sa souplesse et plus particulièrement les yeux qui conservèrent leur éclat et leur limpidité pendant plusieurs jours.
Tel que Benjamin BONNAUD, un jeune thanatopracteur du nord de la France me l'a fait remarquer à ce sujet, le cas de Roseline De Villeneuve ne peut être totalement assimilé aux phénomènes dit «d'incorruption» car si son oeil a gardé un certain éclat depuis maintenant 679 ans (son corps est visible dans la Chapelle de Sainte-Roseline-Des-Arcs-Sur-Argens dans le Var), son corps quant à lui présentait un délabrement quasi total semble t il à partir de 1887 soit 558 ans après sa mort.
Hubert LARCHER qui avait fait une étude personnelle du corps de la Sainte le 3 septembre 1951, relatait dans la revue métapsychique de l'IMI que ses yeux étaient en voie de destruction (par des moisissures) et que le corps présentait des moisissures sur le bord cubital de la main droite. Le Docteur LARCHER reprit les conclusions faites en 1887 qui relataient les différentes interventions faites par les embaumeurs pour lutter contre la présence d'insectes (probablement nécrophages).
C'est en 1894, à la fin du XIXème siècle que le corps a été restauré par le Docteur Pietro Neri à l'aide de cire d'abeille qu'il teinta de noir; ce n'est qu'en 1929 qu'une exhumation eut lieu et que le le Docteur Paul Sabatier put constater l'état du corps et utilisa les termes suivants :
- Dessication relative, couleur noire ébène
- Matière ivoire
- Yeux restés identiques
La première exhumation eut lieu le 11 juin 1334, la dernière le 3 septembre 1951 soit 622 ans après sa mort, le corps était quasi intact depuis la restauration entreprise par Le Docteur Neri, Hubert LARCHER note ceci «seul l'oeil gauche est en voie de destruction et l'on note des moisissures sur le bord cubital de la main droite».
Le corps de la Sainte fut par la suite mise à l'abri dans une châsse pour la préserver durant des temps «troublés», la légende raconte qu'elle fut même perdue et que c'est un aveugle qui la retrouva à travers un rêve qu'il fit où la Sainte lui révéla la position de son tombeau et lui redonna miraculeusement la vue, ce n'est qu'en 1614 qu'elle fut de nouveau exposée et c'est en 1660 que Antoine Vallot, alors médecin de Louis XIV et fasciné par les yeux de la Sainte perça d'une aiguille le globe gauche de Roseline De Villeneuve laissant s'echapper le corps vitré et ternissant à jamais la prunelle.
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Roseline est née en 1263 et elle a quitté notre monde le 17 janvier 1329 à la Colle-Roubaud, près « les Arcs », non loin de Toulon.
Lors de sa mort, pendant plusieurs jours, les fidèles défilèrent devant sa dépouille. Des dizaines de cas de guérisons miraculeuses furent constatées. On remarqua alors que le cadavre conservait sa souplesse, défiant les lois de la corruption. Les yeux de la morte gardaient leur éclat et leur limpidité.
Plusieurs mois après son inhumation, les sœurs de la Colle-Roubaud se rendirent compte que le corps de la religieuse exhalait un suave parfum de roses, qui se répandait à l'endroit de la sépulture.
La nouvelle de ce nouveau miracle bouleversa les fidèles. Le 11 juin 1334, le corps fut exhumé. Malgré l'humidité de la terre saturée d'eau, aucune trace de décomposition ne souillait la chaire intacte. La sainte apparaissait dans un parfait état de conservation.
Malgré un séjour de cinq années en terre, ses yeux conservaient encore leur éclat bleu et le regard très vif, semblait percer les assistants stupéfaits et émerveillés.
Les yeux furent alors retirés de leurs orbites et déposés dans un reliquaire d'argent. Le corps miraculé fut porté avec ferveur jusqu'à la chapelle, et placé derrière une balustrade, à l'abri des profanateurs.
Dix ans après, en 1344, le corps fut transféré dans une châsse aux parois de verre. De 1400 à 1450, pendant une période fort troublée, les restes de Roseline furent dissimulés dans un caveau. Par la suite, ils furent placés dans un cercueil de bois doré qui fut lui aussi mis dans une châsse.
En 1644, le corps et les yeux semblaient toujours vivants.
l'occasion d'un nouveau transfert, le 20 octobre 1657, le bras droit parfaitement conservé était encore flexible, il put être déplacé sans difficulté.
En 1661, Louis XIV et sa mère Anne d'Autriche vinrent à la Celle-Roubaud admirer l'état du corps et la beauté des yeux demeurés parfaitement brillants.
Le jeune souverain commanda à son médecin particulier, Antoine Vallot, d'examiner ces reliques. Vallot eut la stupide idée d'enfoncer une aiguille en deux points de l'œil gauche. La prunelle se flétrit aussitôt. Depuis cet œil est moins brillant que l'autre.
Miraculeusement, le corps échappa aux méfaits de la Révolution, bien que sa destruction ait été décidée par le comité de Salut Public. Le 12 juin 1835, il fut déposé dans une cuve de marbre, recouvert d'une glace. Monseigneur Michel, évêque des Arcs constata une nouvelle fois la flexibilité des membres.
Cinquante deux ans plus tard, on se rendit compte que des insectes avaient attaqué le corps de la sainte, et que ce dernier avait souffert de l'humidité. Des embaumeurs et des chimistes venus de Rome tentèrent de réparer les dégâts.
Le 6 juillet 1894, sainte Roseline définitivement embaumée fut placée dans une nouvelle châsse - hermétiquement close - que l'on peut toujours voir aujourd'hui.
Pendant cinq siècles et demi, la corruption l'épargna. Fait très particulier à retenir ; quand le corps commença à s'altérer, les yeux qui, nous devons le rappeler, avaient été mis à part, perdirent leur éclat !
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DU JEUNE A L'INEDIE MYSTIQUE
DU EUNE A
L'EUCHARISTIE POUR SEULE NOURRITURE |
«Moïse fut là avec Yahvé quarante jours et quarante nuits ; il ne mangea pas de pain et ne but pas d'eau»
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5 Il se coucha et s'endormit sous le genêt. Et voici qu'un ange le toucha et lui dit : «Lève-toi, mange»
6 Il regarda, et voici qu'il y avait à son chevet un gâteau cuit sur des pierres chauffées et une cruche d'eau. Après avoir mangé et bu, il se recoucha. 7 L'ange de Yahweh vint une seconde fois, le toucha et dit : «Lève-toi, mange, car le chemin est trop long pour toi» 8 Il se leva, mangea et but, et, avec la force que lui donna cette nourriture, il marcha quarante jours et quarante nuits jusqu'à la montagne de Dieu, à Horeb. |
Alors Jésus fut emmené au désert par l'Esprit, pour être tenté par le diable. Et, après avoir jeûné quarante jours et quarante nuits, finalement il eut faim. Et, s'avançant, le tentateur lui dit : «Si tu es le Fils de Dieu, dis que ces pierres deviennent des pains». Répondant, il dit «il est écrit : ce n'est pas de pain seul que vivra l'homme, mais de toute parole qui sort par la bouche de Dieu».
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«Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle (...) Ma chair est vraiment une nourriture et mon sang un breuvage»
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SAINT JEAN DE LA CROIX «Cantique Spirituel B (couplet 9)»
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1. Donc, l'âme, en cet ultime amour, est comme un malade très fatigué qui, ayant perdu le goût et l'appétit, se dégoûte de toutes les nourritures et que toutes les choses importunent et irritent ; en toutes les choses qui s'offrent à la pensée ou à la vue, il n'a qu'un seul appétit et désir, qui est de sa santé, et tout ce qui ne contribue pas à cela lui est importun et insupportable. D'où cette âme, pour être arrivée à cette maladie d'amour de Dieu, a ces trois propriétés, à savoir : en toutes les choses qui s'offrent et qu'elle entreprend, elle a toujours présent ce Hélas ! de sa santé, qui est son Aimé, et ainsi même si elle est obligée de les assumer, elle a toujours le coeur en lui ; et de là vient la deuxième propriété, et c'est qu'elle a perdu le goût de toutes les choses ; et de là s'ensuit aussi la troisième, et c'est que toutes lui sont ennuyeuses et toutes les relations pesantes et désagréables. puisque personne ne peut y mettre fin.
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JESUS-CHRIST à A LEXANDRINA DA COSTA (1904-1955)
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«Je t'ai ôté l'alimentation. Je t'ai fait vivre de moi seul, et je continue de le faire, pour démontrer clairement aux hommes ma puissance, mon existence»
«Plus jamais tu ne t'alimenteras sur la terre. Ta nourriture est ma chair ; ton sang est mon sang divin ; ta vie est ma vie : c'est de moi que tu la reçois, lorsque je te communique ma chaleur, lorsque j'unis ton corps à mon Coeur. Je ne veux pas même que tu uses de remèdes qui auraient une valeur alimentaire. Il est grand, le miracle de ta vie !» 1.
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1 - Umberto M. PASQUALE,op.ci t., p. 172 - Paroles du Christ le 7 décembre 1946 (l'inédie totale durait depuis plus de quatre ans).
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JESUS-CHRIST à BERTHE PETIT (1870-1943)
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«Souvent elle suppliait le Divin Maître de lui rendre une existence «normale», afin, précisément, d'écarter les curiosités indiscrètes et les suppositions malveillantes»
«Ta vraie nourriture, c'est Moi», lui avait-Il dit au début de son jeûne, en lui interdisant de faire encore de vains efforts pour tenter de prendre des aliments solides. (...) en 1910, il avait insisté ainsi : «Sais-tu que ta vie, c'est Moi et rien que Moi ?» 1.
Quelques années plus tard - le 30 mars 1916 -, le Christ lui dit :
«J'ai voulu être ton unique nourriture parce qu'ainsi en a décidé mon amour et que cela entre dans mes vues» 2.
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1 - R.P. I. DUFFNER,op.ci t., p. 35.
2 - I b id., p. 35.
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JESUS-CHRIST à TERESA PALMINOTA (1896-1934).
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«C'est moi-même qui te nourrirai de moi»
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INEDIE
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Sainte WALPURGE , abbesse +779
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Sainte ALPAIS DE CUDOT, recluse, recluse, +1211 Pendant 30 ans, Alpais se nourrit exclusivement de l''eucharistie
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Sainte MARIE D'OIGNIES, fondatrice des Béguines, +1213
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Bienheureuse ELENA ENSELMINI, clarisse de Padoue (+1242)
CORPS INCORROMPU
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«un long temps»
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Bienheureuse ANGELE DE FOLIGNO, franciscaine, +1309
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12 ans
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Sainte CATHERINE DE SIENNE, dominicaine, docteur de l'Eglise, +1380 STIGMATES POST MORTEM
MIRACLE EUCHARISTIQUE INEDIQUE
CORPS INCORRROMPU
AGRYPNIE : elle n'aurait dormi qu'une demi-heure tous les trois jours.
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8 ANS
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Bienheureuse ELISABETH ACHLER (ELISABETH BONA DE REUTE) “LA BONNE BETHA”, recluse tertiaire franciscaine,+1420
STIGMATES
CORPS INCORRROMPU
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Sainte LYDWINE DE SCHIEDAM, +1433
STIGMATES
AGRYPNIE : n'aurait dormi que quelques heures en trente ans
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38 ANS
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Sainte COLETTE DE CORBIE, BOYLET ou BOËLET, recluse, +1447STIGMATES
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PLUSIEURS CAREMES DE 40 JOURS
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MAGDALENA BEÜTTLER, clarisse, +1458
STIGMATES, SOUVENT
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SOUVENT 8/15 JOURS
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19 ANS
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SAINTE VÉRONIQUE DE MILAN (ou de BINASCO), augustine +1497
STIGMATES
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3 ANS
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CORPS INCORROMPU
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23 ANS
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Bienheureuse STEFANA QUINZANI, tertiaire dominicaine, +1530
STIGMATES
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40 JOURS
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Bienheureuse CATHERINE DE RACCONIGI (CATHERINE DE MATHEIS), tertiaire dominicaine, +1547 STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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10 ANS
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Vénérable DOMINICA DAL PARADISO (DOMINICA NARDUCCI), tertiaire dominicaine, plaies aux mains, pieds et côté, stigmates couronne d'épines +1553
STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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20 ANS
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FRANCOISE DE SERRONE, tertiaire franciscaine, +1600 STIGMATES
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DES ANNEES
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Sainte MARIE-MADELEINE DE PAZZI, carmélite, couronne d'épines +1607
STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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Vénérable PRUDENZIA NAZAGNONI, tertiaire franciscaine +1608
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Bienheureuse AGNÈS DE JESUS GALAND (AGNÈS DE JÉSUS DE LANGEAC) , dominicaine, plaies aux mains, pieds et côtés,couronne d'épines +1634 STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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Vénérable MARGUERITE PARIGOT (MARGUERITE DU SAINT-SACREMENT) , carmélite déchaussée, +1648, STIGMATES
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40 JOURS
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Vénérable MARIA VILLANI, dominicaine, plaie au côté +1670
STIGMATES
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“DES SEMAINES ENTIERES”
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BEATRIZ MARIA DE JESUS DE ENCISO NAVARRE TE Y TORRES, béate, puis clarisse +1702
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Vénérable BENOITE RENCUREL, tertiaire dominicaine, +1718 STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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Sainte VERONIQUE GIULIANI, capucine, +1727
STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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Bienheureuse ANNE CATHERINE EMMERICK, augustine, plaies aux mains, pieds, côté, marques de la couronne d'épines, +1824, STIGMATES
AGRYPNIE
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10 ANS
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Vénérable MARIA DOMENICA LAZZERI, laïque, plaies aux mains, pieds, côté et couronne d'épines, +1848
STIGMATES
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JULIANA ENGELBRECHT, +1853
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8 ANS
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Saint PIERRE-FRANÇOIS NÉRON +1859, prêtre des Missions Etrangères de Paris, martyr au Vietnam
AGRYPNIE : 3 semaines
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3 SEMAINES
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MARIA VON MÖRL, tertiaire franciscaine +1868
STIGMATES
AGRYPNIE : vingt-cinq ans sans dormir
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ANA DE JESUS MARIA JOSÉ MAGALHÃES, bergère laïque, plaies aux mains et pieds, +1875, appelée communément "la Sainte d'Arrifana"
STIGMATES
AGRYPNIE : 30 ANS
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30 ANS
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VERONICA BARONE, tertiaire capucine séculière (1856-1878)
STIGMATES
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Vénérable LOUISE LATEAU, tertiaire franciscaine, +1883 STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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AGRYPNIE : vingt-cinq ans sans dormir
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VICTORIA HECHT, tertiaire franciscaine allemande, +1890 STIGMATES
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Vénérable THERESA-HELENA HIGGINSON, 1905
STIGMATES
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CATHERINE-AURELIE DU PRECIEUX-SANG, CATHERINE-AURELIE CAOUETTE, tertiaire dominicaine, fondatrice des «Religieuses Adoratrices du Précieux-Sang, filles de Marie Immaculée», +1905 STIGMATES
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MARIE-LOUISE BRAULT +1910 STIGMATES
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Bienheureuse MARIE DE LA PASSION TARALLO (MARIA GRAZIA TARALLO) religieuse des crucifiées Adoratrices de l’Eucharistie, Cofondatrice des Servantes de Marie Immaculée +1912
STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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fondatriceprès de Naples des religieuses servites de la Compassion de Marie,
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ANFROSINA BERARDI (1920-1933)
CORPS INCORROMPU
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MARIE-ROSE FERRON +1936, STIGMATES
CORPS INCORROMPU
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ANGELINA PIRINI (1922-1940)
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ANNA MARIA GOEBEL+1941 STIGMATES
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MARIE-JULIE JAHENNY, tertiaire franciscaine, +1941 STIGMATES
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5 ANS
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BERTHE PETIT, Tertiaire franciscaine , +1943
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TOMMAZINA POZZI +1944
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Vénérable LUCIA MANGANO, ursuline, +1946
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LUISA PICCARRETA, tertiaire dominicaine, STIGMATES +1947
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64 ANS
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Soeur TERESA VERONESI (TERESA SCARANI), STIGMATES, +1950
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bienheureuse ALEXANDRINA MARIA DA COSTA, laïque, +1955 STIGMATES
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THERESE NEUMANN, +1962 STIGMATES
AGRYPNIE : de 1934 jusqu'à sa mort, que quelques heures de sommeil par semaine
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AGRYPNIE : trois heures de sommeil quotidien
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GABRIELE BITTERLICH +1978
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AGRYPNIE : Marthe ne dormit plus du tout, de novembre 1931 à sa mort en février 1981, c'est-à-dire pendant 50 ans.
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SYMPHOROSE CHOPIN, tertiaire carmélitaine, +1983 STIGMATES
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1981/1985
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KIBEHO Apparitions RWANDA
EMMANUEL SEGATASHYA +1994
AGNES KAMAGAJU
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MADAME R. (ROLANDE) Inédie 1975 jusqu'à sa mort 1996 ?
STIGMATES
INEDIE
AGRYPNIE
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18/01/2011
PROPHÉTIES MÈRE MARIE DE JÉSUS DU BOURG
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ROPHÉTIES
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COUVENT
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BIOGRAPHIE |
La MÈRE DU BOURG, en religion MÈRE MARIE DE JÉSUS, nèe le 25 juin 1788, au château de Rochemontès, à seize kilomètres de TOULOUSE, fille d’un martyr de la Grande Révolution, entra en religion en 1809.
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Elle vécut à LIMOGES où elle fonda la CONGRÉGATION DES SŒURS DU SAUVEUR
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Un lundi de la Pentecôte 1811, elle priait devant le Saint Sacrement, lorsque tout-à-coup, son visage se transfigura, et on la vit s'élever à quelques pieds de terre, comme soulevée par une main invisible. A partir de ce moment, les communications divines devinrent des plus fréquentes : Madame DU BOURG était devenue extatique ; bientôt elle fut compatiente.
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Elle fut comblée de grâces extraordinaires pendant sa vie.
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Durant ses oraisons elle se levait de terre.
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Elle reçut des révélations précieuses sur l’avenir de la FRANCE qu’elle rassembla dans un opuscule «Vues intérieures», en 1857 ; Notre Seigneur lui ayant indiqué que ce n’était pas pour elle que ces paroles lui avaient été dites. |
LÉVITATION
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Elle connut dans les dernières années de sa vie des ravissements quotidiens accompagnés de lévitations que caractérisait leur caractère impétueux : [elle] s'élevait alors en l'air à la hauteur de sa chaise puis retombait brusquement sur son prie-Dieu. Un jour, le 7 avril 1856, elle fut soulevée de terre avec une force telle qu'elle s'accrocha à son prie-Dieu qui fut lui aussi soulevé. En retombant, la chute fut si violente que le socle de ce prie-Dieu massif en fut brisé 1. La Servante de DIEU perçoit fort bien la cause de ces rapts, dont elle se relève par ailleurs toujours indemne, malgré leur violence : Au moment où je faisais l'acte d'amour de DIEU, à la prière du soir, la Révérende Mère fut enlevée avec une force véhémente ; et comme elle s'attachait à son prie-Dieu pour résister à l'attraction divine, le prie-Dieu fut aussi enlevé et retomba avec un grand fracas. Le marchepied se fendit. Le lendemain matin, je fus la voir :
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«On me demande des nouvelles de mes genoux, dit-elle avec une certaine confusion, ils ne me font pas mal du tout. - Le prie-Dieu n'en dirait pas autant, repris-je. - Mon coeur se partageait et partait, reprit la bonne Mère ; c'était un amour purifiant qui m'a fait bien souffrir».
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Et quelques moments après elle descendit doucement à la chapelle, voir ce qui en était de son prie-Dieu et se baissant pour regarder la fente, elle disait tout bas :
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«O chétive et misérable créature ! vois ce que tu as fait» 2.
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Cet amour purifiant et crucifiant, auquel fait allusion la fondatrice, est précisément le signe que l'âme se trouve dans les cinquièmes ou sixièmes demeures de la vie unitive.
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1 et 2 - Ibid., p. 272. Témoignage de Ramón Morey Vallès au procès informatif ordinaire. - H. RENARD , op. cit., p. 114. 30 |
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PROPHÉTIES |
«Pendant le règne de LOUIS-PHILIPPE, j’entendis le Seigneur dire d’une voix menaçante à ce roi :
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«Vous m’avez méprisé ; vous avez fait apostasier mon peuple en le faisant travailler le dimanche. La jeunesse a été livrée aux impies»
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Et je compris alors que ce roi serait châtié, et il me fut dit que le temps approchait ; et bientôt on vit éclater la révolution de 1848. Les remparts et les forteresses bâties au mépris de la loi de DIEU (le dimanche), ne purent défendre celui qui les avait fait élevées pour sa sûreté selon les belles paroles de SAINT FÉLIX : Avec la protection de JÉSUS-CHRIST les plus fortes murailles ne sont que des toiles d’araignées. Je compris surtout que c’était la profanation du dimanche qui attirait sur la FRANCE les plus terribles fléaux»
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«Le Seigneur m'a fait des plaintes d'une manière terrible ; il se plaint de cette fureur à chercher le plaisir ; il se plaint des danses scandaleuses, de l'indécence et du luxe des parures, et s'il défend dans le Saint-Évangile même un seul mauvais regard, même un seul mauvais désir, faut-il s'étonner qu'il punisse, par des châtiments terribles, la Corruption des mœurs qui est la suite nécessaire de tous ces abus, la source de tant de crimes, et qui entraîne, avec la ruine des bonnes mœurs, celle de la santé et la perte des âmes. Les peuples, comme toujours, ont imité les mauvais exemples des grands : il n'y a plus de digue au torrent des passions furieuses ; l'autorité divine est entièrement méconnue ; les hommes méprisent les lois de DIEU et les enfants, celles de la famille ; aussi l'ordre n'est que factice, la force et la contrainte seules le maintiennent encore»
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«Les châtiments du Seigneur vont tomber sur nous en diverses manières. Des fléaux, des troubles, le sang versé. Il y aura dans notre FRANCE un renversement effroyable ! Cependant ces jours seront abrégés en faveur des justes. DIEU élèvera sur le trône un roi modèle, un roi chrétien. Le fils de SAINT LOUIS aimera la religion, la bonté, la justice. Le Seigneur lui donnera la lumière, la sagesse et la puissance. Lui-même l'a préparé depuis longtemps et l'a fait passer au creuset de l'épreuve et de la souffrance, mais il va le rappeler de l'exil. Lui, le Seigneur, le prendra par la main, et au jour fixé il le replacera sur le trône. Sa destinée est de réparer et de régénérer ; alors la religion consolée refleurira, et tous les peuples béniront le règne du Prince DIEU-donné; mais ensuite le mal reprendra le dessus et durera plus ou moins jusqu'à la fin des temps. La lumière d'En-Haut ne m'a pas été donnée pour les derniers événements du monde dont parle l'APOCALYPSE» |
15:09 Publié dans PROPHETIES Mère MARIE DE JESUS DU BOURG | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : propheties, mère marie de jesus du bourg, france
17/01/2011
PROPHÉTIES TÉRÉSA STEINER
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ROPHÉTIES
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MAISON PATERNELLE
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BIOGRAPHIE
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MARIE-AGNÈS-CLAIRE STEINER, naquit en AUTRICHE dans le TYROL en 1813. Elle prit le voile des Clarisses et habita successivement ASSISE et PÉROUSE ; elle mourut à NOCERA en 1862.
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Dès l'âge de 4 à 5 ans, elle prédisait les choses qui devaient arriver et qui arrivaient en effet dans la suite ; quand on lui demandait comment elle les connaissait, elle ne savait que répondre.
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Or tout cela, MARIE-AGNÈS- l'avait prévu, quelquefois d'une façon claire, très précise.
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Son confesseur et historien, le Père DE REUS, mineur observantin l'avait forcé à mettre par écrit toute sa vie surnaturelle.
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Enfant prédestinée, dès l'âge de trois ans, elle possédait déjà une grande raison.
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A huit ans, elle avait des apparitions fréquentes de Notre-Seigneur qui l'instruisait et la dirigeait.
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A dix ans, elle eut une vision dans laquelle elle vit s'ouvrir devant elle toute l'ITALIE, et dans l'ITALIE, elle aperçut un certain nombre de jeunes filles que Dieu semblait aimer d'une affection de prédilection et qui se trouvaient comme perdues, sans guide aucun pour les conduire.
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A cette vue, MARIE-AGNÈS- se sentit prise d'une grande compassion, elle pria pour elles et résolut dans son cœur de se faire religieuse en ITALIE, afin de pouvoir réunir ces créatures égarées, les aider et les amener à se consacrer au Seigneur. Cette vision prophétique lui dévoila toute sa vie future et la mission qu'elle devait remplir plus tard
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A l'âge de treize ans, elle fut fiancée spirituellement au Seigneur, pendant une extase qui dura trois heures.
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Le 26 novembre 1838, elle entrait au monastère des Bavaroises d'Assise qui lui avait souvent été montré en vision ; pendant sa probation, elle reçut l'ENFANT-JÉSUS dans ses bras.
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Le 6 juin 1841, MARIE-AGNÈS- fut admise à la profession.
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La vie de la servante de DIEU s'écoula au milieu des prodiges et des souffrances de toutes sortes. Elle méditait sans cesse sur la passion de JÉSUS-CHRIST ; unie très intimement à l'Époux céleste, elle reçut des connaissances très étendues sur les événements présents et futurs ; elle eut la double mission d'établir une réforme dans l'Ordre de Sainte Claire, et, ensuite de travailler au bien de l'Église et au salut des âmes, par le renouvellement de l'esprit intérieur ; dans ce dessein, elle devait offrit à la justice divine une expiation pour les péchés et pour les crimes du monde. C'était la grande affaire de sa vie.
. Ce fut dans l'année 1849, que la Mère STEINER fut invitée à venir à PÉROUSE par l'archevêque-évêque Monseigneur PECCI, devenu Sa Sainteté le Pape LÉON XIII, qui, après avoir examiné sérieusement sa doctrine et ses révélations, fut plein d'estime pour la servante de DIEU, et la chargea d'établir la réforme dans un monastère de Clarisses de cette ville, ce qui se réalisa le 12 janvier 1850. . PIE IX, dont on aurait pu faire d'avance l'histoire à l'aide des révélations de la Mère STEINER, lui accordait la plus grande confiance, et ne l'appelait que «la sainte, vraiment sainte». .
A partir de 1857, elle annonça souvent les fléaux dont le monde serait frappé avant le triomphe de l’Église. Victime d'expiation, elle fut condamnée aux maladies les plus cruelles.
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Elle prédit à plusieurs reprises le jour de sa mort qui arriva le 29 août 1862, à NOCERA. Un parfum céleste remplit à ce moment sa cellule et persista longtemps. Il a même persisté jusqu'à ce jour à son tombeau, sur son crucifix, ses vêtements et autres objets à son service.
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Elle avait eu pendant sa vie, la grâce de guérir les malades ; après sa mort, de nombreuses guérisons miraculeuses eurent lieu par son intercession ; elles son relatées dans sa vie.
. Stigmatisée, son corps a été découvert incorruptible
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SA CELLULE
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PROPHÉTIES
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La SAINTE VIERGE me dit un jour :
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«Mon FILS doit châtier le monde pour la grande ingratitude et les péchés des hommes, ainsi que pour le peu de foi de tant de chrétiens qui devraient être de vrais enfants de la sainte Église»
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En voyant le monde et le cœur de ses habitants, j’ai eu l’impression que j’en mourrais… Je vois le Seigneur qui frappe le monde et le punit d’une manière terrible. Les religieux devront quitter leurs monastères et les religieuses leurs couvents, surtout en ITALIE. La Sainte Église sera persécutée, et ROME sera privée de son Pasteur. . En vérité, il y a peu de justes. J’en vis, sans doute, beaucoup qui se trouvaient être sans péchés mortels et en état de grâce, mais leur prière n’était guère agréable à DIEU, parce que leur cœur était partagé en deux et même en plusieurs compartiments. .
Le soir du 26 janvier1854, pendant ma méditation, écrit la Mère STEINER, la très SAINTE VIERGE me dit :
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«Ma fille, intercède pour obtenir l'éloignement des fléaux qui menacent le monde : il faut qu'on prenne les moyens ; et ceux qui voudront les prendre seront assurés de ma protection, il y aura encore une autre tempête, puis viendra la tranquillité ; alors tous ou presque, tous seront renouvelés, si on met la main à l’œuvre. Vois combien d’hommes auront disparu de la terre. Mais je ne sais comment ils seront détruits»
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Une fois, la SAINTE VIERGE me dit : .
«que les châtiments viendraient si les hommes ne se corrigeaient pas et s'ils n'imploraient pas miséricorde...»
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Ce que DIEU reproche au peuple chrétien, disait la Mère STEINER,
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«c'est son peu de foi, le désordre des mœurs, le progrès de l'indifférence religieuse, l'action des sectes vomies par l'enfer, pour déclarer une guerre ouverte à DIEU et à son CHRIST, les impiétés et le sacrilège qui provoquent la colère divine»
Alors je dis : .
«Mais il y a beaucoup de justes»
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et la SAINTE VIERGE me montra et je vis qu'ils étaient peu nombreux. Plusieurs, à la vérité, étaient en état de grâce et sans avoir commis de péché grave ; mais leurs prières n'étaient pas agréables parce qu'ils avaient le cœur divisé en deux ou plusieurs parties. Je demandai quels sont les châtiments qui viendront. Elle me répondit :
«Plusieurs, dont le plus grand est l'impénitence finale à cause de l'abus des grâces, les morts subites, la perte de la foi, et la persécution contre la sainte Église avec des troubles dans les villages et l'es cités» Une autre fois, la Mère STEINER ajouta : .
«Je ne me souviens pas d'avoir vu les hommes apporter des remèdes aux maux spirituels du monde. Ces remèdes ne viendront que du Ciel»
. Une autre fois comme elle pleurait à chaudes larmes et paraissait déchirée par une très grande douleur, elle dit : .
«Oh ! j'ai vu le Divin Maître, qui, la verge en main, allait frappant le monde et le châtiant d'une manière épouvantable, afin que le petit nombre d’hommes et de femmes qui y resteront encore, soient vraiment droits de cœur et qu’ils vivent en bons chrétiens d’une manière vraiment honnête et pleinement chrétienne…» II n'y a pas de doute que le Seigneur n'ait montré à sa servante la série distincte des fléaux auxquels la terre sera exposée avant que s'obtienne le triomphe tant désiré de la sainte Église, afin de l'encourager à satisfaire sa justice par ses prières et ses pénitences, et pour hâter le secours de ses infinies miséricordes. . En 1861, pour encourager la Mère STEINER à prier pour l’Église, le Seigneur lui fit voir, qu'après le grand fléau, le monde serait renouvelé, et elle communiqua le résumé de cette vision à Monseigneur MADRIGALI, camérier de PIE IX, qui a déposé en ces termes : .
«Un jour, la Mère STEINER me dit, à moitié triste et à moitié joyeuse» :
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«Le Seigneur m'a promis de voir le monde renouvelé. Oh ! qu'il était beau ! Bien peu ! Bien peu resteront du monde ancien. Ce petit nombre apparaissait plein de ferveur et appliqué à louer le Seigneur, à le remercier, à le bénir. Ils étaient comme les fidèles de la primitive Église...» . «Le Seigneur m’a donné de contempler combien le monde sera beau, une fois le châtiment passé. Quelle splendeur ! De l’ancien monde, il ne reste que peu, très peu d’hommes. Mais ceux-ci m’ont paru plein de zèle et animés d’un seul désir : louer, adorer et remercier DIEU. Ils ne pensaient aux choses d’ici-bas, ni aux intérêts terrestres ; toutes les aspirations allaient à leur sanctification personnelle. Bref, ils étaient comme les chrétiens des premiers temps de l’Église. En voyant un monde aussi beau, je fus grandement consolée et prise d’un saint transport. L’idée me prit de vouloir demeurer en vie, dans des temps si heureux» . Le Seigneur lui dit encore que le triomphe de l'Église était assuré, que la résurrection de l'ITALIE viendrait certainement, et que le rétablissement des choses se ferait d'une manière très prompte et comme en un clin d’œil, niais après de grands châtiments..
«Prie-Moi par Mon Mon Cœur», disait notre Seigneur à la Mère STEINER, afin que mon PÈRE use de miséricorde... Possède mon cœur, et il ne te refusera rien»
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15/01/2011
PROPHÉTIES BIENHEUREUSE ÉLISABETH CANORI MORA
ROPHÉTIES
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.(1774-1825)
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BIOGRAPHIE
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À ROME, en 1825, la bienheureuse ÉLISABETH CANORI MORA, mère de famille romaine membre à partir de 1820 du Tiers-Ordre séculier des Trinitaires Déchaussés., qui supporta avec patience les tromperies et la violence de son mari, les soucis d’argent, l’animosité cruelle de ses proches. Tertiaire de l’Ordre des Trinitaires, elle offrit sa vie au Seigneur pour la conversion de son mari, le salut des pécheurs, la paix et la sainteté de l’Église.
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PROPHÉTIES
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SUR LA CRISE DE L’ÉGLISE
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«Un jour, elle vit l'ENFANT-JÉSUS couché dans sa crèche et nageant dans son sang. Il lui marquait en cela combien l'affligent les offenses soit de ses ministres et des religieux infidèles à leurs obligations, soit des pères et des mères ou de tous autres personnes qui, chargés de l'éducation chrétienne des enfants, s'acquittent négligemment de leurs devoirs.
. Trois ANGES étaient sur le point de tirer vengeance de ces offenses ; mais la divine MÈRE ayant prié pour qu'on fît grâce aux coupables, l'ENFANT-JÉSUS leva la main en disant :
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«Arrêtez ! Arrêtez !»
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A l'issue d'une vision analogue,
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MARIE lui ordonna d'offrir le sang de son FILS au PÈRE ÉTERNEL et ajouta :
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«Joins à cette offrande celle de tes douleurs et de tes afflictions, ainsi que l'amour dont ton cœur est pénétré»
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ÉLISABETH fit la prière que MARIE lui avait ordonnée ; mais elle ne fut pas certaine d'avoir été exaucée, tant étaient excessifs les péchés et la malice des hommes»
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LE 8 DÉCEMBRE 1820, DIEU LUI DIT
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«le Seigneur révéla à ÉLISABETH des trames ourdies, à ROME même, par les impies, pour détruire la religion catholique ; il lui déclara qu'il allait frapper les hommes d'un châtiment terrible et que, pour ne point arrêter les coups de sa justice, il était résolu de ne plus accepter les prières et les sacrifices de ses âmes de prédilection. Il lui recommanda de ne pas chercher à le désarmer, car, lui disait-il, il n'agréait plus les prières faites à ce sujet»
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ÉLISABETH s'offre cependant «comme victime d'expiation et de réconciliation», et tout s'arrange.
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JÉSUS lui apparaît et lui dit :
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«Fille bénie de mon Père, ta prière m'est très agréable ; ton sacrifice et mes mérites apaiseront sa juste colère»
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Il lui promet en même temps qu'elle souffrira beaucoup et en effet, après avoir «enduré toutes les douleurs du crucifiement», elle reçoit de DIEU un message de paix :
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«Ton sacrifice Ton sacrifice fort et constant a fait violence à « ma justice irritée. Je suspens, pour l'instant, le châtiment mérité, et je fais place à ma miséricorde»
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ÉLISABETH a reçu de nombreuses autres révélations concernant le chaos dévastateur et la décadence crépusculaire dans laquelle se trouveront les catholiques, tant laïques que religieux. |
LE 24 FÉVRIER 1814, ELLE RAPPORTE
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«... vu de nombreux ministres du Seigneur se voler les uns les autres et furieux, arracher les vêtements sacrés. J'ai vu les saints autels pillés par les ministres de DIEU»
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LE 22 MARS 1814, ALORS QU'ELLE PRIAIT POUR LE SAINT PÈRE, ELLE L'A
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«...beaucoup d'ecclésiastiques qui persécutent JÉSUS Crucifié et son saint Évangile, sous le couvert de faire du bien ... Comme des loups furieux, ils s'ingénient à faire descendre le chef de l'Église de sa chaire»
. Puis elle fut autorisée à voir quelle terrible indignation ces loups suscitent à DIEU.
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«Terrorisée, j'ai vu la justice divine me frapper de sa foudre
J'ai vu des immeubles s'effondrer. Villes et régions du monde entier tombent dans le chaos.
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On n'entendait rien si ce n'est d'innombrables et faibles voix implorant pitié. D'innombrables personnes périront»
Ce qui la terrifia le plus fut la colère de DIEU. Elle le vit .
«très en colère contre ceux qui le persécutent. De ses bras tout puissant, l’Éternel retenait la foudre, son visage était éclatant d'indignation et son regard aurait suffi pour incinérer le monde entier».
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VISION DU 7 JUIN, 1815
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«Des loups féroces déguisés en brebis, persécutent sans relâche JÉSUS Crucifié et Son épouse, la sainte Église ... J'ai vu le monde entier bouleversé, en particulier la ville de ROME. Comment pourrais-je raconter ce que j'ai vu du Collège du Saint-Siège ?
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En raison de doctrines contraires du clergé séculier, ils étaient dispersés, persécutés et assassinés par les impies ... Le clergé régulier n'a pas subi une dispersion totale, mais a également été décimé. D'innombrables hommes de toutes les conditions sont morts dans le massacre, mais tous n'ont pas été condamnés, pour ceux d'entre eux qui menaient une vie décente et d'autres une vie sainte»
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MARIE INTERCÈDE POUR LE MONDE
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À Noël 1816, la bienheureuse ÉLISABETH vit NOTRE-DAME apparaître extrêmement triste. Après lui en avoir demandé la cause, NOTRE-DAME répondit :
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«Ma fille, c'est à cause de la grande impiété»
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La bienheureuse ÉLISABETH vit alors :
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«les apostats effrontés essayant d'écarteler son saint FILS. Devant un tel outrage, la MÈRE DE DIEU cessa alors de demander miséricorde pour le monde, et demanda justice au PÈRE ÉTERNEL. Revêtu de son inexorable justice et rempli d'indignation, il se tourna vers le monde.
A ce moment, toute la nature entra en convulsions, le monde perdit son ordre normal et fut rempli des plus terribles et imaginables calamités. Ce sera quelque chose de si déplorable et si atroce que cela conduira le monde à l'ultime profondeur de la désolation» |
VISION DU 29 JUIN, 1820
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«En 1820, le jour de la fête de SAINT PIERRE, pendant que je priais pour les besoins de l'Église et pour la conversion des pécheurs, au nombre desquels j'occupe le premier rang, je fus ravie au ciel et placée tout près de DIEU.
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Par le moyen d'une lumière inaccessible, je fus si intimement unie à lui, que je ne me reconnaissais plus moi-même, étant toute transformée dans cette lumière divine. Je reçus la douce impression de la charité de DIEU ; le contentement et la joie que j'éprouvais alors sont indéfinissables, bien qu'au milieu de ces douceurs célestes mon esprit fût parfaitement calme. Je vis le ciel s'ouvrir et en descendre, avec majesté, le prince des apôtres, accompagné d'une multitude d'esprits célestes chantant des hymnes de louange. Le glorieux apôtre était revêtu des habits pontificaux, et tenait en main une crosse avec laquelle il traça sur la terre une grande CROIX. Pendant qu'il traçait cette croix, il était entouré parles anges, qui chantaient en son honneur les paroles du PSAUME :
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Constitues eos principes super omnem terram, etc.
«Vous les établirez princes sur toute la terre...»
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Il appuya ensuite sa crosse aux quatre extrémités de la CROIX, et au même instant il en sortit quatre arbres magnifiques portant des fleurs et des fruits très précieux. Ces arbres mystérieux avaient eux-mêmes la forme d'une CROIX et étaient entourés d'une vive lumière. Le bienheureux apôtre alla ensuite ouvrir toutes les portes des couvents. Ces arbres devaient servir de lieu de refuge au petit troupeau de JÉSUS-CHRIST, et préserver les bons chrétiens du terrible châtiment qui bouleversera le monde entier.
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Tous les fidèles qui auront gardé dans leur cœur la foi de JÉSUS-CHRIST, ainsi que les religieux et les religieuses qui auront conservé fidèlement l'esprit de leur institut, seront tous abrités sous ces arbres et délivrés de l'affreux châtiment.
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Mais malheur aux religieux et religieuses qui n'observent pas leurs règles !... Malheur aussi à tous les prêtres indignes et à tous les séculiers qui s'adonnent au libertinage et suivent les fausses maximes de la philosophie moderne, condamnée par l'Église comme étant contraire aux préceptes de l'Évangile !
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Par leur conduite détestable, ces misérables, niant la foi de JÉSUS-CHRIST, périront sous le poids du bras exterminateur de la justice de DIEU, à laquelle personne n'échappera.
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Tous les bons chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de SAINT PIERRE, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance.
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Aussitôt que le saint apôtre eut mis en lieu de sûreté le troupeau de JÉSUS-CHRIST, il remonta au ciel accompagné des ANGES. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé.
. Tout a coup il s'éleva un vent violent et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur.
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La terreur et l'effroi se répandront parmi les hommes et jusque parmi les animaux.
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Tous les bons chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de SAINT PIERRE, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance.. Aussitôt que le saint apôtre eut mis en lieu de sûreté le troupeau de JÉSUS-CHRIST, il remonta au ciel accompagné des ANGES. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé. . Tout a coup il s'éleva un vent violent et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur. . La terreur et l'effroi se répandront parmi les hommes et jusque parmi les animaux. . Tous les hommes seront en révolte ; ils se tueront mutuellement et se massacreront sans pitié. Pendant ce combat sanglant, la main vengeresse de DIEU sera sur ces malheureux, et par sa puissance il punira leur orgueil et leur témérité. . Il se servira du pouvoir des ténèbres pour exterminer ces hommes sectaires et impies, qui voudraient renverser la Sainte-Église et la détruire jusque dans ses fondements. Par leur malice audacieuse, ces hommes iniques prétendent faire descendre DIEU de son trône suprême ; mais il se rira de leur astuce et, par un signe de sa main puissante, il punira ces perfides et ces blasphémateurs, en permettant aux puissances ténébreuses de sortir de l'ENFER. . D'immenses légions de démons parcourront alors le monde entier et, par les grandes ruines qu'ils causeront, ils exécuteront les ordres de la justice divine. . Ils s'attaqueront à tout et nuiront aux hommes, aux familles, aux propriétés, aux substances, aux cités, aux villages, aux maisons, et rien de ce qui est sur la terre ne sera épargné, DIEU permettant que ces sycophantes soient châtiés par la cruauté des démons et punis d'une mort tragique et barbare, parce qu'ils se seront soumis volontairement au pouvoir infernal, et qu'ils se seront alliés avec lui contre l'Église catholique. . Afin que mon pauvre esprit fût bien pénétré de ce sentiment de la justice divine, on me montra l'horrible prison. Je vis alors s'ouvrir dans les profonds abîmes de la terre, une sombre et effrayante caverne pleine de feu et d'où sortaient une multitude de démons qui, ayant pris la forme d'hommes et de bêtes, venaient infester le monde, ne laissant partout que massacres et ruines. . Heureux les bons et véritables catholiques ! Ils auront pour eux la puissante protection des saints apôtres PIERRE et PAUL, qui veilleront sur eux afin qu'il ne leur soit fait aucun dommage, ni dans leurs personnes, ni dans leurs biens. Les mauvais esprits dévasteront tous les lieux où DIEU aura été outragé, blasphémé et traité d'une manière sacrilège. Ces lieux seront ruinés, anéantis et il n'en restera aucun vestige. . Après ce terrible châtiment, je vis tout à coup le ciel s'éclaircir. SAINT PIERRE descendit de nouveau, vêtu pontificalement, accompagné par des anges qui chantaient des hymnes à sa gloire, le reconnaissant ainsi comme prince de la terre. Je vis ensuite descendre du ciel l'apôtre SAINT PAUL qui, par ordre de DIEU, parcourut l'univers, enchaîna les démons et, les ayant amenés devant SAINT PIERRE, celui-ci leur ordonna de rentrer dans les cavernes ténébreuses d'où ils étaient sortis. .
Alors parut sur la terre une belle clarté, qui annonçait la réconciliation de DIEU avec les hommes.
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Les ANGES conduisirent, devant le trône du prince des Apôtres, le petit troupeau qui était resté fidèle à JÉSUS-CHRIST. Ces bons et fervents chrétiens lui présentèrent leurs hommages respectueux et, bénissant DIEU, remercièrent l'Apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir conservé et soutenu l'Église de JÉSUS-CHRIST, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses maximes du monde.
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Le saint choisit alors le nouveau Pontife. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons des chrétiens ressemblaient aux maisons religieuses, tant étaient grands la ferveur et le zèle pour la gloire de DIEU.
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Ce fut de cette manière que s'accomplit, en un moment, l'éclatant triomphe de l'Église catholique.
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Elle était louée, estimée et vénérée de tous. Tous se donnèrent à elle, en reconnaissant le Souverain Pontife pour Vicaire de JÉSUS-CHRIST»
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DÉBUT 1821
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«Les chrétiens ne seront pas dispersés, ni ROME privée du Souverain Pontife. Je réformerai mon peuple et mon Église. J'enverrai des prêtres très zélés, j'enverrai également mon Esprit renouveler la terre ; je réformerai les Ordres religieux par le moyen de réformateurs savants et saints, et tous posséderont l'esprit de mon fils bien-aimé IGNACE DE LOYOLA. Je donnerai à mon Église un nouveau Pasteur, saint et rempli de mon ESPRIT : par son grand zèle il réformera mon troupeau»
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Il m'a dit beaucoup d'autres choses à propos de ce renouveau. De nombreux souverains soutiendront l'Église catholique et seront les vrais catholiques, en plaçant sceptres et couronnes au pied du Saint-Père, le Vicaire de JÉSUS-CHRIST. De nombreux royaumes abandonneront leurs erreurs et reviendront dans le giron de la foi catholique. Des peuples entiers se convertiront, tout en reconnaissant la foi en JÉSUS-CHRIST comme la vraie religion» |
22:07 Publié dans PROPHETIES ÉLISABETH CANORI MORA | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Élisabeth canori mora